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Imaginez que vous êtes un OPAC… | Risu's Blog. Vous vous êtes souvent mis à la place d’un lecteur qui tente d’interroger votre catalogue ? Alors tentez maintenant de vous mettre à la place du catalogue ! Comptez vos réponses A, B, C ou D et rendez-vous à la fin pour savoir quel type d’OPAC vous êtes. A : Des notices bibliographiques de livres, représentant simplement le fonds de ma bibliothèque.

B : Des notices de différents types de documents disponibles à la bibliothèque mais aussi dans des bibliothèques proches. C : Des notices de documents disponibles dans les bibliothèques du réseau, des documents numériques numérisés par la bibliothèque mais aussi les ressources numériques pour lesquelles la bibliothèque possède un abonnement. D : Obi-Wan Kenobi. A : En ISBD, respectant scrupuleusement les dernières recommandations de l’IFLA, que tous mes usagers ont appris à lire durant le stage de 10 jours obligatoire pour s’inscrire à la bibliothèque.

B : Sous une forme simplifiée, en reprenant les données contenues dans l’ISBD. A : Bah oui.

Cahier des charges

Qu’est-ce qu’un OPAC enrichi ? Qu’est-ce qu’un OPAC enrichi ? Mercredi 1 juin 2011 Je dirais qu’il y a en fait deux dimensions à l’enrichissement des OPACs : 1. Du moteur de recherche au portail de contenus Il s’agit de dire : "un opac n’est pas qu’un moteur de recherche". C’est une aggrégation de services autour d’une fonctionnalité qu’est le moteur de recherche. Vous construisez dès lors l’opac en déclinant toutes les fonctionnalités possibles qui vont renvoyer des listes de résultats de notices : Livres les plus xxxx (consultés/empruntés/récents/etc)Documents autour du thème yDocuments du sous-genre zSi vous avez le profil y, venez ici.Si vous êtes un fan de xxxx (sport/musique/ciné), passez par làLes docs du moment (parce que c’est Cannes, c’est la coupe de foot, c’est l’expo machin) L’OPAC s’enrichit en tant qu’il devient un site, mais uniquement construit autour du moteur du catalogue – et qui vise à diversifier les modalités d’accès à la richesse de votre fonds documentaire.

Exemples : 2. Le catalogage standard. Après le catalogage, faut-t-il supprimer aussi le catalogue ? Après bien des années d’efforts, le temps de travail consacré au catalogage, rédaction de notices bibliographiques ou autorités, est en forte diminution, quand il n’est pas carrément supprimé Ceci est le résultat d’une longue bataille de quelques personnes tenaces, avec une mention particulière pour l’équipe de la Médiathèque de Fresnes et son directeur Thierry Giappiconi, et de quelques avancées techniques : généralisation des formats Marc, changement de politique pour la fourniture de notices à la BNF, base BN Opale+ et son serveur Z3950, intégration de clients Z3950 dans les SIGB et automatisation de la récupération de notices sur l’exemple du vendangeur inauguré à Fresnes en 2005 avec le SIGB Aloès (Opsys).

Après plusieurs années de fonctionnement, il est possible aujourd’hui de dresser un premier bilan. S’il apparaît que le travail de catalogage est devenu, pour ceux qui le souhaitent, négligeable, la gestion et l’administration du catalogue reste une procédure lourde et complexe. Qui cherche trouve ? Michel Fauchié Qui cherche trouve ? La définition que donnent d’un catalogue de bibliothèque nos voisins québécois est la suivante : « liste descriptive des documents que possède cette bibliothèque : livres, périodiques, publications gouvernementales, documentation audiovisuelle, mémoires, thèses, rapports, etc. Un catalogue de bibliothèque permet de : vérifier la disponibilité des documents ; de repérer des documents par auteur, titre, sujet, etc. Nous voilà au cœur de la question : le catalogue ne serait pas fait pour l’usager qui cherche mais pour le lecteur qui trouve.

Nos observations tournent autour d’un postulat centripète. Examinons ces deux points. Toute demande de recherche raisonnée fait l’objet d’une démarche préalable, consciente ou non : choix du sujet, de son angle, délimitation de l’aire de recherche (sa bibliothèque, d’autres…), enfin, certitude d’obtenir une réponse favorable. D’autres pistes s’offrent à nous : pourquoi s’en priver ? Notice bibliographique : La conjuration pour des accès thématiques aux catalogues. « Beaucoup de gens, probablement la plupart, doivent, pour trouver quelque chose, savoir au préalable que c’est là. »Georg Christoph Lichtenberg 1 Il faut bien se l’avouer : nos catalogues en ligne, tels qu’ils se présentent désormais sur la Toile, en concurrence avec les librairies en ligne et surtout avec les outils de recherche, ne peuvent apparaître au plus grand nombre que comme les instruments primitifs qu’ils sont devenus.

Objets archéologiques qu’on ne peut comprendre que si l’on connaît leur origine : les diverses formes de répertoires, en fascicules ou sur fiches, ont été conçues en un temps où les supports de l’information secondaire étaient organisés en fonction de leur rareté. Ce n’est plus du tout ainsi que tout un chacun, quidam ou universitaire de haut niveau, cherche et surtout trouve de l’information sur Internet. Si l’on inventait aujourd’hui les catalogues de bibliothèques, on s’y prendrait bien sûr autrement. La première est majoritaire. Convaincus que : Avril 2005. OPAC 2.0. Koha à l’ISH et l’Ifpo : retour sur le projet de réinformatisation. 21 avril 2011 2009 : lancement de la phase préparatoire du projet de réinformatisation Koha pour les bibliothèques de l’ISH et de l’Ifpo. 2011 : Smultidoc (le catalogue bibliographique commun de l’ISH et du réseau Langues asiatiques) est rejoint par Koha Ifpo en ligne et en production.

Entre ces deux dates se sont échelonnées de nombreuses étapes de préparation, de test et de mise en œuvre au sein de l’équipe projet ISH, chez Tamil, notre prestataire de service, et dans les bibliothèques. Aujourd’hui si une étape de taille, celle de la migration des données et de la mise en production des deux systèmes, a été franchie, l’aventure Koha à l’ISH n’est pas terminée. Mais peut-être peut-on jeter un regard en arrière sur ce qui a déjà été entrepris et réalisé.

Il ne s’agit pas d’un retour d’expérience à proprement parler, mais de livrer quelques réflexions sur le projet sous forme de billets. Smultidoc est le catalogue bibliographique commun de l’ISH. Imprimer ce billet.