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En France, la mort ne fait pas encore recette sur internet. Que reste-t-il de vous après votre mort ? Depuis quelques années, des sites internet commerciaux ont parié que les Français aimeraient préparer leur mort sur internet en y laissant souvenirs et dernières volontés, mais le succès n'est pas encore au rendez-vous.

A Tourcoing (Nord), Fanny Noyelle, 28 ans, a lancé e-mylife.fr depuis le 1er mars 2011. Le principe : "Je mets à disposition des gens un espace de stockage sur lequel ils peuvent déposer messages, photos, vidéos, pour 28 euros par an ou 229 euros à vie", explique-t-elle. La personne inscrite doit nommer un "ange-gardien" qui devra apporter l'acte de décès pour que les souvenirs puissent être redistribués aux proches que la personne a désignés de son vivant. Lancé en janvier 2010, edeneo.fr est de son côté davantage orienté sur l'aspect administratif.

"J'ai eu l'idée de ce site suite à un problème personnel", explique Gaël Perdriau, cofondateur du site. Ce résultat paraissait honorable, mais le salon a été annulé en 2012. Notre page Facebook meurt-elle avec nous? Repose en paix... sur Facebook. Si cette épitaphe apparait sur votre page, c'est que vous êtes mort. Mais votre profil, lui, vous survivra. Depuis octobre 2009, Facebook a mis au point un système qui permet aux familles apportant la preuve du décès, de convertir le "mur" d'un utilisateur en mémorial virtuel.

Les proches peuvent alors se recueillir sur la page d'un être cher, transformée en livre de condoléances. "Facebook permet ainsi de conserver intact le souvenir de quelqu'un. Des personnes y trouvent certainement du réconfort", estime Thomas Jamet, sociologue et publicitaire expert du digital. Ainsi, en tapant "R.I.P" ou "défunt" dans le moteur de recherche du réseau social, on peut trouver plusieurs pages de recueil de ce type. En revanche, les messages, les photos et les statuts publiés de son vivant par le défunt sont effacés. Vers une nouvelle forme de rituel funèbre? Pourquoi rendre hommage aux défunts sur le réseau social? Geek jusqu'à la mort. La mort, scellement de la vie. La vie n’a pas de sens il faut lui en donner un. La mort a-t-elle un sens ? Quelle place aujourd’hui la société lui offre -t- elle ? Sa visibilité permanente au cinéma par exemple et son absence dans les discussions quotidiennes et personnelles fait- il de ce passage le point final et vide d’une vie fragmentée dans laquelle le progrès, la technologie donnent l’illusion de toute puissance ?

La visibilité de la mort, au cinéma, dans les jeux vidéo, à la télévision, les réseaux sociaux ou les médias se développe au détriment d’une familiarité avec une mort personnelle, intime, singulière, individuelle. La place accordée à la mort “sociale”, à cette inscription de la mort dans la société, disparaît de plus en plus. Rares sont les mots cependant pour les millions de morts en Afrique, difficile de trouver l’image choc, le flash de douleur, la vision de soi dans l’existence de l’autre. Nous avons perdu la mort, l’attention aux mourants, les cérémonies, les rituels, les paroles du deuil.

Comment gérer la mort d'un proche sur Internet. C'est une question que l'on ne pose jamais, parce que l'on n'imagine rarement que ce jour pourrait être le dernier. Et pourtant. En créant ici un compte Facebook, là un compte Twitter, en publiant un blog ou simplement en ouvrant une boîte mail, chaque internaute se crée une identité numérique qui survit à la mort. Les profils restent consultables par le public, voire continuent à être alimentés par des commentaires, ce qui n'aide pas au deuil des proches. Se pose aussi la question de la possibilité pour les descendants ou des amis de gérer les comptes des personnes disparues, soit pour consulter les courriels qui pourraient avoir été reçus ou envoyés (comme l'on consultait autrefois la correspondance privée des ancêtres), soit pour prévenir que la personne est décédée et recueillir les témoignages de sympathie.

