background preloader

15/09/11

Facebook Twitter

Twitter continue sa croissance, de plus en plus sur les portables. [Infographie] Les chiffres clés de Google+ Cette infographie réalisée par IdentyMe dresse un état des lieux du dernier-né des réseaux sociaux: Google+. Quel est le profil des utilisateurs? Combien a coûté le projet? Qui est le plus populaire sur la plateforme? Au menu donc, des statistiques intéressantes, accompagnées de quelques curiosités. On apprend par exemple que: 72% des utilisateurs seraient des hommes.28% des femmes.En revanche, on cherche encore à quoi correspondent les « 20% Autres ».26M de personnes auraient déjà un compte Google+ à travers le monde, dont la plupart se situent aux Etats-Unis et en Inde.Le projet aurait coûté près de 585M $, soit plus de 430M € et regrouperait près de 500 employés.Larry Page est devancé sur son propre réseau par Mark Zuckerberg.

Des "abonnements" sur Facebook, pour dépasser son cercle d'amis. Social Media Week : une semaine dédiée aux médias sociaux. 14-09-2011 | par M. -J. D. | source: CDL « L’objectif de la Social Media Week (semaine des médias sociaux, NDLR ) au Liban est de sensibiliser et éduquer les gens à l’usage des médias sociaux », explique Monica Karam, responsable du bureau libanais du cabinet de conseil 90:10 en charge de l’organisation de l’événement. « Les médias sociaux sont devenus incontournables, et vont exploser avec l’arrivée de la 3G, poursuit la jeune femme, aujourd’hui 25% de la population libanaise est sur Facebook, et on estime que 80.000 personnes sont actives sur Twitter, comparé à uniquement 5000 en 2009 ». La Social Media Week est un événement mondial bi-annuel créé en 2009 à New York par la société Crowdcentric Media LLC. . « Patrick Atallah, directeur de 90:10 pour la France, l’Italie et le Moyen-Orient, a rencontré les organisateurs à Paris, lors de la dernière édition de l’événement, et a négocié les droits pour l’organiser au Liban », raconte Monica Karam.

Le Liban déchiré de Nadine Labaki. Un camp d'été pour les ados libanaises accros du net - OLJ. Alarab, une nouvelle chaîne dédiée au "printemps arabe" Après Sioufi, l'Internet gratuit en wifi dans le jardin de Sanayeh de Beyrouth. Après Sioufi, l'Internet gratuit en wifi dans le jardin de Sanayeh de Beyrouth 09-09-2011 | par S.R. | source: Ministère des Télécoms Mots clés : Internet, Orascom Télécom, Jardin, Nicolas Sehnaoui Après le jardin de Sioufi, c'est au tour de celui de Sanayeh d'être désormais équipé de l'Internet haut débit gratuit en wifi.

Le ministre des Télécommunications Nicolas Sehnaoui a inauguré le nouveau service vendredi en attendant de l'étendre à neuf autres jardins de la capitale et un parc à Tripoli. Cette opération se fait en coopération avec Sodetel (propriété de l’Etat à 50%), qui assure l’entretien technique, et l’Association des banques du Liban (ABL), qui couvre les frais. Où en est le réveil arabe (II) ? Bahreïn, Yémen, Syrie. Après avoir passé en revue les trois pays où les régimes en place ont été renversés, tournons-nous vers les trois où ces régimes résistent avec détermination ; par ordre chronologique du déclenchement des manifestations : le Bahreïn, le Yémen et la Syrie. Au Bahreïn, une intervention militaire pro-gouvernementale D’abord le Bahreïn, où les manifestations massives et pacifiques de la majorité de la population (chiite et aussi sunnite) ont débouché sur une intervention militaire des pays du Golfe, et en premier lieu de l’Arabie saoudite à la mi-mars. Une brutale répression s’en est suivie, avec l’arrestation des principaux responsables de l’opposition, l’usage systématique de la torture, des procès arbitraires, l’interdiction des manifestations.

