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Adgate : pas de confrontation lors de la rencontre entre Fleur Pellerin, Free, les éditeurs et les régies. L'affrontement n'a pas eu lieu. La réunion ce lundi au cabinet de Fleur Pellerin au sujet du blocage par défaut des publicités depuis la Freebox Révolution n'a pas vraiment donné le résultat escompté. Il n'y a en effet pas eu de débat. Selon nos informations, les acteurs du Web (le Geste et le Spill pour les éditeurs, l'Udecam, le SRI et l'IAB pour les régies) et Free avec Maxime Lombardini, directeur général ont été auditionnés séparément par la ministre en charge de l'Economie numérique. De quoi un peu refroidir l'ambiance. D'autant plus que selon nos sources, la ministre Fleur Pellerin a tenté de minimiser l'offensive de Free et les problèmes soulevés par ce blocage par défaut, désactivé depuis ce lundi matin.

Les acteurs concernés ont ainsi observé un certain manque de combativité de la part de la ministre et du gouvernement, malgré les risques de bouleversements du modèle économique des sites gratuits suite à un tel blocage décidé unilatéralement par un opérateur. Selon OVH, Free va perdre la bataille contre Google et Apple. Contrairement à Free, Orange, Bouygues Telecom ou SFR, OVH a fait le choix de proposer des offres ADSL sans télévision ni vidéo à la demande, ni autre services proposés sur les box des fournisseurs d'accès à internet. Et pourtant, alors qu'il s'agit de services très demandés, OVH (qui proposera en février son offre de VPN) compte déjà près de 100 000 abonnés à ses offres ADSL, proposées à près de 30 euros par mois.

L'opérateur les a convaincu en misant sur la qualité du service offert, avec une bande passante garantie et le refus de tout bridage ou filtrage, mais aussi en considérant que la bataille pour le téléviseur était vaine. En effet, en inventant le modèle de la box triple-play, au point d'en faire la clé de voute de son offre tarifaire, Free s'est positionné tel le village d'Asterix voulant reste le point d'entrée privilégié au téléviseur, alors qu'il affronte les romains Apple, Google, Microsoft, Samsung, LG et bien d'autres.

Les FAI français "prisonniers d'une posture" Free Adgate : encore un argument en faveur de la contribution créative. La mise en place d’un dispositif de blocage de la publicité par Free activé par défaut sur sa box a fait l’effet d’une bombe ces derniers jours et les commentaires fusent de toutes parts à propos d’une potentielle atteinte d’un nouveau genre au principe de neutralité du web. Devant le tollé soulevé par cette étrange initiative, il semblerait que le FAI s’apprête déjà à faire marche arrière dans les prochains jours, s’en tenant à un coup de semonce adressé à Google, dans la lutte à laquelle se livre les deux opérateurs depuis des mois à propos des accords d’interconnexion. Group meeting of the walking billboards. Par illuminaut. CC-BY-NC. Source Flickr. Même si l’affaire pourrait rapidement retomber, il me semble qu’il faudra en tirer les leçons quant à la question de la dépendance de nombreux sites vis-à-vis de la publicité, qui leur permet d’offrir un accès gratuit à l’internaute.

Human Billboard 1. Like this: J'aime chargement… Sur le même thème Création et Internet : la TAXe ou la PAX ? AdBlock Plus s'oppose au blocage de la pub façon Free. Les créateurs de la célèbre extension pour navigateurs AdBlock Plus, qui permet de bloquer tout ou partie de la publicité en ligne, s'oppose à la façon dont Free a implanté son propre bloqueur de publicités sur la Freebox Révolution (ce qu'il a finalement supprimé ce lundi).

"AdBlock Plus milite pour un internet plus propre et non pas sans publicité", rappelle Till Faida, le cofondateur de l'extension. "Contrairement à la controverse de Freebox et un fonctionnement d'opt-out, nous donnons le choix aux internautes, par l'intermédiaire de listes blanches (liste des éditeurs en accord avec AdBlock Plus), toujours avec l'aide d'une communauté de développeurs vigilants". Le mois dernier, l'extension a été modifiée pour laisser passer les publicités dites "acceptables", qui n'imposent ni son, ni animation, ni contextualisation en fonction du profil de l'internaute. High-Tech : Pellerin : «Free et les éditeurs vont trouver un compromis» INTERVIEW - Fleur Pellerin, ministre de l'Économie numérique, réunira lundi Free, les éditeurs et les régies publicitaires. LE FIGARO. - Free a-t-il le droit de bloquer la publicité sur Internet?

Fleur PELLERIN. - Ce sujet n'est couvert ni par le droit national, ni par le droit communautaire. Je note qu'il ne s'agit pas d'un filtrage, mais d'une fonctionnalité offerte au consommateur, qui a toujours la possibilité de la désactiver. Certains sites craignent pour leur survie. Y a-t-il un danger pour l'écosystème numérique? Je comprends que certains sites, qui proposent des contenus ou des services gratuits en les finançant par la pub, s'inquiètent pour leur survie.