Par exemple : Facebook propose un formulaire pour signaler le profil d'une personne décédée. Comment internet s'intègre dans les rituels funéraires. Wednesday, 02 November 2011 12:32 Patrick Baudry, sociologue, décrypte les nouvelles pratiques funéraires sur internet et les réseaux sociaux, comment elles s'inscrivent dans la tradition et les nouveaux besoins de socialisation. Interview. Mémoriaux en ligne, cimetières virtuels, oraison de "RIP" sur les réseaux sociaux à chaque décès d'une personnalité... Patrick Baudry est professeur de sociologie à l'université Bordeaux 3, et auteur de La Place des Morts, aux éditions l'Harmattan.

Il décrypte le sens de ces nouvelles pratiques numériques. Vous travaillez notamment sur les attitudes devant la mort, les jeunes générations et les cultures urbaines. Je me suis intéressé aux cimetières virtuels: certains cimetières donnent la possibilité d'accéder virtuellement à la tombe - réelle - du défunt, de la visualiser, d'y déposer un mot ou des fleurs. C'est aussi un changement dans les temporalités. Les rites ont toujours évolué. En quoi internet répond-il aux besoins de nouveaux rituels? Que se passe-t-il sur les Réseaux Sociaux quand on… meurt ? guide-illustre-preparation-mort – Sanctius.net.

« If I Die » vous fait revenir d’entre les morts… Posted by Kokiri on Mercredi, janvier 25, 2012 · 2 Comments Vous êtes vous déjà demandé ce qu’il arriverait à votre « vie sociale » si vous mourriez? Je sais, la question est un peu radicale et glauque, mais nous sommes scientifiques, la mort ne nous fait pas peur ! Oui donc, que se passera-t-il le jour où vous ne pourrez malencontreusement plus assurer la permanence de votre présence sur les réseaux sociaux ? Moi je risque rien, la Mort sera en vacances... La startup Willook – spécialisée dans les time capsules, ces boites où l’on enferme pendant plusieurs années des objets typiques du moment où l’on vit, pour ensuite les ouvrir plusieurs années plus tard et montrer aux générations futures comme était la vie à cette époque – est là pour apporter une solution partielle à cette éventualité (ou plutôt fatalité?)

En vous permettant d’envoyer un dernier message à vos proches une fois que vous aurez passé l’arme à gauche. Comment ? Shinigami sama !! Source: DailyMail. Tête de mort - crâne - skulls - morbide - gothique - mode - salon de la mort. Depuis quelques mois, difficile pour le promeneur lambda de se rendre dans un quartier commerçant sans tomber nez à nez avec des vêtements ou accessoires de mode estampillés d'un crâne et bien souvent des ossements qui vont avec. Il y en a pour tous les goûts et les couleurs, sacs, foulards, chaussures, trousses à maquillage, étiquettes de bagagerie, bijoux fantaisie ou même bijoux précieux, mais aussi décoration, design, mobilier, papeterie, tatouages, la tête de mort est partout et elle remporte un franc succès intergénérationnel.

Chacun veut porter sa tête de mort, qu'on soit ado, jeune femme branchée, ménagère de moins de cinquante ans ou encore retraitée. Cette mode peut, au premier abord, paraître dérangeante. Considérée comme mystique et morbide, certains prétendront qu'il faut forcément avoir un esprit noir et dérangé pour porter la représentation de la mort en bijou autour du cou. Quelle utilité là -dedans ? Pourtant, cette mode et son utilisation ne datent pas d'hier. Droit, Mort, Profils, Traces - «Pour se protéger sur le web, mieux vaut prêcher le faux» La question de la protection de l'identité des internautes est plus que jamais au cSur de l'actualité depuis que Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État à l'économie numérique, propose d'instaurer un droit à l'oubli numérique afin de limiter les traces sur Internet. [...]

