Google Glass : la deuxième version déjà en route. L'équivalent américain de l'Inpi vient de publier une demande de brevet formulée par Google fin 2011 pour une nouvelle version de ses lunettes à réalité augmentée. Alors que l'on vient tout juste d'apprendre que les lunettes interactives de Google, Google Glass, seront commercialisées avant la fin de cette année, pour un prix inférieur à 1 500 dollars (lire l'article, Google présente les fonctionnalités de ses Google Glass en vidéo, du 20/02/2013), on entend déjà parler d'une nouvelle version de ces lunettes.
Google a en effet déposé en 2011 un brevet montrant une paire de lunettes embarquant deux écrans directement intégrés aux verres, permettant à l'utilisateur de se plonger encore plus dans la réalité augmentée. C'est l'Upsto, l'équivalent américain de l'Inpi qui vient de publier la demande de brevet formulée par Google à fin du troisième trimestre 2011, pour des verres binoculaires "Head Monted Display".
Brevet Apple : l’écran qui se redimensionne selon l’éloignement du visage. Samsung veut connaître votre humeur. La reconnaissance faciale n’est pas encore exactement au point, mais Samsung réfléchit au progrès. En effet, la firme coréenne vient de déposer un brevet qui permettra de retranscrire les émotions du locuteur à l’écran et de les faire comprendre à la machine. Ainsi, le brevet de Samsung, qui vient d’être accepté par l’USPTO, vise à connaitre les réactions du locuteur en examinant ses lèvres, les rides de son front ou l’expression de ses yeux. Il serait également capable de retranscrire un avatar adoptant les mêmes expressions. Samsung cherche donc à améliorer l’interaction homme-machine en déposant le brevet.
Bien évidemment, il n’indique qu’une piste de travail, mais il se pourrait que les appareils futurs de la firme embarquent cette nouvelle technologie. Là, ça va être dur. L'USPTO annule le brevet d'Apple sur le rebond en fin de page dans iOS. Apple vient de subir un important revers dans la très longue bataille légale qui l’oppose à Samsung. L’USPTO, l’office américain des brevets, vient en effet d’annuler le brevet d’Apple portant sur le rebond qu’iOS provoque quand l'utilisateur cherche à aller plus loin que le bas de la page. L’United States Patent and Trademark Office vient d’annuler, au moins temporairement, vingt déclarations formulées par Apple autour du brevet 7 469 381. Ce dernier décrit tout un ensemble de comportements lors de la consultation d’un document, d’une liste et ainsi de suite. Cela comprend les mouvements de translation, de rotation ou encore le fameux rebond lorsque l’on arrive en bas de page, pour symboliser l’impossibilité d’aller plus loin.
Comme l’explique Florian Mueller du blog FOSS Patents, le rebond fait l’objet de la déclaration 19, annulée pour deux raisons. Si l’annulation devait être maintenue, elle pourrait avoir une incidence assez forte sur les procès en cours entre Apple et Samsung. Brevet : un iPhone qui se recharge tout seul - MacPlus - Toute l'actu Mac, iPod, iPad, iPhone. Et si Schiller, qui avait précisé en déclaration post-Keynotes que la recharge par induction sur dock externe n’avait pas de sens, avait à ce moment là autre chose en tête que la seule volonté de tacler un concurrent (Nokia) ? Car le brevet que vient de mettre à jour l’USPTO, et décrivant un "système permettant de générer du courant par un procédé d’induction électromagnétique passant par des bobines imprimées" semble faire un écho parfait aux propos de l’ineffable Schiller. Techniquement parlant, il y est question de faire passer un mirco-aimant à l’intérieur de circuits imprimés, la puissance électromagnétique induite se démultipliant tout au long du parcours le long des bobine.
