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Paris : un salarié d'Apple menacé de sanctions pour avoir trop travaillé. Le Parisien | .. 20 minutes de trop ! Cette sanction pourrait aller jusqu'au licenciement. Le motif de l'entretien préalable n'était pas mentionné dans la lettre envoyée à l'employé. Ce n'est qu'au cours de cette rencontre «un peu tendue», explique Thomas Bordage, que ce temps de travail supplémentaire injustifié a été évoqué. Les salariés du magasin ont pourtant l'habitude de déborder sur leurs horaires, précise l'intéressé. Apple, contacté par l'AFP, n'a pas encore réagi. Leader d'une grève nationale en septembre dernier Ces 20 minutes ne seraient pas le seul motif des sanctions qui pèsent sur M. En tant que représentant syndical et que conseiller auprès des salariés (assistant les salariés lors d'entretiens avec leurs employeurs), il bénéficie cependant d'un statut protégé.

VIDEO. Vague de suicides à l'usine chinoise des iPhone. Le géant Foxconn, sous-traitant d'Apple, mobilise des moyens colossaux pour décourager ses jeunes ouvriers surmenés de se jeter des toits. De notre correspondant à Pékin C'est une usine, ou plutôt une ville dans la ville avec ses 300 000 ouvriers, où l'on meurt beaucoup ces derniers temps. De façon volontaire et désespérée, en sautant des toits de ce fameux atelier du monde. La vague de suicides - 10 morts en quelques semaines - qui frappe l'entreprise Foxconn installée à Shenzhen, aux portes de Hongkong, a fini par éclater bien au-delà des rivages du Sud chinois. La mort d'un dixième employé, mardi, a fait s'emballer cette tragique histoire. «Cela fait un mois que je ne dors plus», a confié ce patron qui emploie plus de 800 000 personnes en Chine. Recours au feng shui Paniquée par la contagion suicidaire, Foxconn multiplie les mesures, balayant les champs matériel comme spirituel.

Les forces religieuses, elles aussi, sont sollicitées. » La Chine s'interroge sur son modèle de société. Comment vit-on “à distance” ? (1/2) : mutations du travail et de la connaissance. Par Rémi Sussan le 08/04/15 | 5 commentaires | 1,428 lectures | Impression Nous avons déjà plusieurs fois présenté les activités des journées PraTIC qui se tiennent chaque année depuis 8 ans. Pour cette session, le sujet choisi était d’autant plus vaste qu’il traitait justement… de la distance. En général, les interventions de ce séminaire traitent plutôt de problèmes plus spécifiques. Au contraire, les discussions sur la distance se sont distribuées sur une multitude de sujets, du télétravail aux outils collaboratifs en passant par les drones militaires, la vision stéréoscopique, la téléprésence ou le jeu vidéo. La journée a démarré avec Anca Boboc, sociologue au département des sciences sociales (SENSE) d’Orange Labs, la seule intervention en fait à avoir tourné autour des problèmes classiques du télétravail.

Anca Boboc a notamment fait le récit d’une expérience au cours de laquelle les sujets ont connu trois situations différentes. Quand le spectateur devient réalisateur Rémi Sussan. Apple encadre ses salariés de près sur les réseaux sociaux. Début novembre, un tribunal britannique a validé le licenciement d'un employé de magasin Apple Store, coupable d'avoir dénigré son employeur sur Facebook.

Selon les juges, Apple interdit très clairement à ses salariés tous commentaires ou critiques sur internet, le collaborateur savait donc à quoi s'en tenir. La ligne de conduite stricte que la marque à la pomme impose à ses salariés n'a pourtant pas empêché l'un d'eux de transmettre au site 9T05Mac une copie de la charte d'utilisation des réseaux sociaux en vigueur dans le groupe, qui fait donc l'objet de toutes les attentions.

Le document réglemente l'activité des salariés sur les blogs, commentaires des sites, wiki ou réseaux sociaux comme Facebook, MySpace, Twitter et Linkedin. Si Apple exhorte d'abord ses employés à faire preuve "de bon sens", elle n'en édicte pas moins des règles détaillées, destinées à couvrir la plupart des risques pour l'entreprise et ses salariés. "N'exposez pas vos désaccords" Les conditions de travail chez Apple: la face cachée de la pomme! Paru le 23 octobre 2015 sur le site LeMonde.fr et en collaboration avec l’AFP, l’article intitulé « Apple critiqué pour des conditions de travail « misérables » chez un sous-traitant chinois » porte sur un rapport de l’organisation China Labor Watch. Première entreprise mondiale par capitalisation boursière, deuxième entreprise mondiale à générer le plus de bénéfices, Apple ne manque pas de moyens, et pourtant, la petite pomme est tellement gourmande qu’elle en dévorerait ses salariés.

C’est ce qui ressort d’un rapport de l’association new-yorkaise China Labor Watch qui épingle le sous-traitant taïwanais d’Apple, le groupe Pegatron. Le site Pegatron de Shangaï a été la cible d’une enquête clandestine de China Labor Watch qui a permis de dévoiler les conditions inhumaines dans lesquelles travaillent plus de 100 000 salariés. Le rapport de l’ONG China Labor Watch révèle plus d’une vingtaine de violations au droit du travail. Pour réagir sur notre forum, cliquer ici. Apple critiqué pour des conditions de travail « misérables » chez un sous-traitants chinois. Bas salaires, heures non payées, dortoirs infestés d’insectes : China Labor Watch a dénoncé jeudi les conditions de travail dans une usine d’un sous-traitant chinois d’Apple. L’ONG China Labor Watch, sise à New York, a dénoncé dans un rapport, jeudi 22 octobre, les conditions de travail dans une usine d’un sous-traitant chinois d’Apple, recensant une « vingtaine de violations » au droit du travail. « Les bas salaires, les longues journées de travail, les heures non payées, les mauvaises conditions de sécurité et les conditions de vie misérables persistent », a estimé l’organisation, qui a mené son enquête clandestinement dans une usine à Shanghaï du groupe Pegatron.

