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Cellules pluripotentes induites (IPS) Avec la collaboration de Mathilde Girard, chargée de recherche en modélisation pathologique iPS à l’institut I-Stem à Evry - Février 2013. Un nouveau type de cellules souches Des cellules souches sont naturellement présentes chez l’embryon et dans certains organes ou tissus adultes. Certaines cellules souches sont dites "pluripotentes" : elles peuvent se différencier en n’importe quel type de cellules de l’organisme, sans restriction. C’est le cas des cellules souches embryonnaires (ES). Présentes lors des premiers stades du développement de l’embryon, les cellules souches embryonnaires sont relativement faciles à cultiver in vitro. Les cellules souches adultes proviennent de tissus qui se renouvellent. Les cellules IPS sont quant à elles identiques aux cellules souches embryonnaires, mais elles sont obtenues par reprogrammation génétique de cellules adultes différenciées.

Les cellules IPS en pratique Les avantages des cellules souches embryonnaires, sans leurs inconvénients © Inserm. Le Nobel de médecine décerné au Japonais Shinya Yamanaka et au Britannique John B. Gurdon. Les deux chercheurs ont été récompensés pour leurs travaux sur les cellules souches pluripotentes. Le Monde.fr avec Reuters | • Mis à jour le | Par Paul Benkimoun Le prix Nobel de physiologie et de médecine 2012 a été attribué, lundi 8 octobre, conjointement au britannique Sir John B.

Gurdon, 79 ans, et au japonais Shinya Yamanaka, 50 ans, pour avoir découvert que les cellules spécialisées d'un organisme adulte pouvaient être reprogrammées afin de redevenir pluripotentes, comme le sont les cellules souches de l'embryon. Les cellules pluripotentes possèdent la capacité de pouvoir être à l'origine de tous les types cellulaires de l'organisme. Travaillant sur des amphibiens, Sir John B. Les cellules pluripotentes ont fait naître de grands espoirs tant pour la recherche destinée à comprendre les mécanismes des maladies, ainsi que les moyens de les contrecarrer, que pour être utilisées dans des thérapies cellulaires aussi bien dans des maladies génétiques que dégénératives.

Sir John B. Shinya Yamanaka. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Shinya Yamanaka (en japonais 山中 伸弥, Yamanaka Shin'ya), né le 4 septembre 1962 à Higashiosaka au Japon, est un médecin japonais et chercheur sur les cellules souches pluripotentes induites et la reprogrammation des cellules somatiques. Yamanaka partage son temps entre San Francisco et Kyoto. Au Japon, il est à la fois directeur du Center for iPS Cell Research and Application (CiRA) et directeur de recherches à l'Institute for Integrated Cell-Material Sciences (iCeMS), tous deux à l'université de Kyoto. Cet ancien chirurgien orthopédiste a été formé à la recherche biomédicale lors d'un stage post-doctoral à San Francisco dans les années 1990 ; il exerce également depuis 2007 les fonctions de directeur de laboratoire aux Gladstone Institutes et de professeur d'anatomie à l'université de Californie à San Francisco.

Biographie[modifier | modifier le code] Travaux scientifiques[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Clonage thérapeutique : les premières cellules souches humaines créées. La performance est inédite. Alors qu'elle avait été réalisée en 2007 chez des primates, Shoukhrat Mitalipov et son équipe de l'université de la santé et des sciences de l'Oregon (OHSU, Beaverton, États-Unis), viennent désormais de la reproduire chez l'Homme : des cellules souches embryonnaires ont été créées par clonage, en utilisant la même technique que celle qui avait permis de mettre au monde la célèbre brebis Dolly le 5 juillet 1996. Cependant, cette fois, l'ambition est différente. Il ne s'agit pas de clonage reproductif, mais thérapeutique, l'objectif étant d'utiliser ces cellules souches embryonnaires en médecine régénérative. Ces cellules, dotées de la capacité de se différencier en n'importe quelle cellule humaine, pourraient remplacer les tissus défaillants chez des patients atteints de maladies aussi diverses que la cécité, la tétraplégie, Parkinson ou la sclérose en plaques.