C’est le frottement des circuits les uns sur les autres qui créerait le flux, impliquant donc une force motrice comme élément déclencheur de la recharge. A voir dans le futur...iPhone 8 ? Source - Contenu anglais. Reconnaissance vidéo : Google pousse encore son intrusion dans la vie privée. Google a récemment obtenu un brevet déposé le 9 février 2009 auprès de l’USPTO, l’office américain des brevets, intitulé « reconnaissance automatique et à grande échelle d’objets de vidéo ». Ce brevet vient compléter deux brevets antérieurs qui ont également été obtenus par Google. Le premier brevet porte sur un système de reconnaissance de visages contenus dans une vidéo. En utilisant l’encadrement du visage d’une personne contenu dans la vidéo, le système génèrerait un ensemble de représentations du visage de cette personne.
Google pourrait alors attribuer un nom à chaque visage à chaque fois qu’il apparaîtrait par exemple dans un clip quand bien même l’angle ou la luminosité serait différente. Le second brevet porte sur les chansons accompagnant un clip vidéo. En l’état actuel des choses, les systèmes de reconnaissance existants sont limités aux enregistrements fidèles à la chanson originale. Google dépose un brevet de reconnaissance faciale d'utilisateurs multiples. Google : un brevet pour identifier les éléments d'une vidéo. Brevets : Google étend sa recherche à l'Europe. Google Patents est le moteur de recherche de Google qui indexe les brevets de la base de données publique de l'USPTO ( United States Patent and Trademark Office ). Dorénavant, cette recherche est étendue à l'Office européen des brevets ( OEB ). Les utilisateurs peuvent ainsi effectuer des requêtes pour partir à la recherche des millions d'idées qui ont été soumise à l'OEB.
Cette extension s'inscrit dans la lignée de la collaboration entre l'office européen et Google autour de la plateforme Espacenet avec une machine de traduction ( voir notre actualité ). L'accès aux brevets de l'OEB permet du reste à Google d'améliorer son service de traduction basé sur la traduction automatique statistique. Une nouvelle fonctionnalité pour Google Patents fait par ailleurs son apparition. BioAlliance Pharma : obtient deux brevets de protection d&039;AMEP aux Etats-Unis. Julien Nebenzahl privilégie des valeurs défensives comme Bureau Veritas ou Sanofi Selon Julien Nebenzahl, Président de DayByDay, les Bourses américaines et européennes sont mûres pour une phase de repli. L’endettement critique des collectivités locales chinoises suscite de vives inquiétudes.
Une analyse de Vincent Juvyns, stratégiste à J.P. Morgan Asset Management. Les marchés entament leur sixième année de hausse après le cataclysme de 2008 et des toutes premières semaines de 2009. L’indivision est un mécanisme juridique très souvent rencontré et constitue un régime légal complexe à part entière. Rosa Riche, responsable de l’ingénierie patrimoniale au sein de Bordier & Cie France, décortique les pièges à éviter et les décisions à prendre. A son tour Microsoft brevette la publicité dans les ebooks. Apple a déposé un brevet concernant un smart cover embarquant un deuxième écran flexible pour son iPad | i Love Tablette Tactile. D’après un document en provenance du US Patent & Trademark Office, l’équivalent de l’INPI chez nous, Apple a déposé un brevet concernant un nouveau smart cover assez surprenant. Ce brevet qui vient d’être rendu public ce matin, mais qui a été dépose il y a maintenant un an, consiste à créer un second support flexible sur la smart cover actuellement existante.
Un projet qui ne verra probablement jamais le jour Cette idée reprend ce que nous avons pu voir avec la tablette Microsoft Surface qui utilise le rabat de protection en tant que clavier physique. Dans les croquis qui ont été déposé par Apple, les designer de la marque ont imaginé un écran flexible sur lequel il serait de contrôlé votre iPad via un stylet sur cette surface, de lancer des raccourcis multimédia à l’arrière, ou encore d’afficher sur cet écran un clavier tactile.
