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Psychologie

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Www.performance-commerciale.fr/images/succes1.jpg. Test de Sally et Anne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le test a été réalisé par Simon Baron-Cohen, Alan M. Leslie, et Uta Frith en 1985 dans une étude de la théorie de l'esprit en relation avec l'autisme[2]. En 1988, Alan M. Leslie et Uta Frith réitèrent l'expérience avec des comédiens (plutôt que des marionnettes) et relèvent des résultats similaires[3]. Description[modifier | modifier le code] Pour développer le test, l'équipe Baron-Cohen et al. modifie le modèle de 1983 du jeu de marionnettes de Wimmer et Perner, en remplaçant des personnages et une histoire théoriques par des personnages identifiables dans un récit. 20 d'entre eux ont été diagnostiqués comme autistes d'après des critères établis ;14 d'entre eux ont un syndrome de Down ;27 d'entre eux sont sans déficience sur le plan clinique[2].

Lors du test, après avoir présenté les marionnettes Sally et Anne, on demande à chaque enfant de donner les noms des personnages (Naming Question). Démarche[modifier | modifier le code] Théorie de l'esprit. La théorie de l'esprit désigne, en sciences cognitives, non pas une théorie, mais l'aptitude permettant à un individu d’attribuer des états mentaux inobservables (ex : intention, désir, croyance[1]...) à soi-même ou à d'autres individus[2]. « Le principe de base étant celui de l’attribution ou de l’inférence, les états affectifs ou cognitifs d’autres personnes sont déduits sur la base de leurs expressions émotionnelles, de leurs attitudes ou de leur connaissance supposée de la réalité »[2]. Cette capacité est centrale dans la cognition sociale humaine et joue un rôle primordial dans les interactions sociales — communication, empathie, collaboration, enseignement, compétition, etc.[3].

Bien qu'il y ait certains aspects philosophiques dans l'étude de cette capacité[9], la théorie de l'esprit est à distinguer de la philosophie de l'esprit. Histoire[modifier | modifier le code] L'expression « théorie de l'esprit » provient de l'éthologie. Définition[modifier | modifier le code] Zététique.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour la définition de la zététique comme partie des mathématiques, voir Algèbre nouvelle. La zététique est définie comme « l'art du doute » par Henri Broch[1]. La zététique est présentée comme « l'étude rationnelle des phénomènes présentés comme paranormaux, des pseudosciences et des thérapies étranges ». La zététique est destinée aux théories scientifiquement réfutables, c'est-à-dire respectant le critère de discrimination de Popper (1902-1994). De fait, contrairement aux autres mouvements sceptiques, elle ne pose pas la question des religions et des croyances non réfutables. Son objectif est la mise à l'épreuve d'énoncés pourvus de sens et de nature scientifique (c'est-à-dire réfutables selon Popper) dont les explications ne semblent pouvoir se rattacher à aucune théorie communément acceptée. Origine du mot[modifier | modifier le code] Principes[modifier | modifier le code] Moyen de lutte : Cette liste n'est pas exhaustive.

Effet Barnum. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'effet Barnum (expression attribuée au psychologue Paul Meehl en référence aux talents de manipulateur de l'homme de cirque Phineas Taylor Barnum), autrement appelé « effet Forer » ou « effet puits » par Henri Broch, effet de validation subjective ou effet de validation personnelle, désigne un biais subjectif induisant toute personne à accepter une vague description de la personnalité comme s'appliquant spécifiquement à elle-même[1].

Application[modifier | modifier le code] L'effet Barnum peut s'appliquer notamment : Découverte[modifier | modifier le code] En 1948, le psychologue Bertram Forer soumit ses étudiants à un test de personnalité. . « Vous avez besoin d'être aimé et admiré, et pourtant vous êtes critique avec vous-même. Il demanda ensuite à chaque étudiant de noter la pertinence de l'évaluation de sa personnalité sur une échelle de 0 (médiocre) à 5 (excellent). La moyenne fut de 4,26. Postérité[modifier | modifier le code] Béhaviorisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le béhaviorisme ou comportementalisme est une approche psychologique qui consiste à se concentrer sur le comportement observable[1] déterminé par l'environnement et l'histoire des interactions de l'individu avec son milieu[2]. Par exemple, l'apprentissage y est décrit comme une modification du comportement observable, due à la modification de la force avec laquelle une réponse est associée à des stimuli extérieurs (environnement externe) ou à des stimuli intérieurs (environnement interne) sur l'organisme.

Étymologie[modifier | modifier le code] « Béhaviorisme » provient du mot anglais « behavior » (orthographe américaine) qui signifie « comportement ». Histoire du béhaviorisme[modifier | modifier le code] En effet, dans les années 1940 et 1950, Burrhus F. L'expérience de Skinner[modifier | modifier le code] Renforcement positif : Stimulus « Le rat est dans la cage » Réponse (comportement) « Le rat appuie sur le levier » Renforcement négatif : Exemple. Théorie du développement moral de Kohlberg. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lawrence Kohlberg est un psychologue américain ayant développé à partir de sa thèse de doctorat The Development of Modes of Thinking and Choices in Years 10 to 16 de l'Université de Chicago[1] (1958) un modèle du développement moral par stades, inspiré par le modèle du développement cognitif par paliers d'acquisition de Jean Piaget.

