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Médias et information

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Fracture numérique (géographique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La fracture numérique est la disparité d'accès aux technologies informatiques, notamment Internet. Elle recouvre parfois le clivage entre « les info-émetteurs et les info-récepteurs »[1]. Cette disparité est fortement marquée d'une part entre les pays riches et les pays pauvres, d'autre part entre les zones urbaines denses et les zones rurales.

Elle existe également à l'intérieur des zones moyennement denses. Le rapport de la commission pour la libération de la croissance française[2], dit rapport Attali, propose une définition de la fracture numérique en France, fixe plusieurs objectifs et propose plusieurs décisions pour réduire la fracture numérique : L'expression fracture numérique (en anglais : digital divide) est calquée sur celle de fracture sociale employée par Jacques Chirac, lors de la campagne présidentielle de 1995. — Elie Michel in « Le fossé numérique. Une fracture numérique existe entre pays du Nord et pays du Sud. Géographie des réseaux sociaux : approches cartographiques. Retour à la lettre d'information n°8 “Au niveau mondial, les internautes passent plus de temps sur les réseaux sociaux, de type Facebook ou LinkedIn, que sur leurs e-mails.

Sur les marchés émergents, comme l’Amérique Latine, le Moyen-Orient et la Chine, le temps moyen hebdomadaire passé sur les réseaux sociaux est de plus de 5 heures, contre 4 heures passées à l’envoi et la réception d’emails. Les plus gros utilisateurs de réseaux sociaux sont la Malaisie (9 heures par semaine), la Russie ( plus de 8 heures) et la Turquie (près de 8 heures)”. Ces exemples tirés de la dernière enquête de TNS Sofres sur les activités, comportements et attitudes des internautes en France et dans le monde, publiée le 12 octobre 2010, montrent à quel point les réseaux sociaux sont implantés dans le paysage de l’Internet.

Centrés autour du relationnel entre internautes, au travers de créations de contenus et d’interactions virtuelles, ils sont devenus déterminants dans la compréhension du Web d’aujourd’hui. Le Sommet mondial sur la société d'information. Décidé par une résolution de l’Assemblée générale des Nations unies en 2001, le Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI) s’est déroulé en deux étapes, la première à Genève en décembre 2003 et la deuxième phase à Tunis en novembre 2005. L’objectif était d’aboutir à des mesures concrètes pour une société de l’information accessible à tous. L’organisation du Sommet a été confié à l’Union internationale des télécommunications (UIT), institution spécialisée des Nations Unies pour les technologies de l’information et de la communication, et où se concertent pouvoirs publics et secteur privé.

Les documents du Sommet listent les applications des TIC dans lesquelles les Etats doivent mettre en place des politiques : administration électronique commerce électronique téléenseignement télésanté cybertravail cyberécologie cyberagriculture cyberscience A Genève ont été adoptés une déclaration et un plan d’action. Texte de la déclaration Télécharger le plan d’action (pdf 19 pages) Introduction. Le paysage médiatique en mutation Les médias sont une composante importante de notre société.

Qu’ils nous servent de fenêtres sur le monde, de source de savoir ou d’outil de divertissement – pour en citer les principales fonctions : les médias nous permettent de nous orienter dans un environnement de plus en plus complexe. Mais ils peuvent aussi être un outil de pouvoir, en privilégiant la diffusion de certaines opinions ou valeurs plutôt que d’autres. Le paysage médiatique suisse traverse une période de profondes mutations. La Suisse a une longue tradition journalistique, qui se caractérise par la densité et la qualité de ses publications et par un regard très ouvert sur le monde.

But des indicateurs: Le système des indicateurs des médias a pour but de fournir une large vue d’ensemble de la structure et de l’évolution du paysage médiatique suisse. Sources de données: Les indicateurs des médias reposent sur un grand nombre de statistiques, réalisées à partir de sources très diverses. Indicateurs. Cet indicateur informe sur l'équipement en biens TIC (technologies de l'information et de la communication) des ménages privés en Suisse. La prise en compte de différentes dimensions permet de comparer l’évolution de cet équipement dans le temps, de situer la Suisse en comparaison internationale et de déterminer les facteurs socio-économiques qui ont une influence sur l’équipement des ménages.

Cet indicateur est présenté selon les dimensions suivantes: Sources: OFS/EBM En 2011, 93% des ménages en suisse disposent au moins d’un téléphone mobile et, en fait, la majorité en possède plus d’un (55%). La télévision est l’appareil le plus répandu dans les ménages après le téléphone mobile. 92% des ménages possèdent au moins un téléviseur et 17% d’entre eux en possède deux ou plus. Pendant la même période de référence, 85% des ménages disposent au moins d’un ordinateur fixe ou portable et, parmi eux, 43% en ont plusieurs. Sources: OCDE, UIT Informations supplémentaires: Définitions/explications. Tweetping. Www.atlaslargebande.ch. Changement sur les ondes. Environ 70% de la population de la République-Unie de Tanzanie habite dans des zones rurales (recensement 2012), où la majorité vit dans la pauvreté et n’a pas accès aux médias et autres organes de presse, ne peut pas recevoir ni partager des informations, et ne peut pas exercer son droit à la liberté d’expression.

Alors que seulement 11% des tanzaniens peuvent avoir accès et utiliser Internet, et que seulement 19% ont la télévision, un pourcentage important de 88,7% de la population a accès à la radio (STID, 2011, p.147). A ces chiffres s’ajoute la fracture numérique entre les hommes et les femmes, alors que ces dernières sont défavorisées par le fait qu’elles ne soient pas représentées dans la sphère médiatique, et qu’elles n’aient pas accès aux Technologies d’Information et de Communication (TIC). Avec pour passé une riche tradition d’histoire orale, les radios sont la principale source d’information des tanzaniens.