Ces mesures n’ont pourtant pas été suffisantes pour mater la contestation. D’autant que la situation régionale rendait difficile une répression sans limite. Le roi a dû lever l’état d’urgence, mais la pression sur l’opposition se maintient. How many pages are on the internet? The World Wide Web Foundation is trying to measure the scope of the internet with a new project called the Web Index. Web Foundation aims to measure the size of the internetGroups says its "Web Index" will come out early next year$1 million grant from Google will be applied to the process, CEO says (CNN) -- It seems like an answerable question, right? But no one really knows how many websites or individual Web pages make up this seemingly infinite digital universe that is the internet. Kevin Kelly, a founder of Wired magazine, has written that there are at least a trillion Web pages in existence, which means the internet's collective brain has more neurons than our actual gray matter that's stuffed between our ears.

"The Web holds about a trillion pages. The human brain holds about 100 billion neurons," Kelly writes in his 2010 book "What Technology Wants. " "Each biological neuron sprouts synaptic links to thousands of other neurons, while each Web page on average links to 60 other pages. Sortie du livre « Réussir avec les médias sociaux » de Jean-François Ruiz.

Jean-François Ruiz, spécialiste reconnu des réseaux sociaux, signe ce livre, disponible depuis hier, dans la collection « Guides réussite L’Entreprise » aux Editions Express Roularta. Il a piloté l’écriture collaborative de cet ouvrage réalisé à une quinzaine de mains d’experts du web 2.0 et préfacé par Dan Serfaty, le fondateur de Viadeo. Le livre s’adresse, dans une approche concrète, aux chefs d’entreprises, entrepreneurs, managers, consultants, communicants ainsi qu’aux particuliers (étudiants, en recherche d’emploi). « Réussir avec les réseaux sociaux » veut répondre à une question aussi simple que répandue: Comment booster au mieux sa carrière où son business grâce aux médias sociaux ? Un site dédié, Réseaux-Sociaux.net accompagne cette sortie pour poursuivre la réflexion et les échanges. Depuis quelques semaines le livre connait un grand succès en pré-commande sur Amazon. L’acheter. Les principaux thèmes déclinés: Five infographics that put the U.K. riots in perspective.

Presse - Article - ProPublica, du non-profit journalism au média social. ProPublica, un organisme de journalisme d’investigation à but non lucratif basé à New York et récompensé par deux Pulitzer depuis sa création en 2007, a récemment lancé un nouveau service appelé MuckReads. Il permet aux internautes de lire et de recommander des articles, principalement via Twitter. Auto-décrit comme « une collecte continuelle de reportages citoyens et vigilants », MuckReads invite tous ceux qui le souhaitent – journalistes et professionnels de l’information aussi bien que simples lecteurs – à apporter une contribution à cette agrégation sociale de contenus issus du Web, lesquels vont des articles traditionnels aux graphiques, en passant par des documents télévisuels ou radiophoniques, des dessins ou encore des podcasts. Exemple d'une contribution sur MuckReads. [1] . [3] et ont rendu les rédactions plus réticentes à aborder des sujets d’investigation sensibles. Andy Carvin: the man who tweets revolutions | Media.

Andy Carvin insists that the introduction on his Google Plus profile – "I tweet revolutions" – is a joke, but nevertheless that's what he's famous for. Armed with TweetDeck – the power Twitter user's app of choice – and a thoroughly curated group of reliable, enthusiastic and well-informed Twitter users, the social media strategist for US public service radio broadcaster NPR has become known for his mastery of aggregated and verified real-time news through Twitter. And that's no mean feat on a platform still dismissed by many as a gimmick that trivialises information into uselessly short sound bites.

News organisations have become increasingly fascinated by Carvin's experiments as the value of insight, and the expertise required in aggregating and filtering information on social networks, has become more apparent. When Libya's uprising boiled over two weeks ago, Carvin surpassed even his own record by tweeting nearly 1,200 times in 48 hours. Age 40. How Andy Carvin uses Twitter to report on the Middle East. Andy Carvin at the Knight-Batten Awards and Symposium. IJNet photo by Mohammad Al abdallah As he was honored at the Newseum in Washington September 7, National Public Radio's Andy Carvin explained how he started following tweets from Tunisia to Egypt as revolutions erupted across the Middle East this year. Carvin received a Knight-Batten Award for Innovations in Journalism at the Newseum in Washington for his pioneering use of Twitter as a tool for newsgathering.

