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Abus/Procédures

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Lutte contre le piratage : Google accusé de ne pas en faire assez. Téléchargement illégal : un Américain condamné à payer 675.000 dollars. P2P : l'industrie du X accusée de racket. Aux États-Unis, cinq studios pornographiques sont sous le coup d'une plainte en action collective. Ils sont accusés d'extorsion envers des utilisateurs BitTorrent. D'après la plainte ( PDF via Wired ), ils ont engagé plusieurs personnes pour " rechercher des adresses IP associées avec l'utilisation d'un logiciel de partage de fichiers comme BitTorrent ".

Sur des suspicions de téléchargement illégal de contenus pornographiques, ils portent plainte contre X. Cela leur permet d'obtenir pour les adresses IP collectées les identités des abonnés auprès des fournisseurs d'accès à Internet. C'est alors que l'extorsion commence car leur intention n'est manifestement pas de se rendre devant les tribunaux.

Ces fournisseurs de contenus pornographiques prennent directement contact par téléphone avec les internautes pour les malmener et obtenir un arrangement de 1 000 à 5 000 dollars en échange de l'abandon d'éventuelles poursuites. La plainte parle de " troll pour les utilisateurs BitTorrent ". La RIAA en guerre contre les outils de conversion MP3. Les industriels du disque américains aimeraient bien voir disparaitre les logiciels de conversion qui permettent de récupérer des musiques et vidéos sur Youtube. La RIAA, association des industriels du disque américains, souhaite que la logithèque en ligne Download.com retire un logiciel de conversion audio de ses serveurs. CNET, éditeur du site, n'a pas répondu à la requête de l'association ni retiré l'outil en cause. La requête n'est pas étrangère à l'actualité. En début de semaine Google avait bloqué le site de conversion en ligne Youtube-mp3.org qui permettait de transformer des vidéos Youtube au format MP3 sans quitter le navigateur.

Deux jours plus tard c'est au tour de Download.com de subir la même pression via une déclaration de l'association : "Il y a plus d'un an nous avons demandé à Download.com de retirer les logiciels utilisés pour voler nos membres. CNET, éditeur de la logithèque en ligne n'a pas répondu à cette demande ni supprimé le logiciel en cause. Convertir des vidéos YouTube en MP3 : illégal répliquent les lobbys de la musique. Abus de pouvoir sur le Net par Stéphane Van Gelder - Chronique e-Business.

Sous prétexte de défendre les ayant-droits et de lutter contre la cybercriminalité, les autorités américaines se laissent aller à des abus de pouvoir inquiétants. Analyse du cas, "Dajaz1", pour mieux comprendre les enjeux. Fin novembre 2010. Cinq noms de domaine suspectés de contrefaçon sont saisis aux États-Unis lors du week-end de Thanksgiving, dans le cadre plus large de l'opération In Our Sites, lancée aux États-Unis en juin 2010, pour combattre de la façon la plus efficace possible le piratage et la contrefaçon en ligne. Sous la houlette de l'ICE (U.S. Secret gouvernemental Un an de silence plus tard, les douanes américaines restituent le nom de domaine dajaz1.com à ses administrateurs sans explication.Mai 2012.

Et la présomption d'innocence ? La RIAA réclame 72 Trillons de dommages et intérêts à LimeWire ! Edit : Cette affaire date de l’année dernière, et la RIAA n’a jamais prononcé la demande de 72 trillons, mais a demandé un dédommagement pour chaque dl (ce qui reviendrait à un maximum de 72 Trillons). L’affaire est désormais terminée, et Limewire a été condamné à verser 105 millions à la RIAA. Cette histoire a été récemment mise en ligne par 2 médias anglais qui se sont trompés de date (d’un an), avant que l’info ne soit reprise par des dizaines d’autres sites. (dont TorrentNews) L’article source de cette news (NME)n’est plus disponible (erreur 404^^) En Octobre 2010, Limewire est accusé d’avoir facilité la contrefaçon à grande echelle, mais la RIAA (« Recording Industry Association of America »)poursuit actuellement ses propriétaires pour les dommages et intérêts. Estimation faites, La RIAA reclamera donc que LimeWire verse plus de 72 trillions de dollars de dommages et intérêts!

