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Dessin

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Edward Hopper. Jeudi 18 octobre 2012 Edward Hopper "Carnets de croquis" Je vous ai mis un lien J'aime Envoyer par e-mailBlogThis!

Edward Hopper

Partager sur TwitterPartager sur FacebookPartager sur Pinterest De EMMANUEL CHAUSSADE à 05:28 Tags : Arts 5 commentaires: Hopper au Grand Palais19 octobre, 2012Merci pour les carnets de croquis, où les avez-vous trouvé ? Ajouter un commentaire. Mamco / Tatiana Trouvé. Dessins Le dessin occupe une place centrale dans le travail artistique de Tatiana Trouvé.

Mamco / Tatiana Trouvé

Car dessiner, dit-elle, c’est à la fois retourner sur les lieux de la pensée et opérer une projection de la pensée. Dans ce double mouvement, cette activité se propose comme une opération de la mémoire, qui se déploie non pas à travers la matière biographique de la vie de l’artiste, mais dans celle de son projet artistique lui-même. Ainsi peut-on comprendre les termes « d’espace psychique » que l’on y a souvent associé. La formule demeure cependant un peu abstraite si elle n’est pas rabattue sur des propositions et des formes. Intranquillity Commencée en 2005, la série Intranquillity est celle qui comporte le plus grand nombre de dessins dans les formats les plus variés.

Remanence Si dessiner permet de « revenir sur les lieux de la pensée », alors, il faut comprendre ce retour comme une remémoration, c’est-à-dire à la fois comme un parcours et comme une rumination. Jeune homme assis, étude. Autoportrait, dit au chevalet. Design for a Stage Set at the Opéra, Paris. Dessin de presse et EDD au lycée des Graves de Gradignan (33) La Hokusai Manga - INHA. Si vous avez raté l'exposition Hokusai (qui vient de fermer ses portes au Grand Palais à Paris) ou si vous rêvez de revoir les extraordinaires pages de la Manga qui ont été sélectionnées par les commissaires, venez feuilleter l'intégralité des 15 carnets formant la Hokusai Manga sur la bibliothèque numérique de l'INHA.

La Hokusai Manga - INHA

Dès 1814, Hokusai décide de compiler ses dessins divers (cette appellation venant de l'artiste lui-même) dans des carnets afin qu'ils servent de modèles, convaincu de l'utilité d'une telle entreprise par le peintre Gekkotei Bokusen mais également par le nombre croissant de ses disciples et admirateurs. Pensés pour être des manuels d'apprentissage à l'usage des jeunes artistes, ils serviront également de recueils de modèles pour les artisans et deviendront même une sorte d'encyclopédie imagée du vivant et de la vie quotidienne du Japon de l'époque Edo. L'estampe japonaise. Six short stories of the Dice Man 2011 Crayon, encre et blanco sur calque, papier Canson, 32 x 26,5 cm « Aaaaah, ce problème de la solubilité de la BD dans l’art !

Il est trop tard... L’art est un ogre insatiable, et il a déjà avalé la BD au petits oignons, comme il avait avant cela englouti la gravure, la photographie, la vidéo, l’affiche, le design, l’architecture, la publicité, le spectacle, l’informatique... Les artistes qui ont pratiqué cette grande dévoration sont légion. Je me souviens m’être ennuyé ferme avec la peinture et avec cette satanée “picturalité”. Communiqué de presse Galerie Vallois, 2011 * extrait d’un article rédigé par l’artiste pour le blogue La Cité (décembre 2011) “Aaaaah, the problem of whether the graphic novel art or not!

L’exposition « Sketches of the Universe » du musée Ôta, Tôkyô, présente certains des travaux les plus méconnus du célèbre artiste japonais Hokusai : ses croquis et livres d’images reliés en volumes et appelés Hokusai Manga.

Le terme « manga » est polysémique : à la fois synonyme de dessin, caricature ou croquis, il dénote une volonté et une soif de représentation universelle de la part de l’artiste. Introduction au travail de Hokusai Les Hokusai Manga (carnets de croquis de Hokusai), ainsi que les 36 vues du Mont Fuji, sont les œuvres qui ont hissé le maître du dessin Katsushika Hokusai au sommet de la popularité. RMN - Grand Palais Hokusaï manga ! Hokusaï, inventeur du manga ?

RMN - Grand Palais Hokusaï manga !

Ou, plus exactement de la manga ? Aussi surprenant que cela puisse paraître, il faut bien se rendre à l'évidence : Hokusaï fut en effet le premier à publier sa Manga, recueil d'images « dérisoires », de « dessins non aboutis » et autres croquis en 1814. L'artiste parcourait le pays, de Kyoto - l'ancienne capitale - à Edo, en passant par Nagoya, depuis déjà deux ans, croquant au passage tout ce qui pouvait passer sous ses yeux : fleurs, animaux, figures populaires et autres expressions saisies sur le vif. Mais c'est l'artiste Gekkotei Bokusen qui le convainquit de publier ses innombrables carnets de voyages, recueils d'études et d'esquisses et répertoires de motifs aussitôt réutilisés et réinterprétés par ses homologues japonais. De 1814 à 1878, Hokusaï publia ainsi quinze volumes de Mangas, somme colossale qui le fit connaître ensuite en Occident, tout autant que les Vues du mont Fuji.

Sylvie Blin.