Most of this year's awards went to data-driven, open-source and social media projects. View the complete list of winners here. IJNet attended the 2011 Knight-Batten Awards and Symposium for Innovations in Journalism, "New Gateways To News," and chatted with Carvin after his speech. IJNet: You work in radio, so how do you use the information that you gather from Twitter? IJNet: But there are a lot of people. AC: When I start building a network in a country, I follow people and activists I know from real life. Social media editor role expands to include fighting misinformation during breaking news. The buzzwords for social media editors at news outlets are conversation, curation and collaboration. But when using Twitter and its ilk to collect and disseminate news in real-time, another word is becoming just as important: corroboration.

During big, breaking events such as Hurricane Irene, the East Coast earthquake and uprisings in the Middle East, social media editors monitor Twitter, YouTube and Flickr. They ask people what they’re seeing and spread eyewitness accounts and images to a broader audience. Yet they’re finding that it’s not enough simply to share accurate information. They also must try to stem the flow of inaccurate information. They become debunking editors, real-time Snopes who cast a skeptical eye on the dramatic photo that’s making the rounds. Even if they decide that something is a hoax, simply declining to share it isn’t enough.

Lexi Mainland, one of De Rosa’s counterparts at the Times, retweeted it, adding, “Please don’t RT it.” Misinformation among the noise. Réseaux sociaux : Mormons, Juifs, Chrétiens, Musulmans, tous connectés. Mormon.org, hybride entre le réseau social et le site de rencontre.© DR Mark Zuckerberg fait des émules. Après l’homologue musulman de Facebook, IkhwanBook, lancé il y a un an, c’est la version juive orthodoxe qui vient de faire son apparition sur la Toile. FaceGlat compte quelques deux milliers d’inscrits, loin derrière un autre réseau social quant à lui dédié aux Mormons. C’est un fait : la religion, ou plutôt ses adeptes, passe au 2.0. Discussion en ligne, partage de contenus, rencontres d’amis… Le concept est connu. Dernière initiative en date, un jeune juif orthodoxe, résident israélien, a ainsi eu l’idée de créer une plate-forme en adéquation aux préceptes moraux de sa religion. « Un jour, un couple d'amis est venu me rendre visite et, dans la conversation, la jeune femme a regretté qu'il n'existe pas de site où elle pourrait partager des photos avec ses copines sans que d'autres puissent les voir.

FaceGlat, le Facebook-like "hautement casher" Frères musulmans. Five ways to crowdsource your reporting with Facebook. CC-licensed, thanks to Ksayer1 in Flickr. With more than 750 million users worldwide, Facebook is a great source of collective knowledge. Journalists increasingly use this tool through the creation of Facebook pages to engage their audience and allow them to participate in the news cycle. And users respond. According to Facebook’s stats, the average user is connected to 80 community pages, groups and events.

Vadim Lavrusik, Journalist Program Manager for Facebook, recently published a post in the “Facebook + Journalists” guide detailing how news organizations are using this social medium to crowdsource stories. Here are some of the examples from the guide along with others found by IJNet. To find stories and personal testimonies. The Joplin Globe also asked its readers to share how their lives changed 100 days after the devastating tornado that hit Joplin, Missouri. On a lighter note, The New York Times asked readers to share the best dishes they’ve made since Memorial Day. INTERNET • Les journalistes citoyens du "printemps arabe" Etre homosexuel dans le monde arabe. Le Monde.fr | | Par Sami Richa, chef de service de psychiatrie à l'hôtel-Dieu de France de Beyrouth A l'ère où le printemps arabe touche les pays arabes dictatoriaux, il convient de s'attarder sur les plaies combien nombreuses qui ébrèchent le paysage de la sexualité dans cette partie du monde.Dans bon nombre de pays arabes, l'homosexualité est un délit passible au moins d'emprisonnement, au plus de peine de mort.

Pourtant, certains poètes du monde musulman ont pu toutefois célébrer l'homosexualité, comme, par exemple, le poète arabo-persan Aboû Nouws. Cependant, la situation dans le monde arabe est très grave, l'homosexualité y est très mal acceptée, d'abord elle est interdite par la loi (dans la plupart des pays arabes) et elle est très mal vue par une société très conservatrice et traditionnelle, guidée la plupart du temps par des valeurs religieuses.

La communauté homosexuelle dans les pays du monde arabe est donc une des minorités les plus opprimées.