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Futurs de la distribution

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3 questions à… Augustin Rosenstiehl. TEDxParis : Quels sont vos projets en ce moment ? Pouvez-vous nous donner des nouvelles du projet à Romainville dont vous parliez dans votre talk ? Augustin Rosenstiehl : Alors Romainville, ça continue et nous en sommes ravis car cela représente une évolution politique. Le règlement de l’urbanisme de la ville a en effet été modifié pour permettre ce projet et il doit maintenant s’inscrire dans le financement de l’état.

C’est une belle avancée car c’est un projet qui n’a pas d’antécédent ni de référence, c’est la négociation avec la ville et l’état. Nous travaillons aussi sur un concours organisé par la ville de Genève qui porte sur un parc horticole avec la construction d’une ferme. TEDxParis : Dans votre talk, vous critiquez beaucoup l’industrie alimentaire. AR : Ce qu’on voit, c’est que dès qu’il y a un scandale comme ça, tout le monde revient vers les artisans, les gens sont prêts à dépenser plus pour retrouver la qualité. Pour (re)découvrir son talk, c’est ICI. Conso : Qui fabrique ce petit salé aux lentilles ? Qui se cache derrière le ketchup Leader-Price ? Les sardines Carrefour ? Le chocolat en poudre système U ? La plupart des produits de marque de distributeur (MDD) sont en fait fabriqués par les grands groupes de l'industrie agroalimentaire, mais vous ne savez le plus souvent pas par qui, et pour cause.

Vendues en moyenne 20 à 30 % moins cher que les marques reconnues, elles occupent un bon tiers des caddies de supermarché. Alors que 40 % au moins sont produites par les mêmes marques, sur les mêmes chaînes, bien souvent avec la même recette et les mêmes ingrédients ! Si jusqu'ici, pour savoir qui produit quoi, il fallait connaître quelqu'un dans l'entreprise fabriquant le ou les produits en question, désormais des sites Internet comme mesgouts.fr révèlent le dessous des cartes, et dévoilent les noms des fournisseurs de la grande distribution.

Web vitivinicole, comment les domaines viticoles de l’Arc Atlantique s’affichent sur le web, juin 2012 | RAUDIN – Recherches Aquitaines sur les Usages pour le Développement des Dispositifs Numériques. Le Livre Blanc. Le Livre Blanc « Agriculture et numérique en Aquitaine » est à la fois un état des lieux mais également un document repère pour l’action et un outil d'aide à la décision en Aquitaine. La particularité du Livre Blanc est que son contenu résulte d’une collaboration entre chercheurs et professionnels agricoles. Problématique du Livre Blanc Comment les outils et dispositifs numériques se diffusent-ils et sont-ils appropriés par les agriculteurs et les organisations professionnelles ? Quels rôles jouent-ils dans les mutations des métiers et des pratiques professionnelles ? Objectifs du Livre Blanc ⎯ Rendre compte des travaux menés pendant trois ans au sein du projet RAUDIN et valoriser les résultats des recherches de l’axe 4 : Mutation des pratiques et intégration des dispositifs numériques dans les organisations agricoles en Aquitaine, ⎯ Faire une analyse de situation des interactions « Agriculture » et « TIC » en Aquitaine, sur quelques problématiques concrètes pertinentes, ⎯ Le grand public.

Circuits courts et nouvelles formes de consommation : analyse des sites de vente en ligne de produits agricoles aquitains. Agriculture online: 42 % d'agrinautes sur les réseaux sociaux (1/3) La 50ème édition du salon de l’agriculture a ouvert ses portes le samedi 23 février. Durant deux semaines, près de 700 000 visiteurs se presseront dans les allées du salon pour y faire le tour des exposants, voir les vaches, ou encore manger et boire à l’oeil.

Loin du cliché de l’homme coupé de la civilisation, les agriculteurs sont aujourd’hui ultra connectés… Réseaux sociaux, applications mobiles, objets techno… FrenchWeb fait le point sur la place du numérique dans l’agriculture. 81 % des agriculteurs utilisent Internet quotidiennement pour leur métier. C’est ce que révèle l’enquête Agrisurfeur 2012 réalisée par BVA avec Isagri, et publiée dans le numéro de septembre 2012 de Terre-net magazine. 38 % d’entre eux se connectent une fois par jour et 43 % plusieurs fois. Notons tout de même qu’en 2010, seulement 50% des agriculteurs possédaient Internet. Premier constat : l’engouement des agriculteurs pour le social. Les collectivités s’y mettent aussi. Agriculture online: le mobile au coeur de la productivité (2/3) La 50ème édition du salon de l’agriculture a ouvert ses portes le samedi 23 février.

