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Phase 2- projet à visée artistique

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Travaux des élèves

Références des élèves. Work. Maria Helena Vieira da Silva - Archives of Women Artists, Research and Exhibitions. Peintre française. La ville règne sans partage sur la vie et l’œuvre de Maria Helena Vieira da Silva : Lisbonne, le berceau des origines, où, enfant, elle apprend la solitude, l’observation, la contemplation ; Paris, la capitale d’élection, où elle s’établit en 1928 et rencontre la galeriste Jeanne Bucher qui fait connaître son œuvre, et le peintre hongrois Árpád Szenes, compagnon d’une vie ; Rio de Janeiro enfin, la ville de l’exil, que tous deux rejoignent en 1940 – pour retrouver Paris sept ans plus tard.

À cette topographie se joignent, dans sa peinture, les villes de passage et les cités imaginaires. Lieux et objets de son enfance influencent un monde intérieur dont sa création picturale rendra témoignage : des bibliothèques et des théâtres, des partitions de musique et des jeux d’échecs, des passages pavés d’azulejos et les dentelles de fer de quelque architecture parisienne. ARMAN (Armand FERNANDEZ, dit) - Poubelle organique | [mac] musée d'art contemporain, Marseille. Bernard Moninot - Tables et Instruments - Bernard Moninot - Tables et Instruments - ARMAN (Armand FERNANDEZ, dit) - Poubelle organique | [mac] musée d'art contemporain, Marseille. 172-LA NOURRITURE DANS L'ART CONTEMPORAIN-1. MAGRITTE René (1898-1967), Ceci est un morceau de fromage, 1936-37, huile sur toile, 10,3x16,2 cm, marouflée sur carton, cadre de bois doré, cloche et plateau à fromage en verre, 31 x 25,20 cm, The Menil Collection, Houston.

Dans la première moitié du XX° siècle, le thème de la nature morte et de la Vanité ont perduré dans l'art, la nourriture étant souvent prise pour modèle. Cependant, chez les artistes du Futurisme (relation art et cuisine, banquets expérimentaux, plats sculptés et parfumés, Manifeste de Marinetti en 1930), du Dadaïsme et du Surréalisme (intégration de matières organiques dans des sculptures liées au désir, au rêve, à l'inconscient, à l'humour et à l'insolite), la nourriture réelle a parfois elle-même été intégrée dans les œuvres d'art.

DALI Salvador (1904-1989), Taxi pluvieux, 1938, mannequins, endives, laitues, escargots, arrosage, Exposition Internationale du Surréalisme, Parie, Galerie des Beaux-Arts. OLDENBURG Claes (né en 1929), Pastry Case I, 1961-62, Gymnastique - L'esprit Bauhaus en une photographie. Bauhaus - Un temps nouveau - Série TV 2019. Les cookies qui nous permettent d’assurer le bon fonctionnement du site et d'analyser son audience seront déposés et lus. Pour en savoir plus, accédez à la liste complète des finalités. Vous pouvez retirer votre consentement au dépôt de cookies publicitaires à tout moment, en cliquant sur le lien « Préférences cookies » présent en bas de toutes les pages de : vous pourrez alors avoir accès à notre contenu sans cookie publicitaire en souscrivant à l’offre payante.

Sophie Taeuber-Arp - Archives of Women Artists, Research and Exhibitions. Peintre, sculptrice, danseuse et artiste textile suisse naturalisée française. De père allemand et de mère suisse allemande, Sophie Taeuber grandit dans un milieu où la culture et l’art imprègnent la vie quotidienne. À Saint-Gall, elle apprend le dessin décoratif et les techniques de la broderie et de la dentelle, puis étudie dans les « ateliers expérimentaux » de Hermann Obrist et de Wilhem von Debschitz, à Munich, où elle se forme à toutes les disciplines artistiques, y compris au travail sur bois et à l’architecture. En 1912-1913, elle apprend également le tissage à l’École des arts décoratifs de Hambourg.

