background preloader

Généralités

Facebook Twitter

Selon la RIAA, Google ne rétrograde toujours pas assez les sites illicites. Le bras armé de l’industrie musicale américaine vient de publier une note, dans laquelle il explique que le changement survenu cet été concernant l’algorithme du moteur de recherche de Google n'a pas eu l'effet escompté.

Selon la RIAA, Google ne rétrograde toujours pas assez les sites illicites

Contrairement à ce qui était espéré, ces ayants droit regrettent que l’offre légale de musique continue d'apparaître plus loin que les sites « pirates » dans les résultats de Google. Le 10 août dernier, Google annonçait qu’un nouveau paramètre allait influencer le référencement des sites dans son moteur de recherche : « nous allons commencer à prendre en compte un nouveau signal dans nos classements : le nombre de notifications de contenus illicites. La RIAA accuse ouvertement Google de laxisme. Aussi fine et délicate qu'un porte-avions tentant de se garer dans un abribus, toujours prête à allumer des feux de cheminée à l'aide d'une bombe à neutrons, la redoutable Recording Industry Association of America (RIAA) n'a vraiment pour habitude d'y aller par quatre chemins.

La RIAA accuse ouvertement Google de laxisme

Aujourd'hui, l'objet de son courroux n'est autre qu'un certain Google, ouvertement pointé du doigt pour un supposé manque de bonne volonté. Pour appuyer leurs dires, les responsables de la RIAA s'appuient sur la récente décision de Google, il y a quelques mois, de mieux prendre en compte les alertes aux infractions de propriété intellectuelle en référençant - sans pour autant les censurer, ce que Google ne fait qu'en cas de décision de justice - les sites visés par la colère des ayant-droits. Problème : selon l'impitoyable lobby américain, le géant de la recherche semble finalement assez peu concerné par l'affaire.

Pour Steven M. Kesha au gala de charité RIAA en smoky eyes métallisé raté. La RIAA rêve maintenant de filtrage proactif. La RIAA, le bras armé de l'industrie musicale américaine, vient de transmettre sa traditionnelle liste noire des sites pirates au gouvernement américain.

La RIAA rêve maintenant de filtrage proactif

L'organisation y dessine par ailleurs ses souhaits pour l'avenir : que les hébergeurs ne se contentent plus de retirer les contenus illictes signalés par les ayants droit, mais que les site de liens torrents et les hébergeurs de fichiers prennent plutôt des « mesures proactives ». Comme chaque année, la RIAA a constitué sa « liste noire » des pires sites que la puissante fédération des majors aimerait voir mis hors d’état de nuire. Une liste adressée aux autorités américaines, et qui comprend, révèle TorrentFreak, les sites de liens Torrent suivants : The Pirate Bay, IsoHunt, Torrentz, KickassTorrents, BitSnoop, SumoTorrent, Torrenthound, BTMon, ExtraTorrent, Fenopy, LimeTorrents, Mnova, TorrentReactor.

La Hadopi fait son lobbying parmi les lobbyistes américains. Droits d'édition : avec YouTube, tout le monde est Content. YouTube continue son offensive dans le monde discret mais rémunérateur de la gestion de droits en ligne.

Droits d'édition : avec YouTube, tout le monde est Content

Hier, la plateforme vidéo de Google annonçait sur son blog avoir signé un accord avec un nouveau paquet d'éditeurs au catalogue international. On ne vous fait pas la liste parce que ça vous ferait une belle jambe si vous n'êtes pas dans le milieu (et la liste est sur le blog de YouTube), mais ces neufs sociétés gèrent les droits d'édition d'artistes comme les Rolling Stones, les Foo Fighters, Adele, Sam Cooke, Bright Eyes, Lil Jon ou The Kinks. C'est du lourd, de la chanson tabassée à la radio. Ces éditeurs possèdent certains droits sur les chansons de leurs artistes, qu'il faut séparer des droits qui reviennent aux auteurs, interprètes ou producteurs.

Dans le passé, YouTube a passé des accords avec quelques-uns des représentants de ces dernières professions. Lire les réactions à cet article. Sophian FANEN. Filtrage des liens illicites sur les moteurs de recherche. Pirate Bay répond avec joie. Anti-piratage : l'industrie du disque infantilise Google. Avec le soutien de la RIAA, l'IFPI - dont la mission est de faire respecter les droits d'auteur de l'industrie du disque dans le monde - prend Google de haut et lui adresse une sorte de bulletin scolaire.

Anti-piratage : l'industrie du disque infantilise Google

Dans ses mesures pour lutter contre la violation des droits d'auteur, l'IFPI estime que Google a fait des efforts modestes mais n'a pas satisfait à ses engagements pris fin 2010 et réitérés en septembre dernier. L'IFPI accuse notamment Google de tirer des bénéfices de sites et applications liés au téléchargement illégal, et de pointer ainsi du doigt des publicités AdSense qui ne sont pas retirées suffisamment rapidement de sites dits pirates, voire des publicités in-app pour des applications mobiles sur Android aussi qualifiées de pirates.

