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La ville

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Des légos pour panser la ville. Après vous avoir mis en danger avec les bombes du 20e et l’attaque parisienne des spaces invaders, jetons notre dévolu sur le travail de l’artiste Jan Vormann. Dans le cadre de son projet Dispatchwork, le jeune artiste allemand répare les blessures des villes en comblant ses anfractuosités et ses meurtrissures par de petites installations de Lego ou de Duplo. Quelques exemples à travers le monde : Source : Dispatchwork Ce projet a initialement été conçu pour le Festival d’Art Contemporain 20 Eventi qui se tient dans la région de la Sabine au Nord de Rome. Dans un premier temps, Yan Vormann s’est concentré plus particulièrement sur les villes marquées par la guerre : Berlin, Tel Aviv, Belgrade… Tout en pansant la ville, les modules multicolores attirent l’attention sur la charge historique du bâti qui nous entoure, dans une démarche très poétique.

Venez découvrir d’autres articles sur Urbamedia. Par Eva. Neozoon: «nos animaux sont d’authentiques produits de la ville» « Urbain, trop urbain. > J’ai cru comprendre que vous êtes un trio d’artistes, des femmes portant d’horribles masques de vieillards pour garder l’anonymat ? Alors, vous vivez à Paris, Berlin ou les deux ? Oui, tu as raison. Nous habitons entre Berlin et Paris, mais de quels masques parles-tu au juste? (rires) > Depuis quand Neozoon existe-t-il ? Neozoon existe depuis 2008 et notre très cher et exclusif “manteau de rat musqué” n’a pas été recyclé avant 2009, si nos souvenirs sont bons.

> Pourquoi votre site Internet s’ouvre-t-il par une citation de la Planète des singes ? La Planète des singes est une satire sur les œuvres et destinées de notre civilisation. > À part lors des expositions auxquelles vous participez, beaucoup de votre réputation tient au street art. La plupart du temps nous travaillons pendant la journée et nous n’avons jamais eu de problème. Il nous incite à penser l’homme comme « fierté de la création ». > Deleuze disait qu’il n’y a plus beaucoup de « rapport animal à l’animal ». Absolument. Les bienfaiteurs de la ville. On s’est bien souvent baladé la nuit pour guetter les changements qui pouvaient arriver dans la ville et pour avoir quelques images à insérer dans le documentaire Insitu… De cette façon nous avons rencontré des personnages improbables qui se révèlent être de vrais bienfaiteurs de la vie quotidienne.

Urbamedia a découvert un groupuscule de cette catégorie… C’est en visitant l’exposition « Villes durables, villes rêvées » à la Fondation EDF que j’ai découvert le mouvement de la Guerilla Gardening. Au premier étage, à proximité de diverses maquettes de projets architecturaux écovertueux et de panneaux de présentation des dernières innovations géosalvatrices, un reportage d’une chaine anglaise était dédié à Richard Reynolds et sa bande de jardiniers urbains. Le théâtre d’opération : La ville. Ces guérilleros du jardinage agissent ainsi illégalement pour semer ou planter fleurs, plantes aromatiques, fruits et légumes dans des espaces abandonnés, privés ou publics. Sur la carte INSITU London.

T-Mobile Angry Birds Live. NICY Town. Oui au mariage forcé ! | DEUX DEGRES. L’un des dogmes de l’urbanisme actuel, hérité de la loi SRU, réside dans la promotion de la mixité sociale. Cela consiste à construire une ville dans laquelle les différentes catégories sociales seraient mêlées et se côtoieraient au quotidien, favorisant l’idée que la ville est un bien commun, un espace de partage et de projet collectif. On demande alors aux gentils urbanistes de concevoir des villes où cette mixité s’exerce à l’échelle du quartier, de l’îlot, du bâtiment. Comme ça les riches et les pauvres sont hyper contents de vivre ensemble et ils organisent des barbecues pour les repas de quartier. Passez-moi l’expression mais cette politique semble tout à fait petit bras, Il est aujourd’hui évident qu’il faut réhabiliter le mariage forcé !

