Pierre Chêne - L'arbre - chanson pour enfants. Matériel pédagogique pour exploiter l'œuvre - Le nom des arbres. Isabelle Aboulker : "Le Nom des arbres", extrait de "Myla et l'arbre bateau" sous la direction de... Il était une feuille - Robert Desnos ; poème mis en image par Lumni. L'arbre dans l'art - Arts et culture. Quand l'arbre inspire et mobilise les artistes - Jardins de France. La scène se passe en 1888 devant un paysage automnal de Pont-Aven, petit village breton du Finistère.
Une rivière, bordée d’un côté par une hêtraie et de l’autre par des chênes, conduit à un moulin. Paul Gauguin donne une leçon de peinture à Paul Sérusier (1864-1927), jeune artiste de 24 ans. L’exaltation de ce dernier est telle qu’il se permet audacieusement d’aller plus loin que le maître. Les détails sont éliminés et la couleur prend le pouvoir sur la réalité observée. Les hêtres et leurs reflets deviennent de grandes taches jaunes éclatantes, les troncs sont bleus ciels, la lumière inondant le sous-bois est traitée en rouge vermillon, tandis que l’autre rive, assombrie par les chênes, se colore de verts foncés, presque noirs.
La voix des arbres dans l'histoire de la peinture. 1A l’automne 2002, la Réunion des musées nationaux organisait au Grand-Palais, à Paris, une rétrospective consacrée à John Constable (1777-1837), l’un des précurseurs de la peinture de plein air, dont les tableaux présentés au Salon de 1824 stupéfièrent Géricault et Delacroix.
Ce n’était pas une exposition comme les autres, puisque son commissaire était lui-même un artiste, bien vivant celui-là, le célèbre peintre anglais Lucian Freud (1922). A l’entrée, à côté d’un de ses propres tableaux, Freud avait accroché une œuvre surprenante de Constable, qui peint presque toujours des horizons ouverts ou des sous-bois, un tronc d’arbre isolé dont il dit ceci : Quand j’ai vu le petit tableau du tronc d’arbre en plan rapproché du Victoria & Albert Museum (1821), j’ai trouvé que l’idée était excellente. Quel sujet ! L’étonnant art de la découpe de feuilles d'arbres d'un artiste japonais. Si le kirigami est l’art de couper le papier alors comment nommer le travail de ce mystérieux artiste japonais qui se fait appeler « Lito Leaf ».
D’ailleurs avant de commencer à se faire une petite place sur les réseaux sociaux avec son minutieux exercice entrepris sur les feuilles d’arbres, il faisait lui-même dans la découpe de papier. Les compositions, détaillées, soignées, sont souvent de belles références à certains pans de la culture populaire japonaise ou américaine. D’autres révèlent de merveilleux petits mondes à part entière peuplés de petits animaux vacants à leurs occupations. Inutile de vous dire que ces modestes œuvres nécessitent non seulement une maîtrise rigoureuse d’une pointe affûtée mais aussi une importante application et une patience a toute épreuve.