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Mouteuhmout

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Je broute de l'herbe !

Penser avec | L’histoire des moutons de Panurge – Espaces réflexifs. Mon premier contact avec la réflexivité, la conscientisation du choix que l’on fait, de l’évidence que l’on questionne, c’est peut-être cette histoire que l’on m’a racontée étant enfant, celle des moutons de Panurge. Cette histoire est basée sur l’observation des comportements de ces animaux lorsqu’ils sont en groupe. Doit-on en faire de même ? Si tout le monde fait la même chose, y-a-t-il toujours une bonne raison ? Est-ce toujours évident ? « Ne fais pas ton mouton de Panurge ! » Source : L’histoire de Panurge est racontée dans le Quart Livre, chapitre VIII de Rabelais. Vous en retrouvez l’extrait correspondant dans le livre feuilletable ci-dessous, de la page 79 à 80 (source : Gallica). Comment Panurge feist en mer noyerle marchant & ses moutons.Chapitre VIII.Soubdain, ie ne sçay comment, le cas feut subit, ie ne eu loisir le consyderer.

Une traduction : Formes d’appropriation culturelles de cette histoire : Les politiques et les élus gouvernent des « MOUGEONS  (contraction de mouton/pigeon ) | «Aulnaycap ! Comme vous l’avez compris, je revendique le « ni-ni » J’assume mon dédoublement de la personnalité et ma schizophrénie économique (et c’est un mal qui touche en réalité la plus grande majorité d’entre nous). Je me sens très socialiste et très de gôche lorsque l’on parle de mon repos dominical (même si je bosse le dimanche) ou des 35 heures de ma femme ainsi que de ses jours de RTT. Je suis également encore plus de gôche lorsqu’un « vilain » médecin fonctionnaire de l’hôpital sauve mon gosse à 3 h du matin et me laisse partir sans payer, moi qui étais venu les mains dans les poches… D’un autre côté… lorsque je fais ma déclaration d’impôts je hurle, je rouspète, je vitupère, contre ces socialos de merde qui font la générosité aux autres avec mon pognon. Bref, je suis autant de gôche que je suis de drôate et pas par manque de convictions, loin de là.

Je suis un « ni-ni » parce que le bon sens ne doit pas avoir de parti ! Pourquoi je vous parle de tout ça ? Soyons précis. J'aime :