Après leur journée de travail, les employés, logés dans l’entreprise, sont par ailleurs conduits dans des dortoirs bondés et insalubres, équipés de lits « infestés de punaises », décrit l’organisation. Les salariés pas informés des risques pour leur santé. Pour le lancement de l'Apple Watch : un beau cadeau pour les employés d'Apple. Pour le lancement de l'Apple Watch : un beau cadeau pour les employés d'Apple Par grobubu le mardi 7 avril 2015, 10:10 - Apple Watch : la montre d'Apple - Lien permanent apple-watch Travailler chez Apple peut parfois avoir du bon.

En effet, dans un mémo envoyé hier à l’ensemble des salariés de l’entreprise, Tim Cook évoque évidemment l’Apple Watch dont la première phase du lancement débutera ce vendredi. En plus des félicitations d’usage et autre autocongratulation d'usage visant à rassembler les troupes, le PDG de l’entreprise fait un beau cadeau à ses employés en leur octroyant une remise de 50 % sur la toute nouvelle montre. De quoi peut-être se laisser tenter… Je vois déjà venir les mauvais esprits. Pour les moins fortunés, la remise s’applique sur les deux autres déclinaisons de l’Apple Watch qu’il s’agisse du boitier alu ou acier.

Avec cela, Apple s’assure de voir bon nombre de ses salariés arborer fièrement la montre maison au poignet dans les boutiques. source Vous aimez ? Les employés d'Apple avouent les pires côtés de leur travail. Vous pensez que travailler chez Apple c'est le summum ? Voici quelques témoignages qui vous feront sans doute changer d'avis Si vous voulez travailler dans les technologies, vous rêvez d'ajouter les mots "Apple Inc. " quelque part sur votre CV. Car une telle expérience vous ouvrira toutes les portes qui vous sont fermées. Mais, à quoi ressemble vraiment le travail au sein de l'entreprise la plus novatrice de la planète ? La plupart des gens chérissent le temps qu'ils y passent.

En tant qu'employé chez Apple, vous travaillez sur les gadgets les plus recherchés au monde à côté des esprits les plus brillants de la Silicon Valley. Vous faites quelque chose qui est envié par tout le monde. Mais toutes les entreprises ne sont pas parfaites et Apple n'est pas une exception. Nous avons passé au crible les archives de Quora et Glassdoor pour rassembler cette compilation de citations d'anciens employés concernant les pires aspects de la vie à l'intérieur de l'empire californien à Cupertino. Plus d'employés et un peu plus de R&D chez Apple. Apple a bouclé son année fiscale 2013 et publié en conséquence le document 10-K qui dresse un portrait de son activité. Pour une part les chiffres qu'ils contient sont déjà connus, donnés et développés lors des résultats trimestriels (lire Résultats Apple T4 2013 : tout ce qu’il faut savoir). D'autres données méritent d'être mises en lumière. R&D en "hausse" Par exemple la part de la R&D dans les dépenses d'Apple.

Par R&D on entend plusieurs choses, d'abord le sens classique de la création de nouvelles technologies. Cette valeur de 2013 représente donc une belle augmentation de 32% comparé à 2012, mais qu'il convient de relativiser, puisque le chiffre d'affaires a progressé lui-aussi. Employés A la fin septembre, Apple comptait environ 80 300 employés en équivalent plein temps contre 72 800 en 2012 (et 49 400 en 2010…). Apple attribue des actions gratuites pour mieux retenir ses salariés. La plupart des salariés d’Apple peuvent bénéficier d’un plan d’achat d’actions « à prix réduit », mais seuls les cadres dirigeants obtenaient régulièrement des restricted stock units (RSU).

Si le plan d’achat est intégré dans la rémunération des salariés, les RSU sont attribuées en supplément, ce qui en fait de facto des « actions gratuites ». Pour « remercier » ses équipes, Tim Cook annonce par le biais d’un mémo que tous les employés d’Apple pourront désormais bénéficier de RSU. Ce cadeau n’est pas tout à fait désintéressé : les plans d’achat d’actions ne retiennent pas les salariés, contrairement aux RSU. En effet, les RSU ne sont qu’une promesse d’attribution d’actions dans le futur, promesse qui ne sera tenue qu’à condition que le salarié n’aille pas voir ailleurs. « Nos salariés sont notre plus importante ressource », dit Tim Cook, et ces salariés seront plus enclins à rester s’ils savent que quelques milliers de dollars les attendent au bout du chemin.

Apple conserve le droit de fouiller le sac de ses salariés après le travail. Les salariés sont libres de venir travailler sans sac s’ils veulent s’épargner un contrôle à leur sortie, a fait valoir le juge américain William Alsup samedi 7 novembre. Il donnait ainsi raison à Apple, qui fouille systématiquement les sacs de ses employés après leur service. Ceux-ci avaient engagé un recours collectif – la class action – pour exiger l’arrêt de cette pratique qu’ils jugent dégradante. Ils souhaitaient également être remboursés du temps perdu à se prêter à cette surveillance, explique la chaîne de télévision américaine CNBC, qui assure que 12 000 employés sont engagés dans cette démarche juridique.

Les plaignants affirment que les fouilles sont systématiques, y compris pendant la pause déjeuner. La justice de San Francisco a pourtant tranché en faveur de la firme américaine avec cette explication, rapportée par CNBC : L’avocat des plaignants, Lee Shalov, a fait part de sa déception et envisage la possibilité de faire appel. Atelier SG management francais 240066.