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Idéologies de gestion

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10 Abandoned Places Explained. Mondialisation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Carte du monde Origines du terme[modifier | modifier le code] En français le mot apparaît pour la première fois en 1916 dans un ouvrage de Paul Otlet[3]. Le mot désigne alors une appropriation à l'échelle du monde et s'inscrit dans une réflexion sur la réorganisation de la vie internationale après la guerre. Cependant, les occurrences restent rares durant l'entre-deux-guerres. En 1907, dans le cadre d’une réflexion sur la place de l’ethnographie dans l’enseignement, Arnold van Gennep parle d’« un « mondialisme » croissant »[4] ; en 1933, il écrit : « car nous vivons en plein dans ce que je nommerai la Mondialisation de l'Humanité »[5]. Après la Seconde Guerre mondiale, le mot est employé de façon croissante[6]. Globalisation et mondialisation[modifier | modifier le code] La distinction entre ces deux termes est propre à la langue française.

Définitions[modifier | modifier le code] Autres approches de la mondialisation[modifier | modifier le code]

Communisme

État-Religion. Libéralisme et Néo-Libéralisme. Féodalité. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition : une ou plusieurs féodalités ? [modifier | modifier le code] Cette section est en cours de réécriture ou de restructuration importante. Les informations peuvent être modifiées à tout moment par le ou les utilisateurs ayant apposé ce bandeau.Bandeau apposé par Leonidas33 (lui écrire) • 19 avril 2013 Plusieurs définitions peuvent être proposées au terme de féodalité[4].

La féodalité peut être conçue comme un système politique caractérisé par de forts liens de dépendance d'homme à homme, avec une forte hiérarchisation d'instances autonomes, l'autorité centrale, le pouvoir souverain, la puissance publique étant partagée dans les faits avec des principautés ou des seigneuries, et un important morcellement du droit de propriété s'appuyant sur la détention de fiefs.

Historiographie du paradigme de la société féodale[modifier | modifier le code] Principes[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code]

Socialisme

Américanologie. Des ados ont développé leur propre système bancaire! Inde – Social: Un groupe d’adolescents de New Dehli … a décidé de prendre son avenir à bras le ….portefeuille! Ils ont décidé de travailler ensemble et de gérer les revenus de leur travail en développant un système bancaire personnel fondé sur l’idée : « Je travaille dur et j’épargne pour mon avenir ». La banque s’appelle « Le coffre au trésor » et existe depuis 2001 et se développe dans tout le pays… et même à l’étranger (A reproduire…) Elle compte aujourd’hui 300 branches en Inde, au Népal, au Bangladesh, en Afghanistan, au Sri Lanka et au Kirghizstan.

Quant à l’agence de New Dehli, elle compte aujourd’hui quelque 1 000 « clients« , âgés de 9 à 17 ans L’idée est née des auteurs de ce site : butterflieschildrights.org Img Diapo WordPress: J'aime chargement… Sionisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article se consacre surtout à l'analyse des courants idéologiques sionistes ainsi qu'aux réactions qu'ils ont suscitées. Pour le détail de son histoire, voir aussi : Histoire du sionisme. Le sionisme est une idéologie politique, décrite comme nationaliste par les uns et comme émancipatrice par les autres, prônant l'existence d'un centre spirituel, territorial ou étatique peuplé par les Juifs en Terre d'Israël (Eretz Israel).

À la naissance du mouvement, à la fin du XIXe siècle, ce territoire correspondait à la Palestine ottomane, puis après la Première Guerre mondiale à la Palestine mandataire. Sur un plan idéologique et institutionnel, le sionisme entend œuvrer à redonner aux Juifs un statut perdu depuis l'annexion du Royaume d'Israël à l'Empire romain, à savoir celui d'un peuple disposant d'un territoire. Le sionisme doit son nom au mont Sion, une des collines sur laquelle fut bâtie Jérusalem. Terminologie[modifier | modifier le code] Mont Sion. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sion. Le mont Sion (en arabe : جبل صهيون, en hébreu : הר צִיּוֹן) est une des collines de Jérusalem, située au Sud-Ouest de la vieille ville. Le nom de Sion est souvent pris comme symbole de Jérusalem. Origine du nom[modifier | modifier le code] L'origine du mot Sion vient du mot sioun.

Sa traduction littérale est une borne ou un monument servant à conserver la mémoire des morts : « Quel est ce monument que je vois là-bas? — Deuxième livre des Rois 23,17 Lu Sion ce mot désigne le site du sanctuaire de Dieu. Le nom mont Sion apparaît 19 fois dans le Tanakh. . « Souviens-toi de ce mont Sion où tu fixas ta résidence ! — Psaume 74 Géographie[modifier | modifier le code] Vue du mont Sion Changement de localisation[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Sur le mont Sion, une petite communauté juive portant le nom de Tséla ha-Elef se maintient.

Sites remarquables[modifier | modifier le code] Pogrom. Le mot pogrom (d'origine russe : погром) signifie détruire, piller. Il est utilisé spécifiquement dans plusieurs langues pour décrire les attaques accompagnées de pillages et d'effusion de sang contre les Juifs en Russie, perpétrées par la majorité chrétienne, sans réaction des autorités ou avec leur assentiment, entre 1881 et 1921[1],[2]. Il désigne aussi, de façon générale, des violences et des émeutes sanglantes dirigées par une partie de la population contre des minorités ethniques, religieuses ou d'origine différente de cette population.

Concernant les pogroms menés contre les Juifs, des violences similaires, mais d'ampleur plus limitée, surviennent à la même époque en Allemagne, en Autriche, en Roumanie et dans les Balkans[1]. Raul Hilberg définit le pogrom comme « une brève explosion de violence d'une communauté contre un groupe juif qui vit au milieu d'elle-même »[3]. Violences et massacres dans le bassin méditerranéen et en Europe avant 1880[modifier | modifier le code]