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Methode. Les bonnes copies du bac : de vraies copies d'élèves corrigées par des enseignants. La sécurité est-elle la première des libertés ? L’oeuvre d’art peut-elle manifester un absolu ? Introduction L’oeuvre d’art, produit du génie créateur de l’homme, a souvent prétendu être un moyen d’atteindre un absolu, qui est de l’ordre du suprasensible, et des valeurs humaines les plus hautes. Ainsi, quand nous nous servons du terme "oeuvre d’art", nous nous en servons avant tout, non comme d’un terme descriptif et neutre, mais comme d’un terme connotant une valeur. Les oeuvres d’art sont censées, dans notre inconscient collectif, exprimer ce qui est de l’ordre de l’absolu, nous faire avoir accès à ce qui est "transcendant".

Elles sont considérées comme des objets à part, et nous mettons à leur sauvegarde un intérêt important (notre ère est bien l’ère "muséale"). Pourtant, l’oeuvre d’art est-elle capable d’atteindre un absolu? I- Platon : l'œuvre d'art, copie du sensible, est éloignée au plus haut point de l'absolu. Pour Platon, l’oeuvre d’art n’a pas les moyens de manifester un absolu, étant donné qu’elle est assujettie au sensible. 2) Les deux sortes d'imitation.

Le besoin de justice n’exprime-t-il que la jalousie des déshérités ? Corrigé de dissertation en philosophie Le besoin de justice n'exprime t-il que la jalousie des déshérités ? Introduction La question de l’origine et du fondement du besoin de justice est rarement abordée de manière neutre. Que certains réduisent le besoin de justice à l’expression d’une sorte de ressentiment : que d’autres y voient le fondement d’une revendication légitime intéressant tout homme est très significatif.

Développement de la première partie Il s’agit de se prononcer sur l’origine du besoin de justice mais aussi sur son fondement. Il faut donc mettre l’accent sur une origine psychologique et exclure tout fondement éthique et juridique du besoin. Nous devrons insister en outre sur les différentes acceptions du mot justice et de ce que recouvre le besoin de justice. Développement de la deuxième partie Dans un premier temps, il faut insister sur le concept de justice et son irréductibilité.

Développement de troisième partie Conclusion. Technique-de-redaction-d-un-devoir-de-philosophie-vt647. Sujet Le besoin de justice n’exprime-t-il que la jalousie des déshérités? *** Document à télécharger Méthodologie pratique : entraînement sur un sujet Document en téléchargement de prépabac *** Toutes séries Sujet Le besoin de justice n’exprime-t-il que la jalousie des déshérités? Descriptif du sujet : Le devoir est d'un bon niveau.

C'est un entraînement sur un sujet. Extrait de l'étude : Nous pourrions mettre en corrélation les deux aspects du besoin, dans un premier temps il transcrit une certaine réalité, celle d’un manque, on peut d’ailleurs qualifier cette réalité d’objective et en second lieu la jalousie qui nous pousse à toujours vouloir ce que l’on n’a pas. Accéder au document A consulter : Vaut-il mieux changer nos désirs que l'ordre du monde ? Le joueur qui regarde fébrile le mouvement des dés sait que la réalisation de son désir ne dépend pas de lui. Aussi qui veut être toujours satisfait doit certainement préférer changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde. Tel était le sens de la seconde maxime de la morale provisoire de Descartes dans la troisième partie de son Discours de la méthode.

Toutefois, une telle attitude présuppose de limiter nos désirs. Dès lors, cela n’implique-t-il pas de s’empêcher de les réaliser puisqu’à la limite on pourrait aller jusqu’à vouloir les supprimer ? N’est-il pas préférable de tenter de les réaliser, condition minimale pour qu’ils soient satisfaits ? Dès lors, vaut-il mieux changer nos désirs que l’ordre du monde ou au contraire ne faut-il pas tenter de réaliser nos désirs quoiqu’il arrive ? Préférez changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde peut être en effet conçu comme la manifestation de l’impuissance. En effet, fait partie de l’ordre du monde l’ordre social. Vaut-il mieux changer nos désirs plutôt que l'ordre du monde ? Vaut-il mieux changer nos désirs que l’ordre du monde ? | Harrystaut. Le monde est un fait accompli devant lequel nous somme placés.

