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Comment supporte-t-on les rames bondées. À Paris, le trafic annuel du métro est passé de 1 200 millions de voyages en 2000 à 1 500 millions en 2011, soit 5,16 millions de voyages par jour [1]. Cette augmentation d’environ 25 % du trafic se traduit par des conditions de voyage de plus en plus difficiles [2]. Les enquêtes menées par des instituts de sondage (TNS-Sofres pour RATP 2012) rapportent de fait une montée des « incivilités » ainsi que des plaintes liées aux retards et à l’inconfort, dus à la densité (chaleur, odeurs, attouchements…). À les en croire, les choses sont devenues insupportables. Pourtant, les voyageurs continuent d’affluer ! Analyser les expressions faciales des passagers Nous savons que les émotions ne sont que peu exprimées dans le métro, un milieu largement marqué par les échanges non verbaux et l’inattention civile (Goffman 1973), une façon de ne pas prêter plus d’attention que nécessaire aux autres personnes présentes (par exemple, ne pas fixer des yeux ; voir Tonnelat 2012).

Bibliographie. Les inégalités socio-spatiales progressent-elles en Île-de-France. Dossier : Le Grand Paris, une métropole en marche ? Depuis la fin des années 1990, le constat d’une accentuation des contrastes sociaux dans l’espace métropolitain parisien fait consensus, au point que des termes extrêmes tels que « ségrégation » et « ghetto » sont désormais utilisés couramment dans la sphère publique.

Le débat scientifique s’est, quant à lui, cristallisé autour de la théorie de la « ville globale » et de son corollaire, la dualisation sociale et spatiale de l’espace métropolitain (Sassen 1991). Les beaux quartiers, qui s’embourgeoiseraient toujours plus, s’opposeraient à des quartiers « en difficulté » qui tendraient à s’homogénéiser tout en s’appauvrissant (Maurin 2004). Pourtant, bien que très visibles, de telles évolutions ne peuvent pas être envisagées comme exclusives et inéluctables.

Notre observation porte sur la période 1990‑2007 avec une attention plus particulière sur les années de 1999 à 2007. Embourgeoisement et accentuation de la polarisation sociale. Cergy-Pontoise "ville nouvelle" : la fin. Aménagement : Les Hauts de Cergy poursuivent leur mutation. Www.insee.fr/fr/insee_regions/idf/themes/dossiers/villes_nouvelles/docs/vn_cergypontoise.pdf. Non-ZUS Cergy-le-Haut - Quartier non-ZUS des CUCS de la commune: Cergy.

AU SUJET DE LA NOUVELLE ECOLE DE CERGY LE HAUT | Mouvement Démocrate. Www.iau-idf.fr/intercommunalite/calculpdf.php?siren=249500109. Conjoncture & Perspectives Immobilières. Appartements Neufs : La commercialisation de programmes neufs sur l’agglomération de Cergy Pontoise a été particulièrement active en 2009 avec environ 400 logements vendus. Ce dynamisme s’explique localement comme au niveau national par la mise en place des mesures gouvernementales liées au plan de relance : le doublement du prêt à taux zéro, Pass Foncier, et surtout l’avantage fiscal "Scellier". On notera que sur ces 400 ventes, 231 concernent des appartements appartenant à 7 programmes mis en vente en cours d’année 2009 proposant 439 nouveaux logements au total, et enregistrant par ailleurs les performances les plus remarquables : - 46 logements vendus en 2 mois dans le programme «Bel Agora» par Bouygues, boulevard du Ponceau à Cergy ; - 57 logements vendus en 6 mois dans le programme «Etoile du Sud» par Icade Promotion, Boulevard des Merveilles à Cergy ; - 28 logements vendus en 2 mois dans le programme «Sirius» par Icade Promotion Rue Strogoff à Cergy ; Récents et anciens : Terrains à bâtir.

Hauts de Cergy - 20 ans déjà... Les Hauts-de-Cergy, une récente histoire Le dessin du quartier et son architecture sont l’aboutissement d’une évolution progressive de l’urbanisme, particulièrement perceptible en ville nouvelle. Les quartiers Grand Centre, Orée du Bois et Coteaux sont représentatifs de l’urbanisme et de l’architecture des années 1970, et le quartier Axe Majeur – Horloge est typique des années 1980. Les Hauts-de-Cergy seront quant à eux un exemple de l’urbanisme des années 1990, et une transition entre le XXème et le XXIème siècle. 1990 : les Hauts-de-Cergy sont en passe de devenir le 6ème quartier de Cergy Pressenti au départ pour n’être que le prolongement du quartier de l’Axe Majeur – Horloge, le quartier des Hauts-de-Cergy s’est finalement développé comme un quartier à part entière, avec sa gare RER, ses commerces, ses équipements et ses logements , plus diversifiés et favorisant ainsi la mixité sociale voulue par la ville. 1994 : une inauguration en grandes pompes Ouverture du lycée Jules Verne.