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Cybercriminalité

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PJGN Pôle Judiciaire de la Gendarmerie Nationale - Cybercriminalité. Une surveillance permanente de l’ınternet La mission première de la DLCC est d’assurer une surveillance permanente de l’ensemble des espaces publics de l’Internet pour détecter et collecter les preuves des infractions qui peuvent s’y dérouler. Sa compétence judiciaire nationale lui permet d’ouvrir des enquêtes d’initiative, de réaliser les actes d’identification des personnes suspectes puis de transmettre les procédures aux unités localement compétentes, voire dans certains cas de procéder elle-même aux interpellations et aux perquisitions. L’action prioritaire de la DLCC s’exerce dans le domaine des atteintes aux mineurs, notamment par la surveillance des diffusions de contenus pédopornographiques, mais également grâce aux investigations sous pseudonyme.

Investigations sous pseudonyme Des outils toujours plus performants La coopération nationale et internationale. NSA : le scandale des écoutes américaines. Big brother Le Journal du Net publie les tarifs des requêtes visant à obtenir des opérateurs l'identité de leurs abonnés. Médaille d'or Ce lundi, les deux quotidiens américains ont été récompensés pour leurs révélations sur le système de surveillance de l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA) et leur travail d'enquête auprès d'Edward Snowden.

Les truffes comptent pas pour des prunes Le Foreign Intelligence Surveillance Act (FISA) de 1978 autorise la NSA à surveiller les étrangers mais pas les Américains. Il a été amendé à la suite des événements du 11 Septembre 2001, dans une visée sécuritaire. Grandes oreilles Le gouvernement fédéral conserverait la capacité d'accéder à des "métadonnées" mais seulement au cas par cas. Nouvelles révélations C'est ce qu'a révélé ce mardi le Washington Post qui s'appuie sur des documents envoyés par Edward Snowden, l'homme par qui le scandale est arrivé. Un site russe pirate et met en ligne des images de webcam. Les images piratées de plus de 4 500 caméras aux États-Unis, 2 059 en France et 500 au Royaume-Uni, ont fait leur apparition sur un site web russe depuis un mois.

Celui-ci, qui profite d'une défaillance des systèmes de protection ou de l'absence de mot de passe, a même récupéré une vidéo filmant la chambre d'un enfant à Birmingham, une autre un club de gym à Manchester ou encore un pub à Stratford. Des caméras en nombre moindre ont aussi été piratées au Pakistan, au Kenya ou au Nicaragua. Le site classe les images par pays et par appareil. La marque de caméras la plus citée est la chinoise Foscam, suivi par l'américaine Linksys et la japonaise Panasonic. Le commissaire à l'information du Royaume-Uni, Christopher Graham, interrogé jeudi matin sur la radio BBC 4, a déclaré qu'il avait demandé aux autorités russes la fermeture de ce site. En attendant, il a appelé les détenteurs de caméras à changer leurs mots de passe et à les sécuriser davantage.

Tentative d'escroquerie par Internet, mise en garde. Les victimes dont les cas ont été rapportés sont en général attaquées par le biais de bannières publicitaires affichées sur des sites de diffusion en flux de vidéos (ou streaming ). Ces bannières publicitaires contiennent un programme (ou script ) qui s'exécute dans le navigateur de la victime et exploite une vulnérabilité de certains logiciels permettant l'affichage d'animations ou de documents.

Une fois l'ordinateur contaminé, il affiche un message menaçant de poursuites judiciaires et invitant à payer une amende par voie électronique. Le système devient difficilement utilisable. Quelle réaction adopter ? Il ne faut évidemment pas payer la somme d'argent réclamée. Si vous n'avez pas payé ces sommes il n'est pas nécessaire de déposer plainte, plusieurs enquêtes judiciaires sont déjà ouvertes pour ces faits et une coordination de cette affaire est assurée par la Division de lutte contre la cybercriminalité du Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale à Rosny-sous-Bois. Cybercriminalité. La réussite de la montée en puissance de ces unités conditionne grandement la capacité générale de la gendarmerie, en matière de cybercriminalité, à remplir avec efficacité et synergie sa mission à tous les échelons. Au niveau central Dès 1998, la Gendarmerie nationale a identifié l'enjeu que représentent les nouvelles technologies en mettant en place des structures et des formations adaptées : - Département cybercriminalité du service technique de recherches judiciaires et de documentation (STRJD).

Il assure la surveillance du réseau en recherchant les infractions portant atteinte aux personnes et aux biens et relatives à la transmission de données à caractère illicite sur Internet (sites, les " Internet Relay Chat", les newsgroups, les réseaux d'échanges communautaires, le peer to peer). - Département informatique et électronique de l'institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale (IRCGN).

Au niveau de la chaîne territoriale - Les unités territoriales et de recherches : Comité de la Convention Cybercriminalité (T-CY) A propos Le Comité de la Convention Cybercriminalité (T-CY) représente les Etats Parties à la Convention de Budapest. Selon l'article 46 de ce traité: Les Parties se concertent périodiquement, au besoin, afin de faciliter: l'usage et la mise en oeuvre effectifs de la présente Convention, y compris l'identification de tout problème en la matière, ainsi que les effets de toute déclaration ou réserve faite conformément à la présente Convention; l'échange d'informations sur les nouveautés juridiques, politiques ou techniques importantes observées dans le domaine de la criminalité informatique et la collecte de preuves sous forme électronique; l'examen de l'éventualité de compléter ou d'amender la Convention.

Règlement et plan de travail Participants En 2014 Évaluation de l'efficacité de la coopération internationale : mise en œuvre de l'Article 31 Convention de Budapest et des dispositions connexes par les Parties. Convention de Budapest (STCE 185) Cybercrime. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un cybercrime est une « infraction pénale susceptible de se commettre sur ou au moyen d’un système informatique généralement connecté à un réseau ». Il s’agit donc d’une nouvelle forme de criminalité et de délinquance qui se distingue des formes traditionnelles en ce qu’elle se situe dans un espace virtuel, le « cyberespace ».

Depuis quelques années la démocratisation de l’accès à l’informatique et la globalisation des réseaux ont été des facteurs de développement du cybercrime. Types d'infractions[modifier | modifier le code] On peut alors aujourd’hui regrouper la cybercriminalité en trois types d’infractions : Dispositif législatif et conventionnel de lutte[modifier | modifier le code] Dispositif législatif et réglementaire français[modifier | modifier le code] En France la cybercriminalité est prise juridiquement en compte depuis la loi relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés du 6 janvier 1978. Roman d'anticipation.