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Economie Sociale et Collaborative

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Alternatives Economiques : actualité économique et sociale, information économique et sociale. Un regard sur le Social Learning. On peut ainsi considérer le Social Learning comme le développement des savoirs par la connexion aux autres via des outils web 2.0. Une intelligence collective ou “ formation collaborative ” qui nous permet d’apprendre des uns des autres par des médias en modes synchrones ou asynchrones. Pour illustrer ce concept d’apprentissage, je vous livre dans cet article trois pépites numériques. La première celle de Christophe Batier (université de Lyon 1) qui nous expose une définition très pertinente du Social Learning pour l’enseignement soit « l’utilisation des réseaux sociaux de manière informel pour l’enseignement ». Cette conférence présente ce concept avec des exemples, des usages et des outils. Je vous recommande également les autres vidéos et causeries pédagogiques via sa chaine Youtube : La seconde est un projet innovant expérimenté par Sugata Mitra “ a hole in the wall “.

Cet article est en copie sur mon blog : Bonne consultation Olivier Legrand. Interview de Stéphanie Mestrallet, responsable des opérations de PlaNet Finance France - Se lancer grâce au microcrédit. Dès demain se tiendra à Paris le Salon des micro-entreprises (1). Qui n’osera alors un « pourquoi pas moi ? » Le nerf de la guerre étant surtout « comment ». Les réponses de Stéphanie Mestrallet, jeune pointure de la microfinance, pour qui pragmatisme et engagement vont de pair. Qui n’a jamais caressé le souhait de devenir son propre boss ? Seulement voilà, « on ne prête qu’aux riches », se dit-on. Et depuis la crise, être bankable relève de la gageure. Lefigaro.fr/madame. - On ne fait pas ce métier par hasard.

Un outil pragmatique de réduction des inégalités Piquée au vif ? Qu’est-ce que la microfinance, au juste ? (1) Du 9 au 11 octobre. www.salonmicroentreprises.com(2) La « banque des villages » et première institution de microcrédit, créée dans les années 1970 au Bangladesh par Muhammad Yunus, économiste et prix Nobel 2006. Mécénat et RSE, cause commune ? Alors que la RSE -Responsabilité Sociétale de l’Entreprise- se développe timidement mais surement dans les organisations, parfois sous la pression de la règlementation, ce concept pose aujourd’hui la question de la place et du rôle du mécénat d’entreprise. Si les deux démarches tendent vers une direction convergente, faut-il les dissocier ou les fondre dans une stratégie globale de développement soutenable ? Historiquement, la RSE résulte de demandes de la société civile (associations et ONG) d'une meilleure prise en compte des impacts environnementaux et sociaux de leurs activités en interne comme en externe.

La démarche qui s’est initialement développée en réaction aux problèmes d'environnement planétaire rencontrés depuis les années 1970, s’est élargie au champ social et sociétal. Est-ce une bonne ou une mauvaise pratique ? Certes, reste qu’aujourd’hui le mécénat tel qu’il est pratiqué par les acteurs de la vie économique, ne sert plus en priorité l’intérêt général. Comment l'innovation monétaire aide l'Afrique. Les systèmes de transfert d’argent via la téléphonie mobile contribuent réellement à aider les populations africaines, notamment celles qui vivent dans les milieux ruraux, ou celles en proie au terrorisme, comme au Mali.Par Alberto Fascetto (*), depuis le Mali.Publié en collaboration avec UnMondeLibre. Aujourd’hui le téléphone mobile ne sert pas seulement à passer des appels.

Il constitue de plus en plus un symbole de statut, qui répond à plusieurs fonctions « sociales ». Mais en Afrique, un continent avec des infrastructures routières et de communication de mauvaise qualité, le téléphone portable répond à des besoins très importants. Parmi eux, le transfert d’argent. L’exemple malien Ce service se développe afin de pouvoir transférer de l’argent d’un téléphone mobile à un autre, ce qui permet à ceux qui reçoivent la « recharge » de pouvoir la transformer en espèces. Tragédies humaines Comme des centaines de Maliens, Amadou D. Alternatives —-Sur le web. La monnaie virtuelle crée de nouveaux systèmes d'échange. Ludovic_marin : #photo #économie #politique... Nouvelle stratégie d'Unilever face au "retour de la pauvreté" en Europe - Entreprises. Lundi 27 août 2012 à 08h25 Le responsable pour l'Europe du géant anglo-néerlandais de l'agroalimentaire et des cosmétiques Unilever dit dans un entretien paru lundi voir "la pauvreté revenir" sur le continent, et veut adapter en conséquence sa stratégie.

