background preloader

Dans les parages de Rifkin

Facebook Twitter

La consommation collaborative ou le mythe de la perceuse. La consommation collaborative a la vent en poupe, c’est indéniable.

La consommation collaborative ou le mythe de la perceuse

Elle suscite donc assez logiquement plus d’une vocation entrepreneuriale dans son sillage. Mais avant de se lancer dans la création du Airbnb de la perceuse / de la tente / du meuble à chaussures (rayer la mention inutile), mieux vaut garder la tête froide : les startups du « partage » sont des entreprises comme les autres. Derrières les réussites éclatantes du Bon Coin, d’Airbnb ou de BlaBlaCar, qui génèrent des dizaines voire des centaines de millions d’euros de chiffre d’affaires, se cache une réalité souvent bien plus rude pour les entrepreneurs de la consommation collaborative. Derrière l’engouement médiatique des dix-huit derniers mois, un constat s’impose : de plus en plus de projets mettent la clé sous la porte.

Pourquoi l’économie de partage peut être encore plus vicieuse que sa copine capitaliste. Atlantico : Couchsurfing, crowdfunding, coworking, etc.

Pourquoi l’économie de partage peut être encore plus vicieuse que sa copine capitaliste

L'économie de partage a été fondée sur des valeurs d'entraide et de solidarité. Néanmoins, à l'instar de Airbnb, aujourd'hui de plus en plus de grands groupes ont trouvé le moyen de monétiser ces services. L'économie de partage est-elle en train d'introduire la notion d'échanges marchands dans tous les domaines de la vie, là où avant il n'était question que de solidarité ? Avec l'économie de partage tout devient-il marchandise ?

» Concevoir une phase de transition vers une société basée sur l’ouverture de la connaissance comme bien commun. Entretien avec Michel Bauwens. - Remix biens communs. Alors que nous préparons une rencontre publique, le 16 septembre prochain à Paris, avec Michel Bauwens et Bernard Stiegler, sur les enjeux de la connaissance libre et de la transition écologique, sociale et économique, nous présentons ici, la traduction en français de l’interview conduite par Richard Poynder, de Michel Bauwens au sujet du projet FLOK Society.

» Concevoir une phase de transition vers une société basée sur l’ouverture de la connaissance comme bien commun. Entretien avec Michel Bauwens. - Remix biens communs

Cette interview a été publiée à la veille du sommet FLOK society à Quito, en mai 2014, sous le titre original : Working for a phase transition to an open commons-based knowledge society: Interview with Michel Bauwens. de Michel Bauwens présente le projet FLOK Society, les résultats escomptés en Équateur et plus généralement pour le mouvement P2P, sans occulter les difficultés qu’il a rencontré avec son équipe de recherche. L’interview de Michel Bauwens a été publiée sous Licence : CC BY NC ND. La traduction a été réalisé par Frédéric Sultan. Mardi, 27 mai 2014. Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif. Bernard Stiegler est philosophe, théoricien de l’évolution des systèmes techniques.

Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif

Il a découvert les modèles du libre de façon presque accidentelle, en tant que Directeur de l’INA. Initiateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou. Les modèles ouverts, contributifs et collaboratifs sont de plus en plus nombreux, la contribution s’étend à de nouveaux territoires, comment interprétez-vous cette évolution ? Avant de répondre, il y a un préalable, reconnaître que tous les modèles ne sont pas équivalents. Logiciel libre : le point de basculement. Un nouveau monde en marche. Vers une société non-violente, solidaire et écologique Etienne GODINOT Laurent MURATET Préface de Stéphane Hessel.

Un nouveau monde en marche

Avec la collaboration d’Akhenaton, Christophe André, Jean-Marie Pelt, Pierre Rabhi, Matthieu Ricard et Jean Ziegler. Khan Academy. Apprendre en ligne gratuitement. On peut aujourd’hui apprendre gratuitement en restant chez soi.

Apprendre en ligne gratuitement

Internet donne accès à toutes sortes de cours, sous forme de vidéos animées par d’éminents professeurs ou des professionnels. Destinés à un large public, ces cours sont accessibles à toute heure de la journée. Canal-u.tv, la vidéothèque numérique de l’enseignement supérieur, met en ligne des centaines de conférences filmées : lettres, arts, sociologie, droit, économie, gestion… Par exemple, un dialogue sur l’Afrique avec Raymond Depardon, etc.

