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Royalisme

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Les armes des princesses de la Maison royale de France (actualisé) Par ordre de préséance fixé par le règlement royal du 12 Mars 1710 Sommaire : 1 : Madame la comtesse de Paris 2 : Madame la comtesse douairière de Paris 3 : S.

Les armes des princesses de la Maison royale de France (actualisé)

A. 4 : LL. 5 : S. 6 : S. 7 : S. 8 : S. 9 : S. 10 : S. 11 : S. 12 : S. 13 : S. 14 : S. 15 : S. 16 : S. 17 : S. 18 : S. 19 : S. 20 : La princesse Diane d’Orléans, veuve du vicomte Alexis de Noailles 21 : Madame Edouard Crépy et Madame Pierre-Louis Dailly 22 : LL. 23 : S. S. Depuis le 2 février 2019, S. Blasonnement : Écu de gauche : « d’azur à trois fleurs de lis d’or » (Monseigneur le comte de Paris, Jean IV de France)Écu de droite : « Écartelé en 1 et 4 : d’azur à un aigle éployé d’argent couronné d’or ; en 2 : de gueules à un dextrochère armé d’argent, brandissant une épée de même ; et en 3 : de sinople au rouet d’or » (de Tornos).

Madame la comtesse douairière de Paris S. Par son mariage le 5 Juillet 1957, S. LL. Blasonnement : « D’azur à trois fleurs de lis d’or » (Fille de France). La princesse Marie de France, S. Plaidoirie de Jean Foyer défenseur de Louis XX contre Henri d'Orléans [Partie 1] - [Vive le Roy] Introduction de VLR Texte tiré la revue La Science Historique, printemps-été 1992, nouvelle série, n° 21, p. 5-16.

Plaidoirie de Jean Foyer défenseur de Louis XX contre Henri d'Orléans [Partie 1] - [Vive le Roy]

Déjà parût sur VLR : AVERTISSEMENT : Sauf mention contraire, les titres ont été ajoutés par la rédaction de VLR pour faciliter la lecture en ligne. Introduction de Jean Foyer Plaidoirie devant la Première Chambre de la Cour d’Appel de Paris, le 22 novembre 1989. À la mémoire de S.A.R. Rappel de l’historique de la procédure Madame le Premier Président,Mesdames, Messieurs, Le 21 décembre 1988, le prince Alphonse de Bourbon connaissait l’une des dernières joies d’une existence marquée de nombreux malheurs. Ce jour-là, le Tribunal de grande instance de Paris, en sa première chambre, déclarait M. L’usage du titre de duc d’Anjou et le port des armoiries pleines constituées de trois fleurs de lis d’or, en position 2 et 1, sur champ d’azur. Le jugement était fortement motivé en droit comme en fait. Que non pas ! L’un des deux intervenants, M. Hélas ! Hélas ! Séparation des grands-parents, Royaliste.org.

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