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Qui veut la peau de Deezer et Spotify ? Twitter serait sur le point d'imiter les autres géants Google, Apple et Microsoft en proposant ses propres offres de streaming de musique.

Qui veut la peau de Deezer et Spotify ?

Mais qu'ont ils tous à vouloir proposer de la musique ? Le marché ne cesse de perdre de l'argent et les sites de téléchargement ou de streaming continuent de mettre la clef sous la porte. Derniers exemples en date : Beezik a mis la clef sous la porte et la Fnac a décidé d'arrêter de vendre des MP3. "Soit ils se lancent dans la musique, soit dans le sexe" "N'allez pas pour autant croire que le secteur est sinistré", rectifie Yves Riesel, PDG du site de musique Qobuz. "La musique est l'un des trois éléments les plus recherchés sur internet avec le sexe et l'argent", confirme le journaliste Emmanuel Torregano, auteur de "Vive la crise du disque". Canal+ ouvre un site intégrant Spotify, qui lance de nouvelles fonctionnalités. Spotify a rapporté aux ayants droit plus de 380 millions d'euros en 4 ans.

Lancé en 2008, Spotify est un service d'écoute de musique à la demande en streaming qui base son modèle économique sur le freemium : l'usager peut accéder gratuitement à la bibliothèque musicale de la plate-forme, en échange de quoi son écoute est entrecoupée de publicités sonores.

Spotify a rapporté aux ayants droit plus de 380 millions d'euros en 4 ans

À côté de cette offre, Spotify propose une formule payante haut de gamme sans publicité et disposant de fonctionnalités supplémentaires. La viabilité du freemium comme modèle économique a souvent été questionnée, dans la mesure où les recettes récupérées grâce à la publicité sont insuffisantes pour compléter les gains enregistrés via les abonnements. Les ayants droit qui mettent à disposition leurs catalogues exigent ainsi de Spotify (et d'autres services du même genre) des mesures pour pousser les usagers à s'abonner.

C'est la raison pour laquelle des restrictions sont apparues au fil du temps sur la version gratuite de Spotify, comme la limite de cinq lectures du même morceau. Spotify : 20 millions d'utilisateurs et plein de nouveautés. Le service de streaming musical Spotify a annoncé hier plusieurs nouveautés et quelques chiffres.

Spotify : 20 millions d'utilisateurs et plein de nouveautés

Il sera bientôt consultable via un navigateur Web et l’application va s’enrichir de plusieurs rubriques supplémentaires. Photo : Ty Pendlebury/CBS interactive Spotify tenait hier soir une conférence de presse à New York durant laquelle il a annoncé plusieurs nouveautés pour son service de streaming audio. Ainsi, on apprend que la version Web du service devrait être disponible dès la fin de cette année. Mais c’est surtout au niveau des nouvelles fonctions que Spotify fait sa révolution. On trouvera également Follow, un pseudo réseau social qui affiche ce que les personnes que vous « suivez » écoutent. Lors de la conférence, Spotify a également livré quelques chiffres. Télécharger un MP3 sur Spotify ?

Télécharger un MP3 sur Spotify ?

Télécharger un MP3 sur Spotify ?

Évidemment, avec l'arrivée de Spotify en version web, Firefox + Flashgot (sans soft de DL externe) deviennent une arme de destruction massive. Peuvent mieux faire niveau sécurité, non ? Ce serait presque de l'incitation au piratage de laisser passer une méthode de DL aussi simple... Espérons pour nos pauvres ayants droits, qu'ils sécurisent cela un peu mieux. (Oui, parce que là on s'ennuie). Vous avez aimé cet article ? Spotify bientôt sur votre navigateur internet. Flash Eco : Spotify lèverait 100 millions de dollars. Spotify mis à jour sur iOS pour accueillir le 320 kbps.

Spotify : un centime d'euro par écoute qui pèse lourd. Il y un an, Spotify traversait l'Atlantique pour atteindre les États-Unis.

Spotify : un centime d'euro par écoute qui pèse lourd

L'occasion de partager quelques statistiques (via) : on n'en saura pas plus sur le nombre d'abonnés, mais l'on sait que 13 milliards de morceaux ont été écoutés ces douze derniers mois aux États-Unis via Spotify. C'est l'équivalent de 2 700 années d'écoute. Spotify : deuxième source de revenus des maisons de disques ? Crédits photo : DR.

Spotify : deuxième source de revenus des maisons de disques ?