France-universite-numerique.fr, alias FUN, le portail mis en place par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, fin 2013, propose des modules déposés par Sciences Po, par l’université Panthéon-Assas (« Comprendre l’exercice de la justice »…) ou encore par Paris-Ouest Nanterre (12 séances sur la Première Guerre mondiale expliquée à travers ses archives…), etc. Cours de science en ligne Les amateurs de sciences peuvent accéder à de nombreux cours et archives : iSketchnote : la start-up qui numérise vos notes. Une petite start-up française à l'assaut du crowdfunding à l'américaine. iSketchnote, petite entreprise de Grenoble vient de lancer un appel à souscription sur Kickstarter, la plateforme de crowdfunding américaine.

iSketchnote : la start-up qui numérise vos notes

Les petits Frenchies ne se sont pas lancés au hasard. "Nous avons pensé à lancer une souscription sur KissKissBankBank mais nous avions envie de fédérer une communauté de sketchnoters, à la pointe de cette technologie et, qui pour le moment se trouve plutôt aux Etats-Unis," explique Jean-Luc Vallejo, l'un des trois fondateurs de iSketchNote. Une nouvelle technologie. L’avenir de la médecine en open source. Les raisons économiques qui ont conduit les fabricants d'appareils médicaux à opter pour des logiciels propriétaires peuvent avoir des conséquences dramatiques, comme l'explique un article de The Economist traduit par Framasoft.

L’avenir de la médecine en open source

Certains chercheurs prônent donc les techniques et modèles open source. Quitte à inquiéter quelques industriels. Les makers veulent refaire le monde ! Descendants en ligne directe des adeptes du Système D auxquels on aurait greffé un ordinateur + internet,ce sont les Makers – littéralement « concepteurs + faiseurs » ou plus simplement , les bidouilleurs connectés.

Les makers veulent refaire le monde !

Avec un état d’esprit sans ambiguïté : tourner le dos à la société de consommationdont ils sont les enfants. A lire dans Néoplanète n°38. Un inventeur tunisien met au point une éolienne révolutionnaire, la moins chère au monde. Kelvin Doe, le petit génie du Sierra Leone qui a impressionné le MIT. SCIENCES - À 13 ans, il construit batteries et générateurs électriques à partir d'objets trouvés dans les poubelles de son village au Sierra Leone.

Kelvin Doe, le petit génie du Sierra Leone qui a impressionné le MIT

Trois ans plus tard, il épate les experts américains. Kelvin Doe a maintenant 16 ans et il est récemment devenu le plus jeune invité du Massachussets Institute of Technology (MIT), la prestigieuse université américaine. ACCUEIL - Nomade des mers.

Les objets interconnectés

La Ville Autrement. Artilect Fab Lab Toulouse. OpenMovement. Historiquement, la fabrication d’une montre mécanique fait intervenir un grand nombre de spécialités et de petites entreprises. Mais, pour simplifier, on peut dire que la construction du mouvement et de l’habillage de la montre sont deux sous-secteurs traditionnellement distincts. C’est ainsi que, dans l’histoire de l’horlogerie suisse, ce sont plus de 1000 marques qui ont signé les cadrans des montres au fil du temps.

L’immense majorité d’entre-elles achetaient les mouvements auprès des fabricants d’ « ébauches » [1] et composaient avec cette base leurs gammes de montres. Cela explique pourquoi on pouvait rencontrer plusieurs modèles de styles et de marques différents dans lesquels battait le même mouvement. Côté coulisses, le Swatch Group est aujourd’hui capable de produire les montres de ses marques à 100 % en interne grâce à l’intégration d’une panoplie d’entreprises spécialisées dans les composants et la fabrication des mouvements [4].

L'impression 3D par Stéréolithographie, on vous explique tout. La Stéréolithographie est considérée comme le procédé à l’origine de l’impression 3D, avec le premier équipement breveté en 1984 par Charles Hull et la première machine commerciale développée par 3D Systems en 1988. Que trouve-t-on derrière cette technique? Le procédé de Stéréolithographie, plus connu sous le nom de SLA (stereolithograph apparatus), utilise le principe de photo-polymérisation pour fabriquer des modèles en résine acrylate ou époxy et en ABS, de toute taille et de géométrie complexe avec une grande précision. La Stéréolithographie permet d’obtenir une surface d’impression parmi les plus qualitatives des technologies d’impression existantes.