C'est pourquoi je reçois lundi Free, les éditeurs et les régies publicitaires pour trouver un compromis dans les plus brefs délais. Free remet-il en cause la neutralité du Net? Ce point fait débat. Free veut ainsi contraindre Google à payer. Rien ne permet de dire que les deux sujets sont liés. Pas de procès d'intention. High-Tech : Blocage de la pub :Free veut faire plier Google. En bloquant la pub sur Internet pour ses abonnés, Free veut faire plier les géants du Net afin qu'ils contribuent au financement des réseaux télécoms. Xavier Niel, le patron de Free, a jeté un nouveau pavé dans la mare: grâce à une nouvelle fonctionnalité introduite sur la Freebox, il bloque la publicité sur Internet pour ses 5 millions d'abonnés ADSL.

Concrètement, les abonnés Free, lorsqu'ils surfent sur Internet depuis leur ordinateur ou leur tablette, accèdent à leurs sites habituels, débarrassés de la plupart des encarts publicitaires, essentiellement ceux gérés par Google. Cette mesure a provoqué la colère de nombreux éditeurs, qui vivent de la publicité et se sentent menacés.

Pourquoi Free a-t-il pris une telle décision? Pour de nombreux spécialistes du Web, il s'agit d'une accélération dans le bras de fer que l'opérateur a engagé contre le géant américain Google, qu'il souhaite faire payer pour l'utilisation de son réseau. Le David français aura-t-il raison du Goliath américain? Et Free coupa l'accès aux "sites terroristes" "Xavier, on va se parler franchement. Les élections approchent, et il n'est pas question de se taper une nouvelle affaire Merah. François n'y survivrait pas. Il faut qu'on sache qui visite les sites terroristes en France, pour les surveiller étroitement. Et qu'on sache qui consulte les pages des organisations occultes qui soutiennent ces chieurs de Notre-Dame-Des-Landes" - "Pas possible, nous n'avons pas dans nos bases les adresses des sites internet qu'ont visité nos abonnés, ça serait une atteinte grave à leur vie privée"

. - "Bien sûr. Fiction ? Ce n'est pas grave, nous dit-on, puisque l'on peut désactiver. Par ailleurs, qui ira prendre la peine de modifier les paramètres d'un filtrage imposé par défaut ? En 2011, nous avions déjà pointé du doigt les dangers d'un filtrage par défaut lorsque la proposition avait été faite de filtrer la pornographie par défaut chez les FAI. Xavier Niel, patron de Free, investit dans la société Clever Cloud. Une technologie de pointe Pour ceux qui ne le savent pas encore, le « Cloud », nuage en anglais, représente la technologie qui permet d’offrir une énergie informatique à la carte à toutes applications web.

Plus besoin de dépenser un forfait pour de l’énergie non utilisée, le client ne paye que ce qu’il consomme. Clever Cloud adapte les ressources et l’infrastructure du site ou de l’application en permanence. Il y a deux ans, Quentin Adam, et son associé Kevin Decherf, ont créé Clever Cloud avec cet objectif : proposer une plateforme d’hébergement Cloud pour tous ceux qui veulent utiliser cette technologie. « Nous venons justement de la mettre en ligne sur notre site depuis trois semaines. » Pourtant, le cœur de métier de Clever Cloud ne représente aujourd’hui que peu sur leur chiffre d’affaires. Un investissement à long terme « Nous sommes dans la technologie pure sur ce service d’hébergement », explique Quentin Adam. Des services au Japon S ou avec Métronomy. Free limite maintenant l’usage de Free Wifi à une seule connexion. Free se débarrasse (enfin) de la Freebox V4. Apple chercherait-il à porter Mac OS X sur ARM ? La thèse de Tristan Schaap fait beaucoup parler d’elle et à première vue, certains médias répondent à cette question par la positive depuis que l’étudiant a publié son papier détaillant le « portage de Darwin sur un MV88F6281 [un processeur ARM Marvell, NDLR] ».

Néanmoins, contrairement à ce que l’on peut lire, cela ne veut pas dire qu’Apple va forcément offrir Mac OS X sur ARM. Mac OS X est déjà porté sur ARM en quelque sorte Tout d’abord, comme le souligne Thorn Holwerda de OS News, Mac OS X est déjà porté sur ARM en quelque sorte puisque iOS est un dérivé du système d’exploitation pour ordinateur. Ils partagent la même fondation, Darwin. Lion (Mac OS X 10.7) s’est d’ailleurs fait remarquer en rétrécissant la ligne le séparant du système mobile. Apple travaille différemment Nous sommes donc très loin du portage du système d’exploitation tel qu’il est commercialisé sur les Mac. Tester les diverses architectures ARM. La Freebox Révolution accueille Twitter. Grandes manoeuvres et avancées sur le front du cloud. Vendredi 17 février 2012 L'Etat français veut se doter d'une offre de cloud souverain pour rester indépendant des grands acteurs mondiaux, principalement américains. Une préoccupation qui n'est pas nouvelle et nous ramène au plan calcul des années 60.