Trois ajustements rendent le clonage thérapeutique possible Des cellules souches en bonne santé. Des cellules souches embryonnaires créées à partir de cellules adultes. CELLULES SOUCHES. Les cellules souches embryonnaires sont les seules cellules capables de se différencier en tous types de cellules de l’organisme (cardiaques, hépatiques, pulmonaires...), qui en compte 200, et de se multiplier sans limite. Elles sont dites "pluripotentes". Des cellules du nouveau-né aux cellules d'adultes PRÉCÉDENT. ADULTES. Un clonage thérapeutique visant surtout les personnes âgées par clonage thérapeutique, mais uniquement depuis des cellules d’un nouveau-né.

PROTOCOLE. "Jusqu’alors, on n’était pas parvenu à cloner des cellules adultes pour créer des cellules souches embryonnaires, car ce processus paraissait plus difficile qu’avec des cellules de jeunes enfants ou de foetus", précisent les chercheurs. Des risques de dérapage ? ÉTHIQUE. Mais les détracteurs de cette technique, comme l’Eglise catholique, estiment qu’elles présentent le risque de dérapage et de mener au clonage d’êtres humains, ce que contestent des scientifiques.

HISTORIQUE. Les points de vue scientifiques, moraux et religieux - Les restrictions sur le clonage humain en France : Retard ou Prudence ? - Ce qu’en pensent les scientifiques Source : www.barons-marques.info «C'est une avancée considérable qui rend l'obtention d’embryons humains clonés beaucoup plus facile sans sous-estimer pour autant les risques inhérents à une telle technique, car elle divulgue la «recette» de fabrication du début d'un embryon humain.»

«L'équipe coréenne, composée de scientifiques de premier plan et d'expérimentateurs hors pair, a apporté un ensemble d'améliorations plutôt qu'une véritable révolution à la technique de base» Alex Kahn « C'est une occasion unique de faire des découvertes. Mais en même temps, nous devons nous assurer que nous suivons le bon chemin, d'un point de vue éthique » Y.H Tan, directeur de l'Institut biologie moléculaire et cellulaire de Singapour " Exposer les êtres humains au clonage n'est pas prendre un risque inconnu, c'est faire sciemment du mal au gens " John Kilner __Source : clonage2008.free.fr En France, une question supplémentaire a été posée aux personnes interrogées: La religion et le clonage. L'Eglise catholique est opposée à tout type de clonage, mais également à toute recherche sur l'embryon. Sa théorie est que le clonage thérapeutique pourrait ouvrir la voie au clonage reproductif, ce sur quoi nombreux scientifiques se rejoignent, car quelle est la limite entre ces deux types de clonage ?

Quels sont les risques de dérives ? De plus, selon l'Eglise catholique, le désir de soigner est légitime mais ne peut se faire au prix de mauvaises actions, comme la manipulation de l'embryon. Depuis la fin du XIXème siècle, l'Eglise considère que la vie humaine commence dès la fécondation (alors qu'une grande partie du corps médical considère qu’un être humain n'est tel qu'à partir de la nidation sur la paroi de l'utérus). L'Eglise définit donc l'embryon comme une personne en devenir, digne du droit à la vie et du droit à l'intégrité. PR09 La génétique pour prévenir la tremblante du mouton. Clonage humain. Le clonage humain consiste en la création d'un être humain ou de cellules embryonnaires humaines à partir de la totalité du matériel génétique d'un humain déjà conçu.

On pourrait comparer ce concept à une gémellité retardée, et obtenue à la suite d'une décision. Le clonage a donné l'espoir d'ouvrir un large éventail de possibilités médicales, telles par exemple que le remplacement d'un organe vital endommagé par un clone de celui-ci ou sa régénération par des cellules souches issues de l'embryon.

Son utilisation potentielle soulève cependant de nombreux questionnements éthiques et actuellement aucun débouché thérapeutique ne s'est concrétisé par une pratique médicale. À la suite des avancées du clonage animal à la fin des années 1990, de nombreux pays ont légiféré sur la question. Techniques de clonage humain[modifier | modifier le code] Le clonage humain, que ce soit pour la reproduction ou à des fins thérapeutiques, peut être réalisé en utilisant deux méthodes distinctes. Les cellules souches | La Fondation canadienne de cellules souches. Voici quelques notions de base sur les cellules souches, la recherche sur les cellules souches, les sources de cellules souches et le potentiel des cellules souches. Qu’est qu’une cellule souche ? Chaque organe ou tissu du corps provient à l’origine d’une grappe de cellules souches.