(Oui, seulement le mariage forcé car l’excision n’a pas encore démontrée de vertu particulière dans ce domaine) Afin de lutter contre l’endogamie sociale il faudrait favoriser la mixité à l’intérieur même du couple. URBAIN trop URBAIN. Manuelle Gautrand sort la Gaîté-Lyrique de son sommeil - Réalisations. Endormi depuis 1991, le théâtre parisien de la Gaîté-Lyrique s’est réveillé le 2 mars 2011 en établissement public dédié aux cultures numériques et musiques actuelles.

Derrière cette réanimation : l’agence Manuelle Gautrand Architecture et la Ville de Paris. Manuelle Gautrand, qui œuvre à « ré-enchanter la ville » par son architecture, vient de sortir la Gaîté-Lyrique d’un mauvais sort. Ce théâtre parisien inauguré en 1862 rue Papin (3e arrondissement) a été amputé de sa salle de spectacle à italienne dans les années 1980, au profit d’un mini-parc d’attractions resté ouvert quelques… semaines. En 1991, le bâtiment tombe à l’abandon. Dix ans plus tard, à son élection à la mairie de Paris, Bertrand Delanoë décide de remettre sur pied l’établissement culturel. Retrouvez également cette réalisation sur la base de données communautaire de l’architecture contemporaine du Moniteur.fr et du Pavillon de l’Arsenal : www.architopik.com. L’urbavidéo du mercredi #27 : 4D Experiences à Istanbul et Münster. La ville est le support idéal de nos projections mentales. Certains quartiers nous attirent, d’autres nous repoussent et c’est ainsi que nous nous fabriquons nos propres cartes de l’espace urbain.

C’est aussi la source d’inspiration de nombreux réalisateurs qui mettent en scène leurs fantasmes et leurs envies pour nous faire rêver, nous angoisser ou nous faire prendre conscience de réalités qui nous sont étrangères. Naturellement, certains bâtiments se prêtent plus particulièrement à l’exercice. L’expérience 4D résume cela par la projection sur une façade d’un film qui donne à voir la ville sous un jour nouveau. Procédé technique complexe qui s’appuie sur la structure même du bâtiment, cet objet cinématographique peu prendre de nombreuses formes : Jeu sur les formes du bâti pour transformer le travail originel d’un architecte, support chargé d’histoire pour rappeler le rôle et l’importance d’une ville dans son contexte, moyen détourné de faire partager une oeuvre artistique.

Zoom sur la ville avec Jakob Wagner. Il est tard. Revenant d’une soirée bien arrosée vous êtes assis à l’arrière d’une voiture à regarder la ville s’ebattre sous vos yeux. Le corps urbain est pris de spasmes, s’électrise et danse sous vos yeux comme un carillon de fête foraine. Des halos se forment et les lumières se difractent en de multiples feux d’artifices. Quel spectacle délectable ! Voila ce que m’inspire le projet Urban Zoom du photographe allemand Jakob Wagner qui utilise a bon escient de longs temps de pause couplés à des effets de zoom pour transcrire le crépitement de la vie urbaine nocturne.

. © Jakob Wagner – Manhattan © Jakob Wagner – Londres © Jakob Wagner – Coney Island © Jakob Wagner – Amsterdam © Jakob Wagner – Dusseldorf © Jakob Wagner – Brooklyn © Jakob Wagner – New Jersey © Jakob Wagner – Valencia. Little People in the City par Slinkachu. Apprehender la ville et sa complexité nécessite pour l’urbaniste, l’architecte et le géographe de réflechir à différentes échelles. Il s’agit pour ces techniciens de concevoir la ville dans toutes ses dimensions afin de n’oublier aucun enjeu, aucun usage, et ce, pour le plus grand bonheur des habitants. Si ce processus de conception fait la part belle aux échelles macro (international, national, régional) et micro (ville, quartiers, ilot…) l’échelle nano est de son côté la grande oubliée.

A notre grande satisfaction, le photographe anglais Slinkachu s’est penché sur cette question. Dans sa série The Little People Project, l’artiste photographie le monde du point de vue de petites figurines en plastique savamment disposées avant de nous le montrer vu du notre. Les jeu des focales nous permet de découvrir des paysages insoupçonnés et terrifiants à la fois, et éveille notre oeil à un monde infiniment petit et infiniment grand dont chaque dimension réclame notre attention… © Slinkachu.

Street Tape | Out One - It's a Wolfpack Mix.