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Favelas

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Las favelas de Río de Janeiro viven una explosión inmobiliaria | Vivienda. Muito além da UPP: a limpeza étnica em torno dos enclaves fortificados dos ricos | Viva Favela 2.0. Chutando a Lata. Rio police raids: Fatal blow to favela drug gangs? 29 November 2010Last updated at 16:43 By Daniel Gallas BBC Brasil Will Sunday's police operation bring long-lasting security for residents With their takeover of the Complexo do Alemao favela in Rio de Janeiro, Brazilian security forces have managed something few believed possible.

Alemao is indeed complex: it is made up of a dozen or so different favelas with a population of some 65,000 people. The shantytown's narrow and winding streets were thought to be inaccessible to government forces. Until Sunday, the area had been a perfect safe haven for drug traffickers to run their business. But in under two hours and with a relatively low number of deaths - only three officially confirmed so far - Rio de Janeiro state police and federal troops quickly moved in and seized control. Brazilian authorities are euphoric. There is already talk of taking control of other criminal strongholds, such as in the favelas of Rocinha and Vidigal. Pacifying police Continue reading the main story Complexo do Alemao.

Rio de Janeiro « FAVELA CHIC: The Formal Informal. FAVELA CHIC: The Formal Informal. Las favelas como patios de recreo. En analysant dans un post datant de juin 2009, le cultissime "Grand Theft Auto 4", je m'étais demandé si le fait d'être un tueur permettait de mieux naviguer dans la ville ?. Et je vais vous avouer que c'est un peu la même question que je me pose ici à Rio en essayant de mieux de comprendre l'organisation et l'économie des favelas (voir là).

Pour un observateur extérieur, le système est tellement mystérieux que seul les oeuvres de fiction, et notamment des films comme "Cidade de Deus" ou "Tropa de elite" permettent d'approcher de plus ou moins près la réalité de la violence qui s'y déploient et des réseaux de narco-trafiquants qui les contrôlent.

Et même s'il est hors de question de réduire la vie de ces bidons-villes à cette seule violence, force est de reconnaître que c'est l'image que nous en avons. Mais des terrains qui ont aussi la particularité d'avoir des formes étonnantes, comme le montre la série O Campo du photographe Joachim Schmid.