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Dons 2016 : Romans

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L'histoire Quand la romance colle à l'histoire des USA, on peut se douter que cela donnera lieu à de belles pages vibrantes. Ce roman-là est effectivement de la veine des épopées, où les héros évoluent sur de longues années, tandis que leur amour prend naissance, grandit, s'affermit puis s'épanouit au même rythme que le projet de construction du Transcontinental qui traverse le pays, de Chicago à la Californie. Mais de 1857 à 1869, les événements historiques ne s'arrêtent pas à cette grande conquête. L'auteur jette aussi son héros, Nick Travis, dans les tourments vécus par les Indiens déracinés (lui-même est un sang-mêlé) et de la guerre de Sécession, tandis qu'Elsa Landers entre de plein pied dans l'ère de la modernité, en femme d'affaire avisée qui évolue au sein d'un univers déjà très urbanisé, avec cette étonnant portrait du Chicago du 19ème siècle et de la conquête industrielle..

Nick Travis rencontre Elsa Landers lorsqu'elle a 15 ans. Mon sentiment. Une atmosphère lourde, comme un avant un orage. Voilà ce qui caractérise ce roman.Alice et Dany sont persuadés que leur beau-père veut les empoisonner. C'est au fil de la lecture que la certitude du lecteur prend forme… Le livre débute à son paroxysme : « Fuyez », leur souffle leur mère… Comment en est-on arrivé là ? Rien de plus simple : un Papa qui part, un frère amoureux d'une fille qui s'échappe régulièrement de l'asile où elle est enfermée pour avoir empoisonné sa mère et une Maman qui se remarie et qui souhaite juste avoir une petite famille tranquille.

Alice, 11 ans, se débrouille avec tout cela, armée de ses rites païens et d'un délicieux cynisme…Ce ne fut pas du tout ce à quoi je m'attendais. Je m'attendais à une ambiance beaucoup moins électrique, beaucoup moins lancinante. . + Lire la suite. « Dépêchez-vous de vivre, dépêchez-vous d’aimer. Nous croyons toujours avoir le temps, mais ce n’est pas vrai. Un jour nous prenons conscience que nous avons franchi le point de non-retour, ce moment où l’on ne peut plus revenir en arrière. Ce moment où l’on se rend compte qu’on a laissé passer sa chance… » Ethan, Céline, Jessie. Ont-ils déjà franchi le point de non-retour ? Un mystère intense Un amour en danger Un dénouement stupéfiant Minisite : la presse en parle «Une construction originale et maîtrisée, un style reconnaissable entre mille, des personnages forts, tout y est.» «Guillaume Musso signe un récit au cordeau, truffé de rebondissements…» Télé 7 jours, 18 avril.

Ce qui frappe avant tout, c'est l'écriture…Il n'y a aucun doute cet homme-là, est un écorché vif ; et son stylo semble lui servir d'exutoire. Tous les maux de l'Algérie sont ici mis en exergue ; son histoire, son identité, sa religion…Boualem Sansal se met en danger, chaque fois qu'il écrit ; il dérange. Sélection Télérama-France Culture C'est un livre de terre et d'herbes, de pierres et de cyclamens, de souches et de coquelicots. Un livre en marche, qui s'arpente et se piétine, qui se foule et se déroule à grand fracas. Un livre qui avance pour mieux reculer, qui s'élève pour s'enterrer.

A l'image de la folle randonnée que s'impose Ora, « femme fuyant l'annonce », mère craignant la mort, épouse vivant l'abandon, maîtresse prisant la vérité. Pour être injoignable en cas de mauvaise nouvelle de son fils, soldat israélien sur le front de l'Intifada, Ora crapahute en Galilée, sac au dos, dos au monde. Est-ce parce qu'il a rédigé ce roman dans un troublant état prémonitoire (son fils périt au combat alors qu'il en achevait l'écriture) que David Grossman parvient à créer une brume aussi cotonneuse et lumineuse, capable de dessiller et de masquer à la fois ? Depuis son premier livre, Le Vent jaune (1988), l'auteur israélien n'a cessé d'écrire sur la question palestinienne. Marine Landrot. Cheyenne - Didier Van Cauwelaert - Cliquez sur l'image deux fois pour lire le résumé. J h min s jour heure heures Livraison gratuite Voir la description de l'objet + Consultez la description de l'objet pour connaître les frais de livraison Environ : (Saisissez ##1## ou plus) (Saisissez une valeur supérieure à ##1##) Votre enchère maximum : Quelqu'un a surenchéri.

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Essayez d'augmenter votre enchère maximum. Vous êtes le meilleur enchérisseur! Enchérir. Premier contact avec Alexandre Jardin, pour au final une impression agréablement mitigée. Certes la lecture est agréable, le livre se lit très vite, sans accrocs, mais ça ne fait pas tout. (Ce n'est pas que je recherche un roman inoubliable à chaque fois, attention !) Les bons points (Mais pas assez pour en faire un excellent roman) côtoient les mauvais (Pas assez nombreux pour en faire un mauvais roman)L'histoire d'abord, classique mais efficace, Mr Alexandre Eiffel (De la famille de Gustave of course) souhaite renouer avec l'enfant qui est en lui.

Et s'y attelle de manière plutôt musclée.Un changement de vie radical, un besoin de rajeunir. C'est amusant, ça fait envie. (Quoi que je j'en sois pas au même point que le dit-Alexandre)Et si ce thème du retour à sa jeunesse est sympathique, il lui a manqué un petit quelque chose pour le faire sortir du lot.En revanche, j'ai eu l'impression de lassantes répétitions, sur l'adulte-voulant-redevenir-un-enfant-etc...

N°496– Janvier 2011. La ligne de partage – Nicholas EVANS- Albin Michel. Traduit de l'américain par Françoise du Sorbier. Le roman s'ouvre sur la découverte par deux skieurs du cadavre d'une jeune fille emprisonné dans la glace à « Goat Creek ». Les recherches, difficiles au début, révèlent son identité: il s'agit d'Abbie Cooper recherchée par le FBI. ©Hervé GAUTIER – Janvier 2011. Lien : Le cri de la mouette est un véritable cri du coeur, un magnifique témoignage d'Emmanuelle Laborit sur son itinéraire et son combat pour changer notre regard sur les sourds et un plaidoyer pour une reconnaissance de la langue des signes (LSF) comme une langue à part entière.

Emmanuelle Laborit est sourde de naissance mais refuse d'être considérée comme une handicapée. Elle le dit : […] Pour moi, la langue des signes correspond à la voix, mes yeux sont mes oreilles. Sincèrement, il ne me manque rien. C'est la société qui me rend handicapée, qui me rend dépendante des entendants [….] […]« L'implant, pour moi, c'est un viol. Emmanuelle Laborit a du tempérament et de solides convictions. Avant elle croyait que les sourds se reconnaissaient au port d'un appareil auditif, qu'elle n'atteindrait jamais l'âge adulte parce qu'elle n'avait jamais côtoyé de grandes personnes dans son cas. Malgré tout, la surdité isole beaucoup une personne dans les moments de partage.