Kohlberg développera cette théorie toute sa vie durant, elle sera l'objet de nombreuses discussions en psychologie morale (constituant pendant plus de 30 ans le paradigme de la discipline). Parmi les autres chercheurs ayant contribué à l'approfondissement du modèle de Kohlberg citons Elliot Turiel et James Rest. Méthode[modifier | modifier le code] Pour déterminer le stade maximal de développement moral atteint par un enfant, Kohlberg pose des dilemmes moraux, dont le but est d'amener le sujet à son maximum de réflexion éthique. . « La femme de Heinz est très malade. Réponse possibles au dilemme de Heinz : Comportements DISC ® DISC Success Insights ® C'est quoi ? Le DISC est un modèle d'analyse et de compréhension des comportements Quand et pourquoi l'utiliser ? A tout moment, et en particulier dès que vous entrez en relation, vous le faites en utilisant un mode de comportement favori.

Ce n'est pas parce qu'il fait parti de vos favoris qu'il est adapté à la situation ou à votre interlocuteur. Exemple : vous vous faites arrêter pour excés de vitesse, même si vous êtes excessivement convivial et adorez les bons mots pour briser la glace, il sera plus conseillé de commencer par présenter vos papiers. Le DISC est donc particulièrement utile pour : donner de la souplesse à vos relationsfaire mieux passer vos messagesapprendre à gérer vos émotionscommuniquer plus efficacement Ça fonctionne comment ?

Notre comportement est l'interface, la frontière entre notre personnalité et notre environnement. Il est donc marqué par notre perception de l'environnement : Téléchargez un exemple Ca vient d'où ? Fondements théoriques. E-comportements | JM.ROLLAND Conseil & Formation. Sujet : Analyse systémique des tendances e-comportementales induites par les Technologies de l'Information et de la Communication en Management à distance.Sous la direction du Professeur Luc QUONIAM. Aujourd'hui, l'Homme voit se transformer ses méthodes de travail grâce ou à cause, du développement ininterrompu des Technologies de l'Information et de la Communication.

Ces dernières permettent ainsi, à l'ensemble des acteurs, travaillant dans des organisations éclatées, de transférer et échanger des données, de communiquer des informations et des savoirs, sans limite de temps ni d'espace. Dans les entreprises, les responsables ainsi que leurs collaborateurs, se voient ainsi entraînés à s'adapter à ces évolutions technologiques pour continuer à remplir leurs missions, atteindre leurs objectifs et créer de la valeur. Mots-Clés : Revue Sticef.org. Valérie EMIN (IFÉ-ENSL, Lyon), Jean-Philippe PERNIN (LIG, Grenoble), Viviane GUÉRAUD (LIG, Grenoble) RÉSUMÉ : Cet article présente le modèle ISiS (Intentions, Strategies, interactional Situations) dont l’objectif principal est d’assister la formalisation et de favoriser la mutualisation de scénarios pédagogiques exploitant les technologies numériques.

Elaboré en collaboration avec des enseignants de l’enseignement secondaire, ce modèle s’inspire de travaux récents issus du domaine de l’ingénierie des besoins dirigée par les intentions et permet en particulier l’explicitation des intentions et des stratégies du concepteur. L’environnement graphique associé ScenEdit permet aux praticiens de concevoir leurs scénarios en explicitant les différentes dimensions associées au modèle ISiS. Pour favoriser la conception par réutilisation et adaptation, l’environnement propose, à différents niveaux du modèle, des bibliothèques de composants, patrons ou gabarits. 1. 2. 2.1. 2.2. 2.3. 3. Réalité augmentée. La réalité augmentée est l'un des phénomènes émergents permis par le développement et la démocratisation des technologies de l'information et de la communication (TIC) à la fin du XXe siècle (tendances attentivement suivies par les prospectivistes[1]) et elle participe à certaines formes augmentées du travail collaboratif et de l'économie collaborative telles que conceptualisées par Michel Bauwens[2].

Principes[modifier | modifier le code] La technologie insère des images de synthèse sur les images du monde réel grâce à l'appareil photo d'un téléphone portable ou à des lunettes vidéo spécifiques. De petites caméras situées au milieu et à l'extérieur de chaque verre envoient des images vidéo en continu à deux écrans à cristaux liquides sur la face interne des lunettes par l'intermédiaire d'un processeur mobile. Agrémenter d'objets fictifs une séquence vidéo issue d'un plan fixe ne pose guère de problèmes.