"La pauvreté revient en Europe", a dit Jan Zijderveld au quotidien allemand Financial Times Deutschland, ajoutant: "Si un Espagnol ne dépense plus en moyenne que 17 euros quand il fait les courses, je ne vais pas lui proposer un paquet de lessive qui coûte la moitié de son budget". M. Zijderveld dit vouloir s'inspirer désormais en Europe des méthodes utilisées par Unilever dans les pays asiatiques en développement, en vendant des produits meilleur marché car en plus petit conditionnement. Le Financial Times Deutschland rapporte qu'Unilever a par exemple commencé à vendre en Espagne de petits paquets de lessive ne permettant de faire que cinq machines. Infographie : Le m-commerce français à la loupe. La démocratisation du m-commerce en France est bel et bien lancée.

L'infographie réalisée par Edatis le démontre amplement, en commençant par le nombre d'utilisateurs de smartphones qui s'élève à 19,4 millions, parmi lesquels 4,3 millions ont déjà acheté des biens ou des applications avec un terminal mobile. Les ventes sur smartphones et tablettes ont progressé de 195 % au premier semestre 2012. Et plus largement, en Europe, une transaction sur mobile est effectuée toutes les 15 secondes. En 2012, le montant des dépenses réalisées en m-commerce est estimé à 2,2 milliards d'euros, avec un panier moyen supérieur de 20 % pour les achats réalisés depuis une tablette, comparativement à ceux effectués sur un ordinateur. Un catalogue de business models éco-responsables. En essayant d’être un (modeste) évangélisateur de l’innovation de business model en France, on ne peut pas réellement me taxer de surfer sur une mode quelconque.

Si je vais vous parler aujourd’hui aujourd’hui d’éco-responsabilité ce n’est donc pas non plus pour bénéficier de l’audience des néo-convertis aux greentechs. Rassurez-vous. Il se trouve que j’ai été associé avec divers groupes de réflexion à ce que seraient les business models d’avenir. L’avenir à juste titre pour ces groupes (Euromed Management, la FING, Entrepreneurs d’Avenir, le CJD, Forum RSE, et j’en oublie), étant fortement contraint par notre responsabilité sociétale et environnementale. Je ne veux pas aujourd’hui vous exposer nos réflexions préliminaires, puisque beaucoup de travail reste à faire et que je m’astreins à n’apporter que la vision pragmatique et « business », pour permettre de définir la notion de business model et son utilité. Créer une entreprise qui gagne de l’argent « normalement ».

Les quatre façons de dépenser l'argent selon Friedman. Milton Friedman avait le génie incroyable de rendre simples et amusantes des choses compliquées. L’une de ses trouvailles fut sa fameuse typologie des manières de dépenser de l’argent, développée dans l’ouvrage Free to Choose.Par Arnaud Bichon. Cette typologie peut être représentée à l’aide d’une matrice en combinant deux niveaux de réflexion : À qui appartient l’argent dépensé ?

Il est possible de dépenser son propre argent ou celui de quelqu’un d’autre.Pour qui l’argent est-il dépensé ? Quatre cas apparaissent alors : Le dernier cas de figure correspond à la façon dont l’État dépense de l’argent. —-Retour au sommaire de l’édition spéciale « Milton Friedman, le centenaire » Les plateformes de prêt solidaire popularisent le microcrédit. Prêter de l’argent à un entrepreneur qui n’a pas accès aux prêts classiques : tel est le principe des plateformes de microcrédit entre particuliers. Grâce à la dynamique du réseau social, les internautes se rassemblent pour financer des projets solidaires à l’étranger mais aussi en France.

En général, ces prêts ne rapportent pas d’argent aux investisseurs : ces solutions de microcrédit s’apparentent à de la solidarité. C’est justement à cette solidarité que l’on fait appel sur ces plateformes qui ont pour nom Babyloan, Kiva, Friensclear, Xetic ou Microworld. Internet est le bon outil pour faire parler d’une cause et rassembler autour d’elle des internautes. Beaucoup d’entre eux sont motivés pour aider une femme qui lance une petite affaire en Afrique ou en Amérique latine.

Les plateformes de prêt solidaire joue un rôle d’intermédiaire. Babyloan Il se présente comme le 1er site internet européen de micro-crédit solidaire. Pour l’investisseur, il n’y a pas de retour sur investissement. Kiva. Réseaux sociaux « locaux » : une mine d'or pour les commerces de proximité. « Nextdoor » est un réseau social dédié aux voisinages, dont l'objectif est d'encourager la communication entre riverains.

L'occasion pour les commerçants locaux de mieux fidéliser leur clientèle de proximité. Le développement des réseaux sociaux a fait des merveilles pour rapprocher les amis dispersés dans le monde entier et permettre à tout un chacun de retrouver ses anciens camarades de classe. Par contre, les réseaux sociaux ont fait très peu de choses au plan local. Basé à San Francisco, Nextdoor– site dédié aux communautés locales - s’adresse à ce domaine oublié des relations humaines. Pour devenir membre, il suffit à un visiteur de Nextdoor.com d’entrer et de confirmer ses coordonnées en envoyant une carte postale pour un coût symbolique de 0,01 dollar, payable par carte de crédit ou par téléphone. Des profils privés accessibles aux membres du même quartier uniquement La page d’accueil de Nextdoor affiche une carte du quartier et des messages de résidents.

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