Source. Apple brevette une technologie « d’écrans montés sur tête » Google a marqué les esprits plus tôt dans l’année en révélant son projet Glass. L’objectif ? Proposer une paire de lunettes embarquant un nombre important de fonctionnalités parmi lesquelles nous retrouvons la consultation de données personnelles ou encore la réalité augmentée, la prise de photos et de vidéos, etc. Or, voilà qu’Apple vient justement de se voir accorder un brevet portant sur un appareil très proche. L’USPTO (United States Patent and Trademark Office) a donc accordé à Apple le brevet numéroté 8 212 859 dont le titre général est « Traitement périphérique pour écrans montés sur tête ». Le brevet se veut très générique justement et ne fait pas directement référence au genre de projet que développe Google (HMD, pour Head Mounted Display) bien que le texte décrive plusieurs cas d’exploitation comme la possibilité de regarder à travers des écrans. Le brevet d’Apple fait en outre directement référence à la réalité augmentée.
Vincent Hermann. Google obtient trois brevets pour ses lunettes communicantes. Microsoft : un brevet de manette biométrique. L'interface utilisateur d'iTunes brevetée. 8 ans après son dépôt par Apple, l'Office américain des brevets (USPtO) a publié un brevet portant sur l'interface utilisateur d'iTunes. Nommé « Interface utilisateur graphique pour la navigation, la recherche et la présentation d'éléments médias », il a été déposé le 26 avril 2004, soit un an après le lancement de l'iTunes Store qui comptait alors 200 000 morceaux dans son catalogue (plus de 20 millions aujourd'hui).
Ce brevet 8,161,411 décrit iTunes comme un logiciel capable d'organiser, de présenter et de vendre des médias stockés sur un serveur d'une manière intuitive. Il y est aussi question d'organisation par genres, artistes ou titres et de l'utilisation d'hyperliens pour se déplacer dans les données agrégées. « Les interfaces utilisateurs graphiques sont particulièrement utiles pour un système qui fournit l'achat et la distribution de médias dans un environnement client-serveur » mentionne le brevet. Délais au USPTO pour l’obtention de brevets ou de dessins industriels « "C'est é-p@tent!" Android : l'USPTO invalide toutes les revendications d'un autre brevet d'Oracle, une première d'après le spécialiste Florian Mueller.
Mise à jour du 23 septembre 2011 par Idelways Peu de progrès ont été obtenus au terme de la deuxième journée de médiation entre les deux Larry de Google et Oracle dans l'affaire de violation présumée de brevets Java et l'utilisation d'un « clone incompatible » sur Android. Un gouffre sépare en effet les propositions des deux entreprises. Alors qu'Oracle estime au début des négociations avoir droit à 2.6 milliards de dollars (en baisse net en comparaison aux 6.1 milliards de départ, voir ci-devant), Google n'évalue son dû qu'à 100 millions de dollars. Le juge chargé de l'affaire ne baisse pas pour autant les bras d'après un dépôt de tribunal.
Des discussions sont en cours pour planifier d'autres séances de négociation et déterminer si la présence des deux hommes forts y sera requise. Il est cependant très peu probable que d'autres séances hypothétiques débouchent sur des progrès. Source : Blog de Florian Mueller Et vous ? Que pensez-vous de la progression de cette affaire ? Source : Groklaw. Optimiser l’USPTO pour stimuler la croissance. Juin 2011 M. David J. Kappos, sous-secrétaire du commerce pour la propriété intellectuelle et directeur de l’Office des brevets et des marques des États-Unis d’Amérique (USPTO), explique comment procède l’USPTO pour s’assurer que des concepts inédits soient rapidement commercialisés.
L’innovation a toujours été l’un des piliers de la vitalité économique des États-Unis d’Amérique. Le pays s’est bâti grâce à l’esprit pionnier qui a ensuite animé les inventeurs à l’origine de l’ampoule électrique et de remèdes contre différentes maladies; ce sont eux qui ont construit les voies de chemin de fer et fait entrer le monde dans l’ère de l’aviation. Plus près de nous, ils ont transformé les secteurs du commerce et de la communication grâce à la puissance des techniques de l’information. David J. Réorganiser les systèmes L’office a ensuite instauré un programme d’examen à trois voies permettant aux déposants de déterminer à quel rythme leurs idées seront examinées.
S’adapter à de nouvelles réalités. Bulletin_FR_Serge_Lapointe_Mars_2009.pdf (Objet application/pdf)