Mais pour Fox-219, Internet c'est le passage obligé dans sa recherche d'emploi, ce qui ne l'empêche pas d'essayer de maîtriser [son] image en étant présent sur les communautés les plus fréquentées, avec une identité cohérente à chaque fois. [...] Le terrorisme. les mafias, le banditisme avec leurs réseaux internationaux de crime organisé espionnent aussi les lignes telephoniques, les fixes et les portables, et les liaisons internet, récoltent des informations pour faire pression sur les personnes, chantage et extorsions. [...]

Facebook: il apprend la mort de son fils. Le père d'un étudiant indien tué dans le nord-ouest de l'Angleterre a appris la mort de son fils sur le réseau social Facebook, a reconnula police britannique, qui a présenté ses excuses pour ne pas avoir informé plus tôt la famille du jeune homme. Anuj Bidve, un étudient en électronique à l'université britannique de Lancaster (nord-ouest), a été tué par balle lundi dans la rue à Salford, près de Manchester. Un responsable de la police, Dawn Copley, a reconnu vendredi que le père de la victime avait appris la nouvelle sur Facebook. "Ce n'est pas la façon dont une personne devrait apprendre une nouvelle aussi terrible, et nous comprenons que la famille soit en colère", a-t-elle déclaré.

"Les réseaux sociaux sont instantanés et nous n'avons pas de contrôle sur le moment où les gens publient des informations sur ces sites, ni sur ce qu'ils publient, mais personne ne devrait apprendre une nouvelle aussi tragique de cette manière", a-t-elle ajouté. Réseaux sociaux. Les ados inventent de nouveaux rites face à la mort - France. > Meurtre d'Agnès. Un nouvel arsenal contre la récidive "Agnès, tu pouvais être ma soeur, ma nièce ou ma fille ! Tout mon soutien du fond de mon coeur à toute la famille !

Repose en paix ! Des photos, des centaines de messages, des liens sur des reportages relatant le drame, et plus de 24.000 personnes qui "aiment ça", selon la déroutante terminologie du réseau social : en quelques jours, en marge des déclarations des politiques et experts dans les médias traditionnels, des adultes, mais surtout énormément d'adolescents, se sont retrouvés spontanément sur le web pour partager leur inquiétude quand Agnès a disparu, puis la douleur quand son corps a été retrouvé, et aujourd'hui, la colère. Twitter, autre réseau social, a aussi vu transiter des hommages à Agnès. Dès les jours qui ont suivi la découverte tragique du corps de la collégienne, d'autres émouvants témoignages sont apparus sur la toile. Facebook : la mémoire cachée. L'appétit vorace de Facebook pour les données personnelles n'est un secret pour personne.

Régulièrement, son estomac numérique gargouille auprès de ses membres pour réclamer son dû. «Donnez-moi votre numéro de mobile, que je puisse renvoyer votre mot de passe en cas d'oubli !» «Expliquez-moi vos opinions politiques, que je puisse mieux cibler mes publicités !» «Dites-moi ce que vous lisez, ce que vous écoutez, ce que vous regardez, ce que vous cuisinez, que vos amis puissent en profiter !» Et la plupart des 800 millions d'inscrits, dociles, jettent leurs gros steaks de vie privée dans la gueule béante du réseau social.

Ce que personne ne semble savoir, en revanche, c'est que le monstre est dépourvu de système digestif. Les découvertes du jeune Max Schrems sont effarantes. «Statut : effacé» «Je ne cherche aucun gain financier ou personnel. . - Facebook connaît bien sûr la liste d'amis liée à un profil, mais conserve également le nom de tous les prétendants refusés. «Shadow profiles»

ARTICLES PRESSE MORT ET INTERNET

Les cadavres syriens attaquent. Deux collectifs de hackers ont lancé une nouvelle opération contre les sites gouvernementaux syriens. Ils ont remplacé le contenu des sites officiels par une carte des opposants tués depuis le début de la révolte contre la dictature de Bacher el-Assad. Les silhouettes des martyrs sont revenues hanter les grandes villes syriennes. Sur le site Internet de Damas, Homs, Alep ou encore Lattaquié, elles ont surgi dans la nuit, rouges sur un fond blanc.