Durant deux semaines, près de 700 000 visiteurs se presseront dans les allées du salon pour y faire le tour des exposants. Loin du cliché de l’homme coupé de la civilisation, les agriculteurs sont aujourd’hui ultra connectés… Réseaux sociaux, applications mobiles, objets techno… FrenchWeb fait le point sur la place du numérique dans l’agriculture. Les producteurs n’ont pas le temps de rester derrière leur ordinateur pour consulter le prix des grains, les prévisions météo, leurs courriels ou encore le registre de champs. C’est ce qu’explique Peter Gredig, producteur de grandes cultures dans le sud-ouest de l’Ontario et cofondateur d’AgNition, une société spécialisée dans le développement d’applications mobiles pour l’agriculture: «Comme dans n’importe quel secteur d’affaires, le temps est la ressource la plus limitée.

Rue des Terroirs. Les légumes de Terroirs d'Avenir Avis aux Parisiens friands de saveurs vraies : ruez-vous rue du Nil, où Terroirs d’Avenir a ouvert trois boutiques hautes en goûts et en couleurs. Mes amis bloggeurs/euses en ont déjà parlé, mon confrère JP Géné les a dûment célébrés dans sa chronique hebdo, et j’avais anticipé leur inauguration d’un mois ou deux dans un papier sur les épiceries en ville. Mais je ne peux pas ne pas vous (re)parler ici de Terroirs d’Avenir. Je les ai rencontrés la première fois lors d’un marché éphémère au 104, où ils proposaient des coucous de Rennes juteux, des vrais choux de Pontoise, des navets de Pardailhan croquants et sucrés, des lentilles blondes de Saint-Flour… Ils étaient timides et souriants, les mains pleines de terre, prêts à vous faire goûter tout leur étal. Alexandre Drouard et Samuel Nahon sur la rue du Nil C’est pourtant là le pari d’Alexandre (fils d’Alain Drouard, historien de la gastronomie et de l’alimentation) et de son associé Samuel.

Les prix? Is Whole Foods A Viable Model For The Future Of Capitalism? Stacked against the expediency of most American commerce, Whole Foods is a stand-out: It rewards its employees reasonably, emphasizes their autonomy and creativity, pays its execs at non-plutocratic multiples, sets standards for animal welfare, gives a leg-up to artisan producers, has strong environmental commitments, uses 100% renewable power. And so forth. It is also profitable. Last year, Whole Foods had sales of $11.7 billion, and income of $744 million. Is it a model for the future of capitalism? John Mackey, who founded the supermarket in the late '70s, thinks so. And his new book, Conscious Capitalism, written with the marketing professor Raj Sisodia, lays out the plan in great detail. "Businesspeople have allowed the ethical basis of free-enterprise capitalism to be hijacked intellectually by economists and critics who have foisted on it a narrow, self-serving, and inaccurate identity devoid of inherent ethical justification," the authors say.

Completo - Ma Planète Alimentaire. SourceMap, le wiki qui simplifie la conception des produits. Vous êtes vous déjà interrogés sur la provenance des choses ? Sur les origines des ingrédients de votre barre chocolatée ? Sur la provenance des composants utilisés dans la fabrication de votre téléphone ? Car si le sujet est en vogue, les scandales liés au travail des enfants ou les conditions de production douteuses incitent à la transparence. Pour y voir plus clair, j’ai eu l’occasion de m’entretenir cette semaine avec Leonardo Bonanni, fondateur de SourceMap, une base de données collaborative développée au Média Lab du MIT (Boston, Etats-Unis) qui vous permet de visualiser sur une carte du monde l’ensemble des pays concernés par la production d’un bien.

Géolocaliser l’origine des biens Prenons une pâte à tartiner bien connue par exemple. Si je prends maintenant une paire de baskets d’une autre marque bien connue, j’arrive à visualiser les lieux où sont manufacturés les produits, ceux où ils sont distribués, et ceux où ils sont imaginés. La naissance d’une industrie de niche. Wp-content/uploads/2011/10/BVA_Metro_Les_Francais_et_l_alimentation_locale_1_octobre_2011_cle04faa1.pdf. Quel avenir pour les boutiques 3.0 ? - TRIBUNE.

Aux Etats-Unis, 45,9% des consommateurs en ligne se rendent dans des magasins physiques pour comparer des produits avant de les acheter sur le Web (étude ClickIQ). Confrontés à un « smart » consommateur équipé d’une armada d’applications leur permettant de comparer les prix, les magasins sont réduits à de simples showrooms, au profit des leaders de la vente en ligne Amazon ou eBay. Une menace que les détaillants prennent très au sérieux.

Best Buy, en pleine chute des ventes, a remplacé les codes barres de ses produits par des codes barres personnalisés pour éviter que les produits puissent être scannés et comparés en ligne. Mais cette nouvelle tendance n’est pas une chronique du déclin inéluctable des distributeurs traditionnels : elle est symptomatique d’une profonde mutation. Elle fait écho au challenge de l’intégration du digital dans les espaces retail et répond à la nécessité d’offrir aux consommateurs « omni-canaux » une expérience sans discontinuité entre online et offline.