Pour info 1 Trillon US = Mille milliards , la RIAA réclame donc 72 milles milliards! 675 000 dollars d'amende pour 30 chansons piratées : sanction confirmée. Un site musical bloqué plus d'un an par les Etats-Unis sans preuves. RIAA : fermeture de Muxtape et salaires scandaleux ! L’association américaine RIAA, lobby du disque américain, s’octroie le droit de fermer le site d’échange de compilations sur le Web Muxtape, mais s’accorde également celui de verser des salaires surdimensionnés à son directeur général et à son président.

Si vous ne connaissiez pas le site Muxtape, il est peut être désormais trop tard. Sur sa page d’accueil, on peut désormais lire « Muxtape sera inaccessible pendant une brève période, le temps de résoudre un problème avec la RIAA ». Espérons-le, en tout cas. Muxtape avait, en fait, pour vocation de proposer l’upload de plusieurs MP3, créant une page Web d’écoute des musiques dont l’URL pouvait être partagée. En somme, une sorte de remake façon 21ème siècle de l’échange des bonnes vieilles K7 audio… Toutefois, la RIAA (Recording Industry Association of America), sorte de gendarme de l’industrie du disque américain, n’entend pas laisser les choses se dérouler sans encombre.

DG, président de la RIAA : des métiers qui payent ! Morpheus, nouvelle victime de la RIAA. Publié le 29/09/2006 - Lu 1942 fois - Auteur : musky00 La chasse aux sorcières continue et c'est maintenant Morpheus, le logiciel de peer-to-peer, propriété de l'éditeur SteamCast Networks, qui perd face à la RIAA (Recording Industry Association of America). Selon le juge fédéral en charge du dossier, Morpheus contribuerait au partage illégal de fichiers musicaux, de vidéos ou d'autres contenus sous copyright, ce que dément StreamCast dans un communiqué de presse : "Morpheus est une application innovante qui peut être utilisée de différentes manières tout à fait légales.

De plus, Morpheus continue de décourager les utilisateurs de pirater les contenus relevant du droit d'auteur". Le juge s'est appuyé, pour rendre sa décision, sur celle de la cour suprême des États-Unis, décrétée l'année dernière lors de l'affaire "MGM versus Grokster", et stipulant que tous les créateurs de ces logiciels étaient aussi responsables que les pirates de la diffusion de contenu protégé par le droit d'auteur. Piratage - RIAA : 16 campus US sous la pression des majors. La RIAA traque celui qui a diffusé un concert de Britney Spears sur YouTube.

Si vous allez voir un concert, que vous le filmez et partagez votre souvenir avec le reste du monde sur YouTube, votre générosité pourrait vous coûter un procès au pénal. TorrentFreak rapporte en effet que la RIAA (Recording Industry Association of America), le lobby de l'industrie du disque américaine, a demandé à la justice qu'elle ordonne à YouTube de lui révéler tous les détails personnels sur l'internaute qui a diffusé son enregistrement d'un concert de Britney Spears : adresses IP, adresse e-mail, pseudonyme, ... ce qu'elle aurait obtenu. La vidéo en question (dont il subsiste une copie), en toutes vraisemblances réalisée par un amateur, dure 1 heure et 32 minutes.

L'image y est de qualité tout à fait respectable, ce qui n'est pas vraiment le cas du son, très loin de la qualité obtenue par une captation professionnelle. Apple a réfléchi au problème, en déposant un brevet sur une technologie qui bloquerait l'utilisation de la caméra pendant les concerts. La RIAA menace d’attaquer les descendants d’un pirate. La Recording Industry Association of America doit certainement avoir un don pour se faire mauvaise presse. Alors que son homologue du cinéma, la Motion Picture Association of America, s’était déjà distinguée en attaquant à son grand dam un millionnaire peu adepte des méthodes fortes de l’association américaine, la RIAA semble vouloir battre des records, mais pas de ventes de disques.