La cellule souche se distingue des autres cellules du corps par sa capacité à se renouveler. Elle peut se diviser en plusieurs autres cellules identiques à elle-même. Les cellules souches peuvent restaurer et remplacer des tissus du corps humain. Prenons l’exemple de la peau. Au début de leur vie, les cellules souches ont la faculté extraordinaire de se transformer en n’importe quel type de cellule du corps humain. Dans l’embryon, ce sont des cellules non programmées.

Sauver des vies grâce aux cellules souches Les chercheurs ont découvert que les cellules souches pouvaient servir à traiter des maladies et des lésions. Une percée étonnante L’avenir Il reste beaucoup à faire. 134277f. Clonage thérapeutique. Interdites en France mais autorisées dans certains pays européens, les recherches sur le clonage thérapeutiques suscitent de l'espoir mais aussi de la méfiance.

Cette technologie promet de nombreuses applications très prometteuses. Mais elle soulève aussi des problèmes éthiques. Qu'il soit reproductif ou thérapeutique, le clonage est un sujet qui fait débat. Si les finalités ne sont pas du tout les mêmes, les inquiétudes sont quant à elles communes. Avec Doctissimo, faites le point sur les techniques et les enjeux du clonage thérapeutique. Les différences entre clonage thérapeutique et reproductif On a souvent tendance à confondre clonage reproductif et thérapeutique.

Clonage thérapeutique : ce que dit la loi En France, la loi de bioéthique est claire : "la recherche sur l'embryon humain est interdite". Les problèmes éthiques liés à la provenance des embryons sont à l'origine de la réticence de la France à autoriser les recherches sur le clonage thérapeutique. Que pensez vous du clonage? - StrawPoll.de.

Mon nom est Eugénisme

Quels problèmes éthiques posent le clonage? Clonage. Souris clonées. Le clonage désigne principalement deux processus. C'est d'une part la multiplication naturelle ou artificielle à l'identique d'un être vivant, c'est-à-dire avec conservation exacte du même génome pour tous les descendants (les clones). C'est donc un synonyme de certaines formes de multiplication asexuée telles que le bouturage. C'est d'autre part la multiplication provoquée d'un fragment d'ADN par l'intermédiaire d'un micro-organisme. Ainsi, en biologie, le mot clonage désigne plusieurs choses : Au sens scientifique, le clonage est l'obtention d'un être vivant génétiquement identique à l'original qui a fourni son génome.

Des vrais jumeaux, monozygotes, chez les animaux et chez l'Homme sont des clones naturels. Le terme clone est utilisé pour la première fois en 1903 par le botaniste H. Clonage naturel[modifier | modifier le code] Clonage artificiel[modifier | modifier le code] Clonage végétal[modifier | modifier le code] Clonage animal[modifier | modifier le code] Dolly (brebis) Dolly, née le 5 juillet 1996 à Roslin (Royaume-Uni) (Institut Roslin) et morte le 14 février 2003 au même endroit, est une brebis célèbre pour être le premier mammifère cloné de l'histoire à partir d'un noyau de cellule somatique adulte[1] par l'équipe de Keith Campbell et Ian Wilmut chez PPL Therapeutics, en association avec l'Institut Roslin à Édimbourg en Écosse.

Le corps naturalisé de Dolly. Le 2 avril 1996, Ian Wilmut et Keith Campbell, deux chercheurs écossais chez PPL Therapeutics en Écosse, réalisent une manipulation génétique à partir de cellules de glande mammaire de la brebis adulte Geniees. Son noyau cellulaire est transplanté dans l'ovule énucléé d'une autre brebis, nommée Belinda. 277 cellules-œufs sont créées ; elles donnent naissance à environ 30 embryons. Un seul d'entre eux se développe jusqu'à l'âge adulte. Pour la première fois, un être viable issu de cette technique de clonage survit. Les chercheurs se sont vite aperçus qu'elle vieillissait rapidement[4],[5]. Snuppy. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Snuppy est le premier chien conçu par clonage[1]. Il est le résultat d'un travail dirigé par Hwang Woo-suk à l'université nationale de Séoul (Seoul National University - SNU) en Corée du Sud.

Né le 24 avril 2005, Snuppy est, comme son père Tai, un lévrier afghan. Son nom, contraction de "SNU" et "puppy" (petit chiot), fait référence au personnage de comics Snoopy. Hwang Woo-suk a également rapporté, plus tard en 2005, avoir cloné avec une efficacité exceptionnelle des cellules souches humaines. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Historique du clonage : dates clés.