Mais ce projet semble pour l'instant un peu chaotique. Alors que le consortium Andromède tarde à se concrétiser, un nouvel ensemble de prétendants autour du couple Dassault/SFR s'est constitué. De son côté, Atos qui avait manifesté son intérêt pour Andromène se lance dans l'aventure avec EMC et VMWare. Pendant ce temps, certains acteurs poussent leurs pions. Dans les rebondissements du cloud « français », Atos, pendant un temps intéressé à faire alliance avec Orange et Thalès, tracera son propre sillon en partenariat avec les deux sociétés américaines EMC et VMWare en créant la société Canopy dans laquelle il aura la majorité.

AWS au-delà du milliard de dollars et 762 milliards d’objets stockés. Fibre optique : Free revoit ses investissements à la baisse. Free abandonnerait-il le terrain de la fibre optique dans les immeubles à ses concurrents ? Free se serait en effet désengagé de plusieurs projets FTTH (la fibre à domicile – Fiber To The Home). Et les 592 000 logements visés en septembre 2011 sont aujourd’hui réduits à 265 000, rapporte ZDnet.fr. Dans le même temps, Orange et SFR multiplient les initiatives, notamment à travers un accord de mutualisation et de partage des investissements visant à fibrer 10 millions de logements. Mais, selon Maxime Lombardini, directeur général d’Iliad, c’est tout le contraire. Il déclare notamment se positionner comme un des premiers investisseurs avec 160 millions d’euros en 2011, note Silicon.fr. Et de préciser que, face au faible taux d’adoption des offres fibre optique en France (à peine 200 000 foyers sur les 1,47 million de prises optiques fin 2011), l’opérateur préfère se concentrer sur les logements éligibles plutôt que de chercher à conquérir de nouveaux immeubles.

Le choix de la mutualisation. 4 millions de hotspots ouverts aux abonnés Free Mobile. A compter d'aujourd'hui, les abonnés à l'offre illilmitée de Free Mobile (15,99 euros par mois pour les abonnés Internet, 19,99 euros pour les autres) disposent d'un "accès Internet nomade illimité automatique au réseau communautaire WiFi de Free, FreeWiFi Secure.

" Concrètement, cela signifie que les smartphones de ces utilisateurs vont pouvoir se connecter automatiquement aux quatre millions de hotspots Free existant. La bascule entre la connexion 3G vers le réseau communautaire WiFi Free se fera automatiquement et sans demander de codes d'accès. L'authentification se fait par la carte SIM. Un protocole spécifique Le système repose sur le protocole d’authentification EAP-SIM qui autorise chaque abonné à se connecter automatiquement au réseau WiFi communautaire par une adresse IP qui lui est dédiée. C'est SFR qui a été le premier à utiliser ce protocole et à le proposer à une partie de ses abonnés (3 départements) depuis mars 2012. Pourquoi Free transforme les box de ses clients en antenne-relais. Free vient d’annoncer un accès internet nomade illimité automatique au réseau Free, FreeWifi Secure.

Le communiqué précise que "ce service permet au smartphone de basculer automatiquement d’une connexion 3G au réseau communautaire WiFi Free qui compte plus de 4 millions de hotspots". Ce service est réservé aux abonnés qui sont équipés d’un smartphone compatible EAP-SIM (extensible authentification protocol method for GSM). Selon Free, cela signifie qu'il est accessible aux abonnés possédant un Blackberry ou un iPhone (équipé de iOS 5) ainsi que certains smartphones sous android, "au cas par cas" précise-t-on chez Free. Quel est l'avantage pour les abonnés à Free mobile ? L’intérêt pour le consommateur est évident : l'abonné Free mobile peut ainsi surfer sur internet sans que cette consommation de données soit comptabilisée dans les 3 Go mensuels auxquels il a droit.

Free a donc intérêt à diminuer autant que faire se peut le recours au réseau Orange. BEI : Free reçoit un prêt pour développer sa fibre optique. Le groupe Iliad (Free) et la Banque européenne d'investissement (BEI) ont annoncé, lundi 27 août, la signature d'un financement de 200 millions d'euros pour investir dans le déploiement du réseau de fibre optique de l'opérateur et intensifier le dégroupage. Le contrat de financement signé par Xavier Niel, fondateur du groupe Iliad/Free, et Philippe de Fontaine Vive Curtaz, vice-président de la BEI, au siège du groupe Iliad, à Paris, est dans la continuité du premier contrat de financement de 150 millions d'euros signé en 2010. "Sur ces 200 millions, 130 millions seront affectés à la pose de fibre optique et le reste à la montée en débit et à un programme fort de dégroupage", c'est-à-dire d'installation de matériel en propre pour éviter d'avoir à payer une sorte de "loyer" pour l'utilisation du réseau de l'opérateur historique.