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C'est du travail !

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Peut-on échapper au travail ? (1/4): s’accomplir dans l’incertain - Idées. Par Adèle Van Reeth Réalisation : Olivier Guérin Lectures : Jean-Louis Jacopin Ah, une journée sans travail, un mois sans labeur, une année sabbatique, une vie de loisirs et de rêveries ! Confucius : « Choisis un métier qui te plaît, et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie ». Ou encore, Alphonse Allais : « J’ai toujours détesté le labeur et si je travaille, c’est dans le but unique de subvenir à mes débauches (je me passe aisément du nécessaire) ». Dans tous les cas, dans tous ces cas, le travail, c’est la douleur, la contrainte, la plaie qui ne se refermera jamais, ou l’instrument de torture à trois points que l’on découvre en explorant les origines du terme.

Difficile alors de ne pas vouloir fuir ce travail, s’en échapper, s’accorder du répit, un déni, une rêverie, mais quel serait ce non-travail, cet envers du travail ? L’homme travaille, c’est un fait. Références musicales: - Doctor L, Hands up! - Les Paratas Espantadas, Fokjeboss Lectures: Extraits: Frédéric Lordon.

Les Économistes Atterrés. Frédéric Lordon et Judith Bernard. Judith Bernard23.02.2014 A noter : devant le succès, le spectacle Bienvenue dans l'angle Alpha, d'après Capitalisme, désir et servitude, est prolongé : outre les dates du 25 et 26 février, sur lesquelles il reste des places, des représentations supplémentaires sont programmées les 4,5 et 18 mars à 21h, au Théâtre de Ménilmontant. Réservations ici : resa@menilmontant.info Faites tourner l'information !

Répondre alice24.01.2014 Ça va pas m'aider à supporter mon quotidien tout ça .... Déjà que je passe mon temps à rager intérieurement contre la hiérarchie, que je trouve moyen-âgeuse. Malheureusement, même dans une entreprise qui se croit d'avant-garde, les rapports sociaux sont codés, formatés, et bonjour la servitude volontaire. Répondre boomerang24.01.2014 Cette émission, un vrai délice. Répondre Charles Teissier24.01.2014 répondre Arkadia24.01.2014 À l'attention de Monsieur Teissier (et des autres auditeurs, bien sûr), cet extrait d'une conférence de H.R. Judith Bernard27.01.2014 répondre répondre. Lordon/Bernard. L'angle alpha. Normand Baillargeon. [Recension parue dans la revue Les Libraires] «Chaque jour il nous faut prendre parti dans notre vie d’écrivain, dans nos articles, dans nos livres» Jean-Paul Sartre, Situations II, 1948 Il y a cinquante ans, à l’automne 1963, un groupe de tout jeunes gens (ils sont au début de la vingtaine…) appartenant aux milieux populaires a lancé au Québec une revue qui deviendra aussi une maison d’édition.

Son nom? Parti Pris. Beaucoup d’entre ces jeunes gens et des participants à cette aventure sont maintenant bien connus, puisqu’ils s’appelaient Jean-Marc Piotte, Paul Chamberland, André Brochu, Gaston Miron, Patrick Straram, Pierre Vadeboncoeur — et plusieurs autres. L’aventure ne durera cependant pas très longtemps et Partis Pris, «météore dans le firmament culturel et politique québécois» (p.9), publiera son dernier numéro à l’été 1968, au sommet de sa gloire et de son influence.