background preloader

Généralités

Facebook Twitter

Comment le streaming est en train de sauver la musique. Une croissance de 0,3% sur un an, cela peut paraître ridicule.

Comment le streaming est en train de sauver la musique

Mais cela faisait 12 ans que l'industrie musicale n'avait pas enregistré un si bon résultat, selon le rapport annuel de l'Ifpi, la Fédération internationale de l'industrie phonographique. Une évolution liée à la progression des ventes de musique numérique, en augmentation de 9,8%, qui totalisent désormais 5,6 milliards de dollars au niveau mondial et représentent 34% du chiffre d'affaires du secteur. Dans certains pays, les revenus numériques sont même parvenus à dépasser le chiffre d'affaires des CD et DVD, comme en Inde, en Norvège (où le marché global de la musique a progressé de 7% en 2012 grâce au streaming), en Suède et aux Etats-Unis.

L'offre légale s'est considérablement développée partout dans le monde. Il y a deux ans, les grands magasins de la musique en ligne que sont iTunes, Spotify ou Deezer n'étaient présents que dans un peu plus de 20 pays, rappelle l'Ifpi. Pour la première fois depuis 1999 le marché de la musique progresse. Google pas assez strict avec les pirates, selon les majors. Par Orianne Vatin, le 22 décembre 2011 20:44.

Google pas assez strict avec les pirates, selon les majors

Le logiciel anti Peer-To-Peer ! Le marché de la musique en ligne français : un modèle qui se cherche. 20 milliards de téléchargements illégaux en 2005 selon l'IFPI. 20 milliards de téléchargements illégaux sur le net en 2005 29 septembre 2006 / Le chiffre est à prendre avec la plus grande prudence mais le dernier rapport de l'IFPI, International Federation of the Phonographic Industry, a recensé plus de 20 milliards de téléchargements illégaux sur Internet en 2005.

20 milliards de téléchargements illégaux en 2005 selon l'IFPI

Grande perdante, l'industrie musicale accuse ainsi des pertes de près de 40%. Le piratage, autrefois cantonné aux informaticiens bricoleurs à l'affût de nouveautés, se démocratise. Il a pris une ampleur importante en 2005, atteignant le chiffre de 20 milliards de téléchargement illégaux (estimation). En pratique, cela correspond à un CD sur trois vendu dans le monde ou à la somme de 4,5 milliards de dollars américains. Pressions sur les acteurs du P2P L'organisation IFPI, qui défend les intérêts de l'industrie musicale, a démultiplié ses actions pour trouver des accords avec quelques uns des principaux acteurs du Pier to pier.

La France continue à condamner sévèrement. Musique numérique : l'IFPI oublie de dire que les pirates sont aussi des consommateurs. Publié ces jours-ci, le rapport annuel sur l'état de la musique numérique commandé par l'International Federation of the Phonographic Industry (IFPI) n'est pas vraiment surprenant dans son contenu.

Musique numérique : l'IFPI oublie de dire que les pirates sont aussi des consommateurs

Comme à son habitude, l'organisme international chargé de défendre les intérêts de l'industrie du disque préconise la riposte graduée et appelle les gouvernements à prendre de nouvelles dispositions législatives afin de punir les pirates responsables - selon les ayants droit - de la mise à mort de cette industrie. Cependant, Torrentfreak a mis en lumière des informations assez inattendues derrière le vernis du discours traditionnel des ayants droit sur le peer-to-peer. Des informations que l'IFPI a d'ailleurs préféré mettre de côté, car elles vont contre ses intérêts.

En effet, l'étude menée par Forrester indique en filigrane que les adeptes du P2P ne sont pas les derniers à consommer de la musique légalement. Ce serait même les consommateurs les plus dépensiers dans ce domaine. Rapport Gallo : l'IFPI envoie aussi sa pétition avec 300 artistes. Nous révélions ce matin qu'une centaine de cinéastes ont signé une pétition envoyé aux députés du Parlement Européen pour les convaincre de voter mercredi le rapport Gallo sur les renforcements des droits de propriété intellectuelle.

Rapport Gallo : l'IFPI envoie aussi sa pétition avec 300 artistes

Toujours très soudée dès qu'il s'agit de défendre ses intérêts, l'industrie culturelle ne s'est pas arrêtée en si bon chemin. L'IFPI feint l'enthousiasme après l'arrêt de la CJUE sur le filtrage ! L'IFPI consacre l'effet Hadopi. Fait rare, l'International Federation of Phonographic Industry ( IFPI ) est optimiste à l'heure de dresser un bilan mondial pour la musique numérique.

L'IFPI consacre l'effet Hadopi

Pour ce marché, les revenus ont augmenté de 8 % en 2011 pour atteindre 5,2 milliards de dollars. Un marché du numérique qui représente 32 % du marché global de la musique enregistrée. L'IFPI souligne l'expansion rapide à de nouveaux marchés de services comme iTunes, Spotify et Deezer, et ainsi des services de musique en ligne présents dans 58 pays contre 23 au début 2011. Les ventes de titres en téléchargement ont augmenté de 11 % et 24 % pour les albums. Le nombre d'utilisateurs abonnés à un service musical payant a lui augmenté de 65 %, soit 13,4 millions dans le monde. Sans surprise, l'IFPI pointe néanmoins une nouvelle fois du doigt le piratage. Dans ce contexte, l'IFPI distingue l'impact positif de lois anti-piratage dont Hadopi pour la France avec la réponse graduée.