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Généralités

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Téléchargement : il faut réconcilier les artistes et leur public. Le développement du téléchargement hors marché depuis plus de 10 ans est dû en grande partie aux erreurs stratégiques des majors compagny du disque.

Téléchargement : il faut réconcilier les artistes et leur public

Ces mauvais choix sont les suivants : - Refus dans un premier temps de mettre à disposition leurs catalogues sur les plateformes légales favorisant ainsi le développement des échanges sur les réseaux peer to peer. - Mise en place de mesures de protection anti-copies qui n’ont eu pour effet que de remettre en cause la rémunération pour copie privée par les consommateurs. - Choix du tout répressif avec la loi DADVSI votée en 2006 qui criminalise l’internaute et contient des sanctions inacceptables et inapplicables (300 000 euros d’amende et 3 ans de prison) - Loi Hadopi et création d’une haute autorité aussi coûteuse qu’inefficace. A lire aussi Le piratage, hyperlien social Dès 2004, une proposition a été faite dans ce sens. CNM : la Spedidam dénonce "un mauvais procès fait au ministère de la Culture" Publié le jeudi 20 septembre 2012 Version imprimable Politique culturelle Communiqué de presse La SPEDIDAM a signé la convention de préfiguration du CNM mais avait pris bonne note de la difficulté majeure consistant dans la nécessité d’assurer un financement qui n’avait pas été élaboré par le précédent gouvernement.

CNM : la Spedidam dénonce "un mauvais procès fait au ministère de la Culture"

Cet élément avait été clairement exposé par la Ministre de la Culture dès le mois de juillet 2012 devant toute la filière. Suspendre ce projet dans l’attente d’une solution permettant d’en payer le coût, important, constitue une décision de gestion raisonnable, prévisible et annoncée, que l’industrie du disque critique de façon outrancière et injustifiée. Cette suspension et la réflexion qui l’accompagne doivent être l’occasion de repenser le secteur musical qui ne se réduit pas à l’intérêt des majors dont la stratégie sur Internet a été désastreuse pour l’ensemble de la filière.

La SPEDIDAM soutient Aurélie Filippetti. Limoux. Premier bain de Bulles réussi avec la Spédidam - Aude - Littoral. Avant le bilan global qui aura lieu à la rentrée, courant septembre, organisé conjointement par la municipalité, Jazz au Pays (photo) et la Spédidam, on peut déjà dire que le premier bain aoûtien des Bulles Sonores 2 012 était d'un excellent niveau musical, largement suivi par un public connaisseur.

Limoux. Premier bain de Bulles réussi avec la Spédidam - Aude - Littoral

Le projet d'un festival annuel à la fois sur trois jours, deux scènes, trois concerts payants et trois gratuits étaient réellement ambitieux. Idem pour la programmation, le meilleur du reggae le premier soir en hors-d'œuvre, était osé, pourtant les festivaliers ne s'y sont pas trompés. Il faut dire que les nouveautés musicales annoncée par la presse et digérée par la toile, font s'allumer des milliers de connections. L'alerte de l'événement est donnée, il ne reste plus qu'aux réseaux sociaux de la tribu en question à fonctionner à plein. C'est ce qui s'est passé le 10 et le 11 août avec les guetteurs d'Alborosie et de ceux de Goran Brégovic. Limoux accueille ses premières Bulles Sonores. Le premier festival "Les Bulles Sonores" va prendre place à Limoux du 10 au 12 aout prochain.

Limoux accueille ses premières Bulles Sonores

"L'idée est partie du réseau SPEDIDAM" présente Jean Philippe coordinateur du projet. La SPEDIDAM est une société qui rémunère les artistes-interprètes. "Le réseau était à la recherche de villes pour organiser ce type de manifestation". Une rencontre avec la Mairie de Limoux, et "les Bulles Sonores" étaient lancées. " Limoux c'est une ville qui bouge tout au long de l'année, mais à qui il manquait cette note des musiques actuelles". Grâce au réseau, de très beaux plateaux d'artistes sont proposés, à un tarif défiant toute concurrence dans les festivals. La licence globale contre une Hadopi « lourde et inutile » Du nouveau pour les interprètes électro ! Dans un communiqué paru sur le site de Technopol, "The Micronauts versus Spedidam", The Micronauts raconte comment il a réussi à faire entendre ses arguments auprès de la Spedidam, société civile gérant les droits des artistes interprètes.

Du nouveau pour les interprètes électro !

Argument avancés pour faire évoluer la situation : tout musicien qui enregistre une partie de clavier en audio est un interprète, et celui qui enregistre une partie de clavier en MIDI ne l’est pas, des dizaines de millier d’enregistrements se sont retrouvés amputés d’un interprète, la PPL, équivalent de la Spedidam au Royaume-Uni, reconnaît depuis toujours programmeurs et autres remixers Extrait du communiqué : LA MUSIQUE ÉLECTRONIQUE, UNE MUSIQUE SANS INTERPRà ? Home studio ? Ben non pas musicien électronique ! Ben pourquoi il est où le problème ? C’est bien connu les musiciens électroniques utilisent des boucles toutes faites qu’ils ont pris sur d’autres disques.

Et oui, mot pour mot ce que m’a dit un jour un cadre de la Spedidam. Encore plus injuste ? La Spedidam attaque six plates-formes de téléchargement pour contrefaçon. La Spedidam, qui représente les artistes-interprètes, part à l’attaque des plates-formes payantes de téléchargement de musique.

La Spedidam attaque six plates-formes de téléchargement pour contrefaçon

L’organisme accuse les sites iTunes Music Store, e-Compil, Fnac Music, OD2, Sony Connect et Virgin Mega de contrefaçon. Elles «mettent en vente par téléchargement quantité d’enregistrements sans avoir recueilli l’autorisation des artistes-interprètes pour cette nouvelle forme d’exploitation», affirme-t-il. Jean-Paul BAZIN (SPEDIDAM) SPEDIDAM communique sur la fermeture de la plate-forme Megaupload et les droits d'auteur sur le net ...