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Jeux vidéos

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Quelle place pour la créativité dans l'univers du jeu vidéo ? Rencontre avec Sam Lake. Max Payne, Alan Wake et bientôt Quantum Break… Sam Lake, scénariste et Creative Director de Remedy Entertainment, met sa créativité au service de la production de jeux vidéo. Mardi 2 février, il a fait part de ses méthodes et recettes pour un jeu vidéo réussi à l’occasion d’un Digitalk, réunissant des spécialistes du secteur, à l’initiative de Marc Jalabert, Directeur Général Grand Public de Microsoft France.

RSLN était présent. Au moment de créer un jeu, essayez-vous de cerner les attentes des gamers ou vous contentez-vous d’imposer vos propres standards ? Sam Lake : Selon un vieil adage que je m’efforce de respecter, « si le public pense savoir ce qu’il veut, il s’agit surtout de trouver le moyen de le lui donner par surprise ». Il faut donc avoir ces deux aspects à l’esprit pour que le jeu plaise.

Nous n’avons pas pu le faire à l’époque du lancement de « bullet time » mais c’est désormais devenu une pratique récurrente. Comment fonctionnez-vous pour maintenir la créativité ? De Malraux à Mario : les bibliothèques s'ouvrent de plus en plus aux jeux vidéo. Publié le Samedi 13 février 2016 à 09:00:00 par Alexandre Combralier Puisque le jeu vidéo est considéré comme un bien culturel, pourquoi ne pas le voir peupler les rayons au même titre que Balzac, Brassens et Blier ?

Se demandent de plus en plus de bibliothécaires de France et de Navarre. Toul, Strasbourg, Le Chesnay, Saint-Raphaël, Martigues, Le Mans, Metz, Noisy-le-Grand, Lyon, Vincennes… et tant d’autres communes encore (voir une liste en bas de cette page) ont enrayé la baisse de la fréquentation et se sont converties au XXIème siècle. La ville de Châteauroux vient justement de s’ajouter à la liste. Tous à Châteauroux.

Carole Gasnier, la conservatrice des bibliothèques la cité castelroussine (cité que d'ailleurs Philippe Auguste prit en 1188), explique s’inspirer des exemples limougeauds et berryuers. Pendant ce temps, dans le Coglais (oui, le Coglais... communauté de communes en Ille-et-Vilaine qui rassemble 12 000 habitants), on imite ses confrères de Châteauroux. Codingame, parce qu’il n’y a pas que les enfants qui jouent à coder. Codingame est une start-up de Montpellier qui réunit des centaines de milliers de développeurs ou hackers amateurs en ligne, pour jouer.

Ou plutôt pour apprendre et se perfectionner au code, voire trouver du travail, via une interface ludique à la Scratch. Une start-up à Montpellier basée sur le jeu sérieux qui réussit à lever 1,5 million d’euros auprès du même investisseur que Blablacar, c’est la jolie histoire de Codingame. A l’origine, l’envie de Frédéric Desmoulins, ingénieur en informatique qui mange par passion du Python, du Ruby, du Java, de pouvoir coder tout le temps, pour le plaisir, pour évoluer.

En 2012, il s’entoure de deux camarades rencontrés sur les bancs de l’université d’Oxford, en Grande-Bretagne, Nicolas Antoniazzi à la technique et Aude Barral au marketing, pour démarrer l’aventure Codingame, dont la plateforme est en ligne depuis septembre 2014. «Codingame intervient pour prendre le relais des plateformes d’apprentissage de code pour débutants. Découverte de l'Oculus Rift à la médiathèque de Bezons - Jeuxvidéothèque. Dans le cadre d’une animation autour de la réalité augmentée et virtuelle, nous avons proposé à notre public une démonstration d’Oculus Rift. L’animation s’est déroulée sur un après midi et les personnes présentes ont pu essayer un ou plusieurs jeux. Faire découvrir la réalité virtuelle Laisser les ados tester l’oculus qu’ils ont pu découvrir sur youtube par exemple (le très populaire Squeezie a fait une vidéo avec cet appareil) mais qu’ils n’ont jamais pu expérimenter.

L’oculus étant un appareil encore cher et non démocratisé, il paraissait important de leur proposer ce service dans le cadre d’une animation autour de la réalité augmentée. Nous avons demandé à la société LOCARCADE (spécialisée dans la location de bornes d’arcades, consoles et oculus rift) de devenir partenaire pour cette animation. L’après-midi était vraiment livrée clé en main (livraison et installation du matériel, animation toute l’après midi). Une soixantaine de personnes de tous âges ont participé à cette animation. Quelle place pour la créativité dans l'univers du jeu vidéo ? Rencontre avec Sam Lake. Guerre, cancer, famine : quand les jeux vidéo traitent de sujets sérieux. Considérés comme des champions du divertissement, les jeux vidéo s'intéressent de plus en plus à des sujets dits sérieux, en abordant des thèmes considérés comme difficiles. Un signe de la maturité de ce média, qui semble désormais prêt à interroger la conscience des joueurs.

Quatre titres, disponibles en ce début d'année, témoignent de ce virage adopté par plusieurs studios de développement indépendants dans le monde. "This War of Mine : the Little Ones" (le 29 janvier sur PS4 et Xbox One) traite ainsi de la survie et de la place des enfants dans une ville ravagée par la guerre, "That Dragon, Cancer" (déjà disponible sur PC et Mac) raconte les derniers jours d'un enfant de cinq ans atteint d'un cancer, "Cloud Chasers" (sur iOS et Android) s'intéresse à la pénurie d'eau dans le monde due aux changements climatiques et "The Westport Independent" (sur PC, iOS et Android) se penche sur la censure et la corruption au sein d'un journal d'information dans un pays totalitaire. Des jeux vidéo accessibles - Déficients visuels.