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Ludwig Wittgenstein 1889-1951 (Analytique) Une version wittgensteinienne de l'allégorie de la caverne. - Les philosophes antiques à notre secours. Ludwig Wittgenstein : Les jeux de langage. Wittgenstein Dans leur acception tardive (à partir des Investigations philosophiques), les jeux de langage de Wittgenstein constituent des notions de première importance pour la réflexion sur les signes dans la mesure où ils recouvrent l’entier des pratiques sémiotiques.

Ludwig Wittgenstein : Les jeux de langage

Ils sont à concevoir comme les paramètres conceptuels partagés qui permettent le repérage ou la production des signes, ainsi que l’établissement des relations de signification et de représentation. On présente ici trois notions interdépendantes : les jeux de langage (pratiques sémiotiques – qui, malgré le terme « langage », ne se limitent pas au langage verbal), les coups dans les jeux de langage (actions concrètes accomplies au sein d’un jeu de langage donné et matière première de la réflexion sémiotique) et la grammaire des jeux de langage (architecture conceptuelle qui conditionne l’usage des signes). « Commander, et agir d’après des commandements.

Décrire un objet d’après son aspect, ou d’après des mesures prises. Charles Sanders Peirce : La sémiotique. Suivez-nous Peirce Après avoir présenté les trois catégories philosophiques de Charles Sanders Peirce, nous expliquons comment ces catégories interviennent à différents niveaux dans le fonctionnement des signes ou processus sémiotique.

Charles Sanders Peirce : La sémiotique

Le processus sémiotique est un rapport triadique entre un signe ou representamen (premier), un objet (second) et un interprétant (troisième). Chacun de ces trois termes se subdivise à son tour selon les trois catégories. A partir de là, et en tenant compte de la hiérarchie des catégories, on peut répertorier dix modes de fonctionnement de la signification. Ce texte peut être reproduit à des fins non commerciales, en autant que la référence complète est donnée : Nicole Everaert-Desmedt (2011), « La sémiotique de Peirce », dans Louis Hébert (dir.), Signo [en ligne], Rimouski (Québec), Peirce a élaboré une théorie sémiotique à la fois générale, triadique et pragmatique1. Une théorie générale : Une théorie triadique : Une théorie pragmatique, c’est-à-dire : 1. 2. Polyphonie : le concept bakhtinien. Polyphonisme, de Bakhtine à Ricoeur. En étudiant le phénomène polyphonique qu'il expose dans Les problèmes de la poétique de Dostoïevski[1](1929/1962), Bakhtine se réfère pratiquement de manière exclusive à l'œuvre de Dostoïevski: "Dostoïevski est le créateur du roman polyphonique.

Polyphonisme, de Bakhtine à Ricoeur

Il a élaboré un genre romanesque nouveau. " (Bakhtine, 1970/1998, p. 35). Il considère en tout cas Dostoïevski comme le premier véritable auteur polyphonique. Plus tard dans ce même livre, il nuancera ses propos en soulignant que l'emploi du terme de polyphonie emprunté à la musique et appliqué à la littérature ne peut être que métaphorique: Il faut remarquer que la comparaison que nous établissons nous-mêmes, entre le roman de Dostoïevski et la polyphonie, n'est rien de plus qu'une figure analogique.

Nous nous permettrons de commencer par faire ici deux remarques aux affirmations de Bakhtine. Polyphonisme, de Bakhtine à Ricoeur. Umberto Eco : Le processus sémiotique et la classification des signes. Suivez-nous Eco La sémiotique touchant une diversité de signes différents, Eco a élaboré une classification qui distingue notamment les signes artificiels des signes naturels, auxquels nous nous limitons dans ce chapitre.

Umberto Eco : Le processus sémiotique et la classification des signes

Les signes naturels se divisent en deux classes : (1) les signes identifiés avec des choses ou des événements naturels (ex. : la position du soleil); (2) les signes émis inconsciemment par un agent humain (ex. : des boutons indiquant une varicelle) (cette classe comporte plusieurs sous-classes). Il en va de même avec les signes artificiels, qui sont ou (1) produits explicitement pour signifier (ex. : l’aboiement d’un chien), ou (2) produits explicitement comme fonction première (ex. : une chaise pour s’asseoir), seconde (ex. : un collier en diamants pour la richesse), mixte (ex. : un uniforme de policier, pour à la fois couvrir et indiquer une fonction sociale).

Ludwig Wittgenstein. L’intérieur comme enjeu. On peut circonscrire de façon assez précise la période de réception du psychologue Wolfgang Köhler[1] par Wittgenstein : en 1946 débute une phase en quelque sorte intermédiaire entre la première partie des Recherches philosophiques I (achevée autour de 1945) et De la certitude (1949-51), durant laquelle Wittgenstein étudie en particulier les problèmes de la philosophie de la psychologie.

L’intérieur comme enjeu

Des premiers textes de cette époque jusqu’aux Remarques sur les couleurs (1950-51), nous trouvons un nombre étonnant de références et d’allusions à Köhler et à la psychologie de la forme en général. En plus du Nachlass, Wittgenstein mentionne Köhler maintes fois dans ses cours sur la philosophie de la psychologie à Cambridge de 1946-47[2]. Nous pouvons présumer que Wittgenstein a lu le livre Gestalt psychology[3] de Köhler, conçu comme une introduction à la psychologie de la forme autour de 1946-47. Nous ne savons pas s’il connaissait d’autres textes. Concernant Wittgenstein Concernant Köhler.