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La Pléiade

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La Pléiade. Aristote, père de la philosophie : des Œuvres complètes à la Pléiade, en passant par Annabel Lyon. Ackroyd Londres, la biographie ; William et Cie, Trois frères Adams Essais sur le beau en photographie Aira Congrès de littérature et de magie Ajvaz Fantastique : L'Autre île, L'Autre ville Akhmatova Requiem pour Anna Akhmatova Alberti Momus ou le Prince, La Statue Amis De La Flèche du temps à la zone d'interêt Réussir L'Information Martin Amis Chien jaune, Guerre au cliché Lionel Asbo, l'état de l'Angleterre Amour A une jeune Aphrodite de marbre Borges : Poèmes d’amour Guarnieri : Brahms et Clara Schumann Vigolo : La Virgilia Jean Claude Bologne historien de l'amour L'amour, horizon politique ?

Aristote, père de la philosophie : des Œuvres complètes à la Pléiade, en passant par Annabel Lyon.

Rimes de la philosophie et de l'amour : Dante, Ogien, Ackerman Décadence et permanence de l'éros : Pauvert, Mirabeau, Vargas Llosa Ampuero Cuba quand nous étions révolutionnaires Andonovski Venko Andonovski : Sorcière ? Animaux Jean Ursin : La Prosopopée des animaux Quand les chauve-souris chantent, les animaux ont-ils des droits ? L'incroyable bestiaire de l'émerveillement Le corbeau de Max Porter Antiquité Le Pogge et Lucrèce.

La Bibliothèque de la Pléiade – Brumes, blog d'un lecteur. Version du 30 octobre 2015 Version du 19 février 2016 Version du 29 mars 2016 En décembre 2013, j’écrivis une modeste note consacrée à la politique éditoriale de la célèbre collection de Gallimard, « La Bibliothèque de la Pléiade », dans laquelle je livrais quelques observations plus ou moins judicieuses à ce propos.

La Bibliothèque de la Pléiade – Brumes, blog d'un lecteur

Petit à petit, par l’effet de mon bon positionnement sur le moteur de recherche Google et du manque certain d’information officielle sur les prochaines publications, rééditions ou réimpressions de la collection, se sont agrégés, dans la section « commentaires » de cette chronique, de nombreux amateurs. Souvent bien informés – mieux que moi – et décidés à partager les informations dont Gallimard est parfois avare, ils ont permis à ce site de proposer une des meilleures sources de renseignement officieuses à ce sujet.

I. II. III. IV. V. VI. Cette page réunit donc des informations sur le programme et le patrimoine de la collection. I. Un quatrième tome est-il envisagé ? II. III. Didier Goux habite ici: Le déshonneur de la Pléiade. Dans six jours, on pourra donc lire les immortels chefs-d'œuvre de Jean d'Ormesson dans la Bibliothèque de la Pléiade.

Didier Goux habite ici: Le déshonneur de la Pléiade

Les boutiquiers qui président aux destinées de la maison Gallimard ont dû s'aviser qu'il y avait là un peu de monnaie à se faire, pour parler aussi vulgairement qu'ils doivent penser. Pendant ce temps, le Journal littéraire de Paul Léautaud n'est plus disponible que sur les sites de vente d'occasion, le Mercure de France – qui appartient aux boutiquiers déjà évoqués – ne jugeant pas utile de refaire une édition de ce monument, ce qui devrait les faire violir de honte. C'est évidemment Léautaud qui aurait toute légitimité à entrer dans la Pléiade, et non ce pauvre d'Ormesson, dont les livres tomberont en poussière le jour même où on le portera en terre, avec tous les honneurs qui ne lui sont aucunement dus.

Pourquoi la Pléiade ? Si elle n’offre pas à la littérature de s’en trouver grandie, au moins l’entrée de Jean d’Ormesson dans la prestigieuse assemblée des littérateurs de la Pléiade a-t-elle le mérite de susciter une réflexion sur le rôle de cette collection.

Pourquoi la Pléiade ?

Comme le veut une tradition bien française, chaque nouvel événement littéraire (Pléiadisation, élection à l’Académie française, remises de grands prix, etc.) est l’occasion d’animer la déception, parfois la colère, de lecteurs qui ne comprennent pas le choix de certains élus. Estimant injuste que l’écrivain de leur cœur n’ait toujours pas droit au chapitre, trouvant qui plus est insupportable moralement que la place lui soit ravie par un écrivain jugé moins digne de ce mérite, beaucoup d’observateurs trouvent dans ces irruptions mondaines une énergie à convertir en colère. Les Français sont effectivement sensibles aux médailles, décorations et autres témoignages d’un prestige ou d’une qualité particulière.