Sony BMG, Warner Bros Records et quelques autres majors ont ainsi attaqué Larry Scantlebury, un vétéran du Vietnam, pour avoir téléchargé des fichiers audio illégalement. Selon cet ancien soldat américain, la RIAA aurait comme d’habitude usé de méthodes peu académiques envers sa personne. Il porta alors plainte contre l’association étatsunienne.

Dans sa grande générosité, la RIAA « ne pense pas qu’il soit approprié de discuter pour le moment de la résolution de cette affaire avec la famille, à un moment si proche de la mort de monsieur Scantlebury. Via PC Inpact. P2P: Verizon traîne la RIAA devant la justice! Vous êtes ici : Accueil / CyberPouvoirs / P2P: Verizon traîne la RIAA devant la justice! Le FAI reproche à l’association des maisons de disque US d’utiliser des méthodes d’identification des internautes illégales Retour de bâton. La redoutable et redoutée Recording Industry Association of America (RIAA) ne s’attendait sûrement pas à ça. Une semaine après avoir déposé près de 300 plaintes contre des internautes utilisateurs de Kazaa (avec une première amende pour une fillette de 12 ans…), l’Association est poursuivie par Verizon Communications, un des principaux FAI américain, qui juge ses méthodes illégales.

La RIAA a dû défendre devant un tribunal ses méthodes d’identification des internautes soupçonnés de piratage. Une méthode basée sur une loi de 1998, le Digital Millennium Copyright Act, qui impose aux fournisseurs d’accès Internet de livrer les noms des internautes soupçonnés d’utiliser leurs services pour pirater des contenus protégés par le droit d’auteur. RIAA vs étudiants : 3 000 dollars et on n'en parle plus. La RIAA ( Recording Industry Association of America ) a en effet demandé à l'université de transmettre aux étudiants des lettres les accusant d'avoir partagé illégalement des fichiers musicaux protégés par les droits d'auteur. Selon Associated Press, l'établissement aurait transmis ces documents lundi dernier.

" Le téléchargement est arrivé et nous ne pouvons rien y faire, mais nous pouvons encore leur faire savoir de quelles options ils [ nldr : les étudiants ] disposent " a indiqué mercredi la porte-parole de l'université, Sally Linder. Nouvelles vaches à lait sans lait 'Patrick McGee, un avocat local que l'université a mis en relation avec les étudiants et qui a défendu quatre élèves dans de précédentes actions en justice, a déclaré qu'une amende de 3 000 dollars était demandée par la RIAA si l'étudiant souhait régler cette affaire à l'amiable.

54 000 dollars d’amende pour 24 chansons : insuffisant pour la RIAA | Allomonsite.com. La RIAA est Evil: Most Outrageous poursuites Recording Industry. Point / Contrepoint Partie I: La RIAA est mal, il est connu depuis un certain temps que la Recording Industry Association of America (RIAA) est un "monstre" dans certaines des définitions plus littéral du mot, c'est un massif, puissant et l'organisation qui s'attaque haineux sur la défense sans FAI lle avec malice.

Depuis 2003, ils ont déposé plus de 35 000 poursuites judiciaires contre tout et tous les genre de personne tout en étant soutenue par une force de milliers d'avocats redoutable. Et tandis que certains de ces cas auraient pu avoir motif juridique pour se tenir sur, d'autres ont simplement été carrément méprisable. Qu'il s'agisse de poursuivre des enfants ou le défunt, la RIAA a prouvé qu'il n'y a pas de profondeur trop faible pour eux de couler.