Des milliers de corps rouges épousent la forme géographique de la Syrie, en proie à une violente répression depuis mars dernier. Dans la nuit du 24 au 25 septembre, les collectifs de hackers Anonymous et RevoluSec sont ainsi passés à l’action. Les sites de sept grandes villes ont été piratés et leur contenu modifié.. A 9h26 le 25 septembre, le compte Twitter de RevoluSec demande, provoquant, si les administrateurs systèmes syriens sont là et annonce le début de l’opération.

Les sites sont restés “défigurés” plus de dix d’heures. Des cérémonies funéraires retransmises en direct sur Facebook - Insolite. Le site Mémoiredesvies.com propose à tous ceux qui souhaitent assister à une cérémonie funéraire mais qui ne peuvent se rendre sur le lieu des obsèques un service de retransmission vidéo. En direct, ou en vidéo à la demande (VOD), vous pouvez suivre la cérémonie devant votre écran d'ordinateur ou de smartphone. Les cimetières virtuels rencontrent un large succès. Une semaine après son lancement dans le cadre de DEMO, le salon des technologies émergentes de la Silicon Valley, I-tomb.net, le « Cimetière Virtuel Mondial », et.I-memorial.com , « Bâtir son Immortalité », semblent rencontrer un écho favorable dans les médias et auprès du public. Créer la Tombe Virtuelle, l ’I-Tomb d’un proche disparu au sein du Cimetière Virtuel Mondial, c’est permettre à sa mémoire de perdurer au-delà des générations et au plus grand nombre de la perpétuer. i-tomb.net est conçu pour pouvoir bâtir le mémorial du défunt en publiant textes, photos et vidéos.

Il permet aussi à chacun de témoigner de ses pensées en illuminant l’I-Tomb d’une bougie, de fleurs ou d’encens. De plus, chaque visiteur du Cimetière Virtuel Mondial a la possibilité de vérifier si la personne décédée lui a laissé un message posthume. Quant au site I-memorial.com il a pour vocation la conservation et la préservation de la Mémoire digitale des personnes décédées. L’intelligence artificielles et la mort des médias sociaux | Prédiffusion | Réseaux sociaux - Communautés. Interview Twitter : Fadhila Brahimi de blogpersonalbranding.com. Cette semaine, nous accueillons une autre blogueuse aux jeudis Twitter et pas n’importe laquelle. Fadhila Brahimi, la spécialiste du Personal Branding nous fait l’honneur de répondre à nos questions sur son utilisation de Twitter. Et comme d’habitude, c’est un vrai plaisir de discuter avec elle… Pour tout connaître du personal branding et des stratégies de présence sur le web, vous pouvez consulter son blog, et la suivre sur Twitter. 1.

Depuis combien de temps utilises-tu Twitter ? Bientôt 4 ans; 7 Mai 2007:-) Au 30 mars 2011, j’ai, 3 ans, 10 mois et 23 jours de vie sur Twitter ! 2. Au 30 mars 2011 : 8 572 3. Veille (partage et écoute)Conversation (échange sur une thématique ou discussion amicale spontanée)Live Tweet d’événementsCoup de coeur, coup de pouce, coup de pubMise en relation (networking, co-working) 4. Twitter est un baromètre qui me permet de recenser des avis différents, des argumentaires spontanés sur une actualité, de l’information brute. 5. 6. 7. Oulala c’est difficile. 8. Microsoft Apologizes for Amy Winehouse Tweet. Thanatopraxie urbaine : y a-t-il une ville après la mort ?