Nous sommes bien obligés de l’accepter tel qu’il est, puisque c’est à ce monde ci que nous sommes confrontés, et pas à un autre. Pour autant, l’homme est le seul être connu, parmi ceux qui peuplent ce monde, à concevoir l’idée du monde tel qu’il n’est pas, et tel qu’il serait s’il comblait l’ensemble de ses manques, qu’ils soient nécessaires comme le sont les besoins, ou apparemment dispensables tels que semblent l’être les désirs.

On sait que, peu à peu, l’homme est parvenu à transformer des parcelles du monde pour qu’elles satisfassent ses besoins les plus essentiels. Mais, dans la foulée de ces premières transformations, il en est venu à exiger du monde une satisfaction plus globale, qui le ferait passer de la satisfaction des besoins strictement nécessaires à la création permanente de nouveaux manques jusque là jamais ressentis ni même imaginés auxquels on donnera immédiatement réponse. Vaut-il mieux changer ses désirs que l'ordre du monde ? I = Pour le sens comme orientation et signification. Descartes considère le sujet comme un centre: la pensée (conscience) donne à l'individu, au moi comme présence à soi, la constante possibilité de s'élever au point de devenir par sa pensée l'origine de ses représentations et de ses actions: cette accession ne dépend que de lui, puisque la pensée est ce qu'il a en propre et ce qui ne peut être détaché de lui.

A chacun revient donc cette tâche s'il veut l'accomplir: devenir maître de sa pensée c'est devenir soi même sujet en réalisant le passage de la puissance à l'acte, en quelque sorte. Même le prisonnier sera heureux s'il règle ses désirs sur l'accessible, s'il ne désire pas l'impossible liberté. Ainsi le désir/volonté et son objet peuvent être inspectés par l'entendement et être réglés par la volonté puisque le désir est de l'ordre de la pensée du sujet.

II = Pour le contexte: Les trois maximes (ou règles pratiques) de la morale provisoire. » Vaut-il mieux changer ses désirs que l'ordre du monde? Introduction : Pourquoi faudrait-il changer ses désirs ? Le désir n'est-il pas, selon Spinoza, « l'essence » de l'homme, et la tendance de tout désir n'est-elle pas de tendre à se réaliser ? Or il faut pour cela se disposer à transformer le réel car il n'y a pas un accord de fait entre notre désir et la réalité.

Nous désirons la santé mais le réel contient la maladie, nous désirons être libres, mais il y a des contraintes naturelles ou sociales nous condamnant dans certaines situations à une véritable aliénation. La grandeur de l'homme ne consiste-t-elle pas à se dresser contre ces limites et à les faire reculer ? Sa vocation n'est-elle pas d'aménager ses conditions d'existence de telle sorte que, ce qui commence par être un rêve devienne réalité ?

Car l'homme fait resplendir sa supériorité selon les situations, en changeant le monde lorsque cela est possible, en changeant son désir lorsqu'il est confronté à la résistance du réel ou à la découverte de la folie de son désir. Conclusion : [ Web Philo ] Texte de philosophie Descartes : Changer ses désirs plutôt que l'ordre du monde. « Ma troisième maxime étoit de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde, et généralement de m'accoutumer à croire qu'il n'y a rien qui soit entièrement en notre pouvoir que nos pensées, en sorte qu'après que nous avons fait notre mieux touchant les choses qui nous sont extérieures, tout ce qui manque de nous réussir est au regard de nous absolument impossible. Descartes, Discours de la méthode.