Avant l’impression, un fichier numérique 3D est obtenu via un logiciel de CAO (SolidWorks, Sculpt ou Maya par exemple). Un frigo solaire contre la faim dans le monde. " The Collaborative Common " : LA consommation de demain ? Publié le 17 juin 2014 Un futur proche dans lequel l’économie collaborative et l’Internet of Things auront donné naissance à un nouveau système économique ? C’est la vision de l’économiste et auteur nord-américain Jeremy Rifkin. Dans son récent ouvrage « The Zero Marginal Cost Society: The Internet Of Things, The Collaborative Commons, And The Eclipse of Capitalism », le professeur, conseiller, futuriste et président le la Fondation pour les tendances économiques ( FOET) Jeremy Rifkin évoque la maturation de l’économie de partage et l’émergence du nouvel internet comme outil pour une meilleure gestion de l’énergie et des transports. Fort de ses racines activistes et de son bagage d’économiste, Jeremy Rifkin peint une description saisissante de la société et du consommateur après 2030.

Cet entretien réalisé dans PSFK est revenu sur les principales conclusions du livre de Jeremy Rifkin, dans lequel il s’est replongé pour l’occasion. Les marchés gratuits, la nouvelle tendance anticonso. Argentine / / Amérique du sud Né dans la capitale argentine, le concept fait fureur et a déjà conquis de nombreuses villes à travers tout le pays. L’idée est simple, il s’agit de donner le superflu sans rien attendre en retour, pour que plaisir d’offrir ne rime pas avec consommation effrénée.

Les marchés gratuits connaissent un grand succès en Argentine. © jforth (Flickr) Une idée qui gagne du terrain Imaginez un instant une brocante ou derrière chaque étal vous seriez accueillis par un : « Servez-vous, tout est gratuit ». Vingt idées pour dynamiser l’économie du partage dans les territoires. Achetez fruits, légumes, viandes... en direct et produits localement ! Circuits-Courts.be. En Suisse, des stickers sur la boite aux lettres indiquent les objets que l’on veut bien prêter. Solutions écolos sur la communauté responsable Tinkuy. Du troc au gratuit: l’économie collaborative qui grandit. Les Biens communs : un outil politique pour repenser la technologie. “On a tous tendance à dire que le numérique change nos manières de produire, de nous déplacer, d’imaginer… Mais nous devons rester prudent quand nous convoquons cet imaginaire de la révolution”, estime Valérie Peugeot (@valeriepeugeot), chercheur à Orange Labs, présidente de l’association Vecam, membre du Conseil national du numérique et rapporteuse du remarqué rapport sur l’inclusion numérique, sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel où elle était invitée à intervenir (voir sa présentation).

Or, on ne peut pas en rester à ce constat. “Nous avons besoin de repenser la technique comme un objet politique à part entière, et ce d’autant que nous sommes dans une période où les mêmes outils peuvent nous amener vers des modèles de société très différents, à l’image des Big Data”. Regional Exchange System «Time Banking» 14 propositions pour une économie open. Au printemps dernier, Philippe Lemoine nous a sollicité pour réaliser des propositions liées aux OpenModels dans le cadre de sa mission sur la transformation numérique. Le rapport final a été rendu public le 7 novembre et nous sommes ravis de constater que les plus emblématiques ont été reprises.

Le 29 juin, nous avons rassemblé une quinzaine de représentants des différents territoires de l’Open (dont Lionel Maurel, Bastien Guerry, Valérie Peugeot, Jean-Luc Wingert, Frédéric Charles, Benjamin Tincq, Karine Durand-Garçon et Louis-David Benyayer). La session a été très productive, nous avons proposé 14 actions concrètes pour les soutenir. Toutes ces propositions sont dans le livre Open Models. Expliquer les licences et en créer de nouvelles Les open models développent une nouvelle approche de la propriété intellectuelle et du droit d’auteur.

Proposition 1 : Développer de nouvelles licences dans la lignée des peer production & reciprocity licence Mobiliser les pouvoirs publics. Prosommateur. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le prix de l'énergie va-t-il exploser ? Présentation du Projet TERA. Michel Bauwens. Du collaboratif au contributif : vers le 3ème web. Les “commons”, réponse aux évolutions technologiques ? Presse - tetaneutral.net.