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La performance - Le Bonheur au travail - ARTE. "L'homme au travail a besoin de se sentir utile car il cherche à donner un sens à ce qu'il fait" L'utilité est la qualité propre de l'outil. Elle est en puissance quand ce dernier est rangé sur l'étagère et en acte quand il est entre les mains de l'artisan, qui s'en sert de manière appropriée pour réaliser son oeuvre. L'outil a d'ailleurs son utilité propre: le tournevis est utile pour visser ou dévisser mais pas pour enfoncer un clou. Appliquer l'idée d'utilité à la personne au travail conduit, d'une certaine manière, à la comparer à un "outil"... d'un genre très particulier puisqu'il se construit sans cesse et qu'il, à l'inverse du marteau, a besoin de reconnaissance et se demande régulièrement pour quoi il est fait et à quoi il sert. L'homme au travail a besoin de se sentir utile car il cherche naturellement à comprendre pourquoi il fait ce qu'il fait.

Cette question incessante de l'utilité est la grande question de la génération Y, génération du " why" (Y en anglais). Faire quelque chose que quelqu'un va regarder Quel est le but que je poursuis? Développer l'estime de soi. Le travail idéal | Je choisis ma vie ! Quel est le travail idéal ? Voici une question de société devenue majeure de nos jours !

Tout au long de l’année 2011, Radio France a mené une grande enquête sur le travail. Les équipes de Radio France ont demandé à près de 6000 personnes de répondre à un questionnaire très détaillé et très complet sur leur vision du travail en général et du travail idéal en particulier. Radio France vient de publier les résultats de cette enquête dans un livre très instructif et bien ancré dans son temps : Quel travail voulons-nous ? Cet ouvrage synthétise les résultats de l’enquête (QCM + verbatim) et les interprètent via un éclairage de trois professionnels : un sociologue, un psychologue et un philosophe. Autant dire que peu d’ouvrages peuvent se vanter de reproduire aussi bien ce que pensent les français du monde du travail et quelle est leur vision du travail idéal. En cause, la quête folle et omniprésente de rentabilité et de productivité qui déshumanise le travail, lui enlève tout son sens. 6 conditions de travail parfaites que tout employé recherche.

En quoi le TRAVAIL peut-il être source de BONHEUR? » La valeur du travail. Il faut souligner la valeur morale, existentielle et sociale du travail. Dans la mesure où l'on peut lui reconnaître une valeur, le travail peut faire l'objet d'une obligation morale, sociale et si l'on est croyant religieuse. A) Dimension morale. -Travailler consiste à prendre en charge le fardeau de l'humanité. La nécessité biologique et sociale du travail fonde le devoir d'assumer, selon ses capacités, sa part de la contrainte. On y conquiert au moins la dignité de celui qui ne s'en remet pas au travail des autres exclusivement pour satisfaire ses besoins. « Celui qui ne travaillera pas ne mangera pas » disent les Ecritures. D'où l'humiliation de ceux qui sont exclus, par la raréfaction du travail et non par leur manquement moral, du processus de la production des biens et des services.

. - Travailler éduque, humanise en imposant de mobiliser son attention et son énergie dans l'effort. Cf. . - Alain n'hésite pas à dire qu'il est une école de vertus. B) Dimension existentielle du travail. L'argent fait le bonheur... jusqu'à 4900 euros par mois. Gagner plus rendrait plus heureux, selon une étude menée par deux économistes américains. Mais ce n'est plus vrai au-delà d'un seuil qu'ils fixent à 75.000 dollars par an, soit 4900 euros par mois. La très sérieuse revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences vient de publier une étude qui dément en partie le proverbe selon lequel l'argent ne fait pas le bonheur. Réalisée par Daniel Kahneman, Prix Nobel d'Economie en 2002, et son collègue de l'université de Princeton, Angus Deaton, l'étude porte sur le bien-être de 450.000 Américains interrogés en 2008 et en 2009 pour l'indice Gallup-Healthways.

Les auteurs en viennent à la conclusion que l'argent fait bien le bonheur... mais jusqu'à un certain point. L'impression d'avoir réussi sa vie Pour tous les autres, soit la vaste majorité de la population dont le revenu ne dépasse pas ce seuil, leur bien-être émotionnel est bridé par leurs préoccupations financières. » Les Etats-Unis, pays le plus riche mais pas le plus heureux. L'argent fait-il le bonheur ? La théorie du Prix Nobel du 13 octobre 2015 - France Inter. Vous évoquez le nouveau Prix Nobel d'économie, l'écossais Angus Deaton. Le jury du Prix Nobel a choisi hier ce spécialiste des liens entre les revenus et la consommation, qui est également expert des progrès contre la pauvreté dans le monde.

Mais Angus Deaton est aussi connu pour avoir coécrit avec un autre économiste, le Prix Nobel 2002, un article retentissant sur ... l'argent et le bonheur. Ils ont apporté une réponse à cette question : est-ce que devenir plus riche améliore vraiment le bonheur ? En termes triviaux, si l'argent fait le bonheur, combien en faut-il ? Avec quels enseignements ? Le premier, qui paraît sauter aux yeux, est que l'on a une condamnation de la société de consommation !