Les avantages de ces approches interactives sont multiples : Noam Chomsky. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Chomsky. Noam Chomsky[1] né le à Philadelphie, est un linguiste et philosophe américain. Professeur émérite de linguistique au Massachusetts Institute of Technology où il a enseigné toute sa carrière[2], il a fondé la linguistique générative. Il s'est fait connaître du grand public, à la fois dans son pays et à l'étranger[3], par son parcours d'intellectuel engagé de sensibilité anarchiste[4],[5]. Chomsky a commencé à développer sa théorie de la grammaire générative et transformationnelle dans les années 1950 en cherchant à dépasser aussi bien l'approche structuraliste, distributionnaliste que comportementaliste dans l'étude du langage naturel.

Les recherches de Chomsky ont joué un rôle crucial dans ce que l'on appelle la « révolution cognitive ». En 1992, d'après l'Arts and Humanities Citation Index, Chomsky est plus souvent cité qu'aucun autre universitaire vivant pendant la période 1980–92. Management. Le management consiste à[2] : fixer des objectifs (stratégiques et opérationnels),choisir les moyens de les atteindre,mettre en œuvre ces moyens (recherche d'efficience),contrôler la mise en œuvre et les résultats obtenus,assurer une régulation à partir de ce contrôle (Gouvernance).

Il comprend une dimension technique (principalement liée à la comptabilité analytique et aux méthodes de contrôle de gestion visant à optimiser les ressources) et une dimension humaine (liée à la nécessité d'obtenir la motivation et la coopération des membres composant l'organisation). Le management désigne aussi les responsables de la fonction managériale (à ses différents niveaux dans l'entreprise). Les différentes dimensions du management ont été théorisées à travers les théories des organisations. Selon Mintzberg [3], manager implique de répondre à dix rôles de base que l’on peut répartir en trois groupes.

Étymologie[modifier | modifier le code] Management ou gestion ? Qu'est-ce que le management ? Selon W. Les Classiques des sciences sociales. Théorie de la communication à double étage. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie de la communication à double étage (« two-step flow theory », ou « two-step flow of communication » en anglais) a été développée par Paul Lazarsfeld et Elihu Katz dans le livre Influence personnelle paru en 1955. Remettant en cause la théorie habituelle du "pouvoir" des médias, elle propose une vision dite "des médias faibles". L'analyse porte tant sur l'influence des médias dans le cadre des élections présidentielles que des études marketing. La théorie[modifier | modifier le code] Après avoir étudié de nombreux cas, les auteurs décrivent les individus comme peu perméables aux messages des médias, du moins de façon directe.

En effet, les électeurs, en grande partie, choisissent de voter pour un candidat donné en fonction de leur entourage. L'influence des médias sur l'ensemble de la population se fait donc en deux temps : Références[modifier | modifier le code] Lazarsfeld, P.F., Berelson, B. & Gaudet, H. (1944). Construction du nombre chez l'enfant. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La construction du nombre chez l'enfant est une voie de recherche de la psychologie du développement. Les premières recherches scientifiques à ce sujet ont été réalisées par Jean Piaget. Historique[modifier | modifier le code] Pythagore puis, plus tard, Descartes, placent l'origine de l’intelligence dans le don de Dieu : « c'est de ce doute universel que, comme d'un point fixe et immuable, j'ai résolu de dériver la connaissance de Dieu, de vous-même, et de tout ce que renferme le monde. » (Descartes, Recherche de la vérité par les lumières naturelles).

Darwin, dans sa théorie de l’évolution parle de l'« évolution naturelle de l’intelligence », et exclut ainsi Dieu de son analyse. Jean Piaget et Jean-Pierre Changeux vont reprendre cette idée avec le « darwinisme neuronal mental ». La théorie de Piaget[modifier | modifier le code] Épreuve de conservation du nombre de Piaget 1re expérience Résultat 1 : 2e expérience: Résultat 2 : 3e expérience: Coaching CEOGM. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le coaching CEOGM est une méthode de développement personnel de la communication.

Apparue dans les années 2000, elle est l'une des techniques européennes les plus répandues concernant les relations publiques et l'apprentissage de la maîtrise du langage non-verbal. CEOGM est l'acronyme de force de : Conviction, Expression Orale, Gestuelle et Médiagénie. Concrètement, il s'agit d'un coaching individuel alliant un travail physique et vocal et ayant pour but d'optimiser sa communication interpersonnelle, de groupe et avec les médias. Le principe[modifier | modifier le code] Les bases du coaching CEOGM partent de la constatation que l'Homme doit réapprendre à garder de l’aisance et de la sincérité dans des contextes artificiels et générateurs de gros enjeux ou de tensions. Les quatre axes[modifier | modifier le code] Afin d'améliorer sa communication personnelle, la formation en CEOGM classique comprend quatre axes indissociables. Constructivisme social. Activation du Développement Vocationnel et Personnel.

Communication non-verbale. Théorie du développement moral de Kohlberg. Psychologie du développement. Influence sociale. Théorie du commandement divin. Théorie du détour.