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Philosophie/Economie/Politique

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Stoïcisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Stoïcisme

Le stoïcisme est un courant philosophique hellénistique issu de l'école du Portique (du grec Stoa) fondée en 301 av. J. -C. à Athènes, par Zénon de Cition. Le stoïcisme a par la suite traversé les siècles, subi des transformations (notamment avec Chrysippe de Soles en Grèce et à Rome avec Cicéron, Sénèque, Épictète, Marc Aurèle), puis exercé diverses influences, allant de la période classique en Europe (en particulier au XVIIe siècle, chez René Descartes) jusqu'à nos jours. Un des points qui distingue le stoïcisme des autres courants philosophiques antiques est sa psychologie qui est à la base des thérapies cognitivo-comportementales modernes[1],[2]. Le stoïcisme s'appuie sur la distinction centrale entre d'un côté les choses qui dépendent de nous et sur lesquelles nous pouvons agir et d'un autre côté les choses qui ne dépendent pas de nous et sur lesquelles nous n'avons aucune influence.

Avant-propos[modifier | modifier le code] Pour M. Libre arbitre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Libre arbitre

Pour les articles homonymes, voir Arbitre. Le libre arbitre est la faculté qu’aurait l'être humain de se déterminer librement et par lui seul, à agir et à penser, par opposition au déterminisme ou au fatalisme, qui affirment que la volonté serait déterminée dans chacun de ses actes par des « forces » qui l’y nécessitent. « Se déterminer à » ou « être déterminé par » illustrent l’enjeu de l’antinomie du destin ou de la « nécessité » d'un côté et du libre arbitre de l'autre.

Le principe d'incertitude, la théorie du chaos, voire les théorèmes d'incomplétude de Gödel, ont, selon certains, apporté des éléments nouveaux à ce débat, sans pour autant le trancher. [réf. nécessaire] Histoire[modifier | modifier le code] Origine augustinienne du concept[modifier | modifier le code] Saint Augustin fut l'un des premiers à méditer le concept de libre arbitre (portrait imaginaire par Botticelli, v. 1480). d’où vient que nous agissons mal ?

Paul Jorion. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Paul Jorion

Paul Jorion[1], né le 22 juillet 1946[2] à Bruxelles, est un chercheur en sciences sociales, de nationalité belge, ayant fait usage des mathématiques dans de nombreux champs disciplinaires : anthropologie, sciences cognitives, et économie[3]. Anthropologie[modifier | modifier le code] Modélisation algébrique des systèmes de parenté[modifier | modifier le code] Élève de Claude Lévi-Strauss et du mathématicien Georges-Théodule Guilbaud, Paul Jorion a fait progresser la modélisation algébrique de systèmes de parenté, résolvant en particulier le système matrimonial des Pendé du Congo (en collaboration avec Gisèle de Meur et Trudeke Vuyk), et réconciliant plusieurs interprétations contradictoires du système de parenté des Murngin d'Australie (à partir d’une recherche menée en commun avec Edmund Leach, son professeur à l’université de Cambridge[réf. nécessaire]).

Il est coauteur avec Douglas R. Benjamin Libet. Capables et incapables. 2017 était le véritable enjeu de 2012. Le texte qui suit a été publié une première fois, dans une version très légèrement différente, le 24 février 2012, sur le site de Télérama, où il était accompagné de nombreux enregistrements vidéo développant des points de vue évoqués dans l’article.

Capables et incapables. 2017 était le véritable enjeu de 2012

J’ai proposé à Mediapart de le republier un peu plus de deux années plus tard, c’est-à-dire après les élections municipales puis les élections européennes de 2014, et trois années avant les présidentielles de 2017, en mettant au passé les verbes qui étaient au présent, et en y insérant parfois quelques très brefs ajouts contextuels [entre crochets]. Tous les citoyens français savaient en 2012 – plus ou moins confusément – que l’enjeu de la campagne présidentielle était la disparition du monde qui apparut au cours du XXe siècle. Les candidats de gauche semblaient présupposer qu’aborder le sujet de ce changement de monde serait électoralement suicidaire, comme s’il était impossible de faire confiance à leurs électeurs. MANIFESTE 2010. Anglais . portugais . slovaque . polonais Cinq ans après sa fondation, Trois ans après le déclenchement de la crise économique mondiale, Ars Industrialis publie un nouveau manifeste 1.

MANIFESTE 2010

Au mois d’avril 2005, au moment de la fondation d’Ars Industrialis, nous soutenions dans notre premier Manifeste 1que le détournement systématique du désir vers les marchandises – organisé par le marketing à travers les industries culturelles – , et la soumission totale de la vie de l’esprit aux impératifs de l'économie de marché, qui en résultait, conduisaient « inévitablement, à terme, à une crise économique mondiale sans précédent » – au cours de laquelle le système présent du capitalisme se révèlerait être structurellement « autodestructeur ». Cinq ans plus tard, la crise planétaire déclenchée en 2007 par l’effondrement du système des subprimesn’en finit plus d’étendre ses conséquences calamiteuses. 2. Telle est la véritable portée de cette crise, dont les aspects financiers ne sont qu’un élément. 3. 4.