Donc, pour vous donner une idée de combien ils sont vraiment crapuleux, nous avons compilé une liste des procès les plus scandaleux et injurieux de la RIAA. Comme voler bonbons d'un bébé Ils ne sont jamais trop jeune pour la RIAA. P2P : La RIAA poursuit 493 internautes. Guerre contre le P2P Streamcast perd face à la RIAA. Guerre contre le P2P Streamcast perd face à la RIAA - 30 septembre 2006 - 16:31 (Par Etienne Jean de la Perle) Guerre contre le P2P Streamcast perd face à la RIAA Dans la guerre actuellement menée par les éditeurs contre le peer to peer (P2P), sur fond juridique de droit d'auteur, Streamcast perd face à la RIAA. Au terme d'une bataille juridique qui aura duré plusieurs années, Streamcast, éditeur du logiciel de peer to peer Morpheus, vient de perdre une nouvelle étape dans la guerre qui l'oppose à la Recording Industry Association of America (RIAA). Streamcast a dépensé quelque 4 millions de dollars pour défendre son logiciel de peer to peer Morpheus, qui a été téléchargé 144 millions de fois, devant la justice, mais sans obtenir le résultat escompté.

David a donc perdu contre Goliath. Streamcast a tenté de se défendre de la même manière que LimeWire qui a poursuivi la RIAA. Par ailleurs, l'industrie du disque met ses menaces à exécution. Les majors s'en prennent à Usenet. Après le peer-to-peer, les maisons de disque américaines ont décidé de s'en prendre aux newsgroups, les forums de discussion. La RIAA (Recording Industry Association of America), qui représentante les principales majors, vient de déposer plainte contre le réseau Usenet devant un tribunal new-yorkais. Elle s'attaque à la société Usenet.com, basée dans le Dakota du Nord, et qui fournit des accès aux internautes pour se connecter au réseau Usenet. La plainte affirme que la société encourage ses clients à payer 19 dollars par mois, en leur faisant miroiter la possibilité d'échanger de la musique. La RIAA demande que Usenet.com arrête « d'aider, d'encourager, de permettre, de causer, de contribuer matériellement ou de faciliter d'une quelconque façon » la violation du copyright.

Des fichiers échangés anonymement Alors que les utilisateurs des réseaux peer-to-peer étaient de plus en plus la cible des ayants droit, ces newsgroups sont devenus très prisés des internautes. LimeWire verse 105M$ à la RIAA. Les ennuis judiciaires de LimeWire ne datent pas d’hier, mais viennent de prendre fin ces derniers jours. En effet, selon Le Monde, après avoir été cessé leurs activités sur décision judiciaire en 2010, les entreprises éditant le logiciel, Lime Group et Lime Wire LLC, ont annoncé avoir mis un terme aux poursuites engagées contre elles par la RIAA (Recording Industry Association of America, l’association regroupant les majors de la musique), en acceptant de verser la somme de 105 millions de dollars à 13 maisons de disques.

Lime Group, après avoir été reconnu coupable en 2010 de favoriser le téléchargement d’oeuvres musicales grâce à leur logiciel de P2P LimeWire, met ainsi un terme au procès qui avait débuté en mai 2011. Les maisons de disques réclamaient jusqu’à 1 milliard de dollars de dommages et intérêts ! Comme dans de nombreuses affaires, un accord à l’amiable met fin aux poursuites et contente les différentes parties.

Des adresses IP de la RIAA et du département US de la Sécurité liées à des téléchargements illégaux. La RIAA (Recording Industry Association of America), représentant les majors et grand pourfendeur du téléchargement illégal, et le Département américain de la Sécurité intérieure comptent-ils dans leurs rangs des amateurs de contenus piratés ? Le site TorrentFreak vient de déclencher une polémique en révélant une liste d‘adresses IP liées à des téléchargements illégaux BitTorrent. Parmi les contenus téléchargés figurent de la musique (Jay-Z, Kanye West) des séries américaines (Dexter, La loi et l’ordre) ainsi que des logiciels.

TorrentFreak s’est servi du site russe youhavedownloaded.com qui permet de connaître les téléchargements BitTorrent effectués par une adresse IP. C’est ce même site qui a été utilisé la semaine dernière pour épingler des adresses IP attribuées au palais de l’Élysée. Une information qui a par la suite été démentie. Même dénégation du côté de la RIAA qui assure qu’aucun membre de son personnel n’a téléchargé sur BitTorrent. Megaupload : Anonymous ferme la RIAA et la MPAA. Ignorer les plaintes de la RIAA est-il plus économique? Un célèbre hacker pirate la RIAA avec de l’injection SQL.