Un célèbre hacker pirate la RIAA avec de l’injection SQL. 01net le 04/04/12 à 18h09 Le célèbre hacker allemand D35m0nd142 a montré qu’il existait une vulnérabilité sur le site officiel de la Recording Industry Association of America (RIAA), l’équivalent de la Sacem aux Etats-Unis.

Un célèbre hacker pirate la RIAA avec de l’injection SQL

Pour pirater le site, il a utilisé une technique classique appelée injection SQL. Elle consiste à créer une requête SQL non prévue, qui accède à une base de données du site Web dynamique visé et qui compromet sa sécurité. D35m0nd142 décrit cette vulnérabilité comme « une faille SQL avec une possible attaque de type déni de service en utilisant #refref ou n’importe quel outil similaire ». Pour étayer ses dires, D35m0nd142 a publié trois captures d’écran qui montrent les effets de cette technique d’attaque qui consiste à modifier les commandes SQL de requête à une base de données.

La RIAA encore le ciblage de sites BitTorrent. Étude de la RIAA : plus de piratage égal moins d'artistes. Les chercheurs américains Felix Oberholzer-Gee et Koleman Strumpf avaient publié en juin une étude expliquant comment l'augmentation du piratage d'œuvres artistiques avait permis une explosion de la création.

Étude de la RIAA : plus de piratage égal moins d'artistes

Leur principal argument était que sur la décennie, le nombre de nouvelles œuvres arrivant sur le marché avait fortement augmenté. Par exemple, depuis 2000 le nombre d'albums qui sortent chaque année a plus que doublé aux États-Unis. De plus, ils citent d'autres études montrant que le bien être des consommateurs augmente grâce au piratage. Téléchargement illégal : les mails d'avertissements inefficaces ? La RIAA pire compagnie américaine selon les Consommateurs Américains.

La RIAA ne fait plus danser MediaSentry. La RIAA ne fait plus danser MediaSentry Publié le 06-01-2009 à 07:51:01 dans le thème Contrefaçon Pays : Etats-Unis - Auteur : Damien Bancal Pub : Tous les antivirus en ligne pour désinfecter votre ordinateur.

La RIAA ne fait plus danser MediaSentry

Megaupload dans le viseur de la RIAA. RIAA: 58 millions dépensés en lutte contre le piratage. La RIAA (Recording Industry Association of America), l'organisation représentant les intérêts des maisons de disques aux USA, aurait dépensé pas moins de 58 millions de dollars dans des procédures légales.

RIAA: 58 millions dépensés en lutte contre le piratage.

Effectivement, plusieurs documents ont été découverts par l'avocat Ray Beckerman, éditeur du blog recording industry vs people, permettant ainsi de dévoiler ces informations. Piratage : la RIAA a envoyé 1,8 million d'avertissements depuis 2008. Ce sont des chiffres pour le moins impressionnants.

Piratage : la RIAA a envoyé 1,8 million d'avertissements depuis 2008.

En moins de deux ans, la célèbre Recording Industry Association of America (RIAA), un organisme américain chargé de défendre les intérêts de l'industrie musicale, a envoyé plus de 1,8 million d'avertissements aux internautes américains, dont 269 609 directement destinés aux utilisateurs se cachant derrière les réseaux informatiques de leur établissement scolaire. Avec un tel rythme de croisière (près d'un million de messages par an), nous pourrions alors croire que la RIAA est parvenu à faire baisser le piratage de façon substantielle. Or, Torrentfreak a relevé que cette riposte massive des ayants droit n'a eu aucun effet concret et définitif sur l'activité des réseaux peer-to-peer.

Ni dans le temps, ni en terme de volume, ni même au niveau du nombre des utilisateurs. Les ventes physiques rattrapées par la musique numérique aux USA. 2011 aura été l'année de la victoire de la musique numérique sur les ventes physiques aux États-Unis. La Recording Industry Association of America (RIAA), célèbre association chargée de défendre les intérêts de l'industrie du disque outre-Atlantique, a en effet confirmé (.pdf) ce que des analyses précédentes avaient perçu : les ventes de musique numérique ont rattrapé celles de musique physique. Selon les mesures de la RIAA, les titres dématérialisés (albums, singles, clips, sonneries, mobiles...) ont représenté 50 % de l'ensemble des transactions l'an dernier.

La musique sur support (CD, DVD, vinyles...) a complété l'autre moitié des transactions. L'année précédente, les ventes sur support représentaient encore 54 % du marché, tandis que les contenus numériques 46 %. Si la RIAA voit 2011 comme une année d'équilibre, d'autres enquêtes penchent en faveur du numérique.

Du côté de la vidéo, le même phénomène a été constaté aux États-Unis. La RIAA croit aux effets bénéfiques de la fermeture de Limewire. La RIAA contre Pirate Bay - Actualités Techno - Internet. Fermer [x] Cet article provient de l’édition papier du magazine. Seuls les abonnés ont un accès illimité à ces articles. Si vous n’êtes pas abonné, l’accès est limité à un certain nombre d’articles par mois. Pour lire cet article ainsi que tous les autres publiés dans le magazine.