Le site Spotifiy arrive-t-il à refaire son retard sur iTunes ? C'est la question que le site internet Business Insider s'est posée dans un article publié ce lundi 25 juin. A l'origine de cette interrogation, les dires d'une source proche du site et ayant un pied dans l'industrie du disque. En effet, la rédaction du Business Insider s'est vue confirmer que la plateforme Spotify était devenue la deuxième source de revenus des grandes maisons de disques. Une information qu'il est difficile de vérifier sans avoir tous les chiffres relatifs aux revenus des différentes maisons de disques. D'autant que l'idée même du streaming divise ! S'inscrire sur Spotify ne requiert plus un compte Facebook. Les services de streaming rapportent des clopinettes à un label indépendant.

Véritable phénomène en Europe et aux USA, les services de streaming audio rémunèrent les artistes et les labels non pas sur les ventes, mais en fonction des écoutes et des avances pour les majors.

Les services de streaming rapportent des clopinettes à un label indépendant

Plus les morceaux sont écoutés, plus l’on gagne. Mais tous les services n’offrent pas les mêmes rémunérations… Notre confrère Digital Music News vient ainsi de mettre en avant des données publiées par The Trichordist. Reprenant les écoutes de quatre services différents d’un catalogue de 87 albums et 1280 titres entre juillet et décembre 2011, The Trichordist a publié les chiffres suivants :Zune : 15 159 titres écoutés - 437,58 $ (0.028 $/titre, 1/25ème d’un titre téléchargé sur iTunes).Napster : 30 238 titres écoutés - 479,07 $ (0.016 $/titre, 1/43ème d’un titre téléchargé sur iTunes).Rhapsody : 50 822 titres écoutés - 668,57 $ (0.013 $/titre, 1/53ème d’un titre téléchargé sur iTunes).Spotify : 798 783 titres écoutés - 4277,39 $ (0.005 $/titre, 1/140ème d’un titre téléchargé sur iTunes).

Spotify, je suis ton pair ! On est désormais plus qu'habitué aux procès portant sur des brevets dans le domaine de la high-tech, où Apple, Samsung, Microsoft et compagnie s'écharpent joyeusement.

Spotify, je suis ton pair !

Même chose en ligne, avec des batailles mêlant Yahoo ou Facebook. Dans le monde du streaming musical, par contre, les actions notables sont restées rares, et on se souvient surtout de l'affaire PacketVideo contre Spotify -- déjà -- en juillet 2011. L'action intentée mi-août contre Spotify par une entreprise néerlandaise inconnue jusqu'ici, Nonend Inventions , est donc doublement intéressante. Spotify, un succès mondial, un gros bémol des artistes. Spotify : la rentabilité, ce n’est pas encore ça. Spotify est un service fantastique, il tourne presque en permanence chez moi et sans doute aussi chez beaucoup d’entre vous, mais tout n’est pas parfait pour autant.

Spotify : la rentabilité, ce n’est pas encore ça

Et parmi ses principaux défauts, il y a évidemment la question de sa pérennité. Une question particulièrement épineuse, surtout si l’on se penche sur les derniers chiffres publiés sur la petite société suédoise. Spotify / 3 millions d'abonnés. Spotify chercherait à lever des fonds pour une valorisation de près de 4 milliards de dollars. Comment Spotify peut conquérir le monde en 5 étapes  C’est Sean Parker qui le dit : en continuant au rythme actuel, dans deux ans Spotify aura dépassé iTunes comme source de revenus de l’industrie de la musique.

Comment Spotify peut conquérir le monde en 5 étapes 

En clair, l’application suédoise veut conquérir le monde, et semble bien partie pour le faire. Voici en 5 étapes, certaines déjà entamées, d’autres purement spéculatives, comment Spotify pourrait conquérir le monde. 1 : Se faire des alliés puissants L’histoire de Spotify est particulière dans le monde de la musique en ligne, puisque ses créateurs Daniel Ek et Martin Lorentzon ont attendu d’avoir l’accord des principales maisons de disque pour se lancer. Dans un milieu marqué par l’avènement successif de Napster et Youtube, on était plus habitué à lancer le service d’abord et à se soucier de légalité après.

Si les majors n’étaient pas forcément convaincues par le modèle gratuit, comme l’affirmait Pascal Nègre il y a encore peu, elles ont joué le jeu pour voir et semblent être en train de changer d’avis.