À Zurich, en novembre 1915, elle rencontre le peintre et poète Hans (ou Jean) Arp, et s’engage avec lui dans le mouvement dada. Ils se marient en 1922. Sa participation à l’Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes (1925) la conduit à Paris, où le couple, qui obtiendra la nationalité française l’année suivante, côtoie les surréalistes. « La Colonne brisée » de Frida Kahlo, manifeste de résilience. Debout dans un paysage aride, l’artiste nous toise, seins nus, stoïque dans son corset de fer. Fissuré en deux, son buste est criblé de clous. Des larmes roulent sur ses joues impassibles. Parmi les 55 autoportraits sans complaisance que Frida Kahlo (1907–1954) a laissés derrière elle, celui-ci incarne plus que jamais la puissance de son œuvre où la souffrance, déchirante, cohabite avec une force tranquille, fière et grave.

Expression impitoyable de la douleur que la peintre mexicaine a endurée toute sa vie suite à un terrible accident de bus survenu à l’aube de ses 18 ans, ce cri intérieur s’avère si poignant que certains médecins le considèrent comme un précieux outil de compréhension des plus lourdes peines du corps et de l’âme… Ce qu’il faut savoir Frida Kahlo se défend d’être surréaliste : même si elle use de symboles, ce qu’elle représente est sa réalité. Où la voir ? Au musée Dolores Olmedo à Mexico, qui abrite 25 tableaux d’elle et 145 de son mari muraliste Diego Rivera. Les subversifs corsets de la créatrice britannique Vivienne Westwood, objets d'une rétrospective à Paris. Mère du punk et de l'irrévérence, la créatrice - morte fin 2022 - a bousculé l’univers de la mode avec ses créations décalées s’inspirant du classique. L'exposition "Vivienne Westwood Corsets", mini rétrospective de 1987 à aujourd'hui, s'intéresse au corset, l'une de ses pièces iconiques.

France Télévisions - Rédaction Culture Publié le 20/04/2023 10:30 Temps de lecture : 3 min Le corset est probablement le vêtement le plus iconique et reconnaissable de la marque. Envisagé davantage comme un bustier, il est une pièce à part entière, porté seul ou avec une chemise. L'exposition Vivienne Westwood Corsets explore la subversion de la corsetterie par la maison de 1987 à nos jours. Une collection de bijoux en édition limitée a été créée pour cette exposition. La collection se compose d'un charm plaqué or sur un collier et un bracelet, sur une chaîne en perle ou plaquée or ainsi que sur des boucles d'oreilles à clip assorties. « Corsets, crinolines dans la mode contemporaine. L'histoire des dessous au service de la création » par Sophie Lemahieu. HistoricismeLa véritable renaissance du corset que nous connaissons aujourd’hui n’est pas arrivée subitement.

Les créateurs l’ont lentement adopté puis consacré au cours des dernières décennies. (...) Christian Lacroix a fait monter le corset sur les podiums dès son arrivée dans la haute couture en 1981. (...) Le couturier avoue lui-même une certaine nostalgie du XIXe siècle. (…) L’historicisme qui se dégage de ses robes et ses corsets en est l’expression créatrice. Bien que les fanons de baleine aient été remplacés par des tiges de métal et de plastique, les corsets de Christian Lacroix restent formellement fidèles à leurs modèles du XIXe siècle. (…) Bien loin des créations de Lacroix prônant la « joie de vivre1 » avec ses poufs épanouis, Vivienne Westwood s’inscrit volontairement, par l’emploi de structures vestimentaires du passé, dans une dimension provocatrice. FuturismeLa fin du XXe siècle est une époque de bilan pour les créateurs comme pour le reste de la société.

La folie Schiaparelli au Musée des Arts décoratifs de Paris. Depuis le 6 juillet dernier, le Musée des Arts décoratifs de Paris rend un hommage spectaculaire à l'une des plus grandes couturières dans sa nouvelle exposition « Shocking ! Les mondes surréalistes d’Elsa Schiaparelli ». Jusqu’au 22 janvier 2023, le Musée des Arts décoratifs de Paris (Ier arrondissement) consacre une spectaculaire exposition aux créations fantasques d’Elsa Schiaparelli (1890-1973), la couturière italienne qui lui avait offert plus de six mille dessins de collection en 1973. Robes, chapeaux et bijoux d’esprit surréaliste ou inspirés par les artistes contemporains de l’époque dialoguent avec des productions récentes de la maison Schiaparelli, le tout dans une scénographie éblouissante de Nathalie Crinière. Une introduction théâtrale Dans une scénographie inventive et théâtrale signée Nathalie Crinière, la rétrospective Schiaparelli met en dialogue les créations de la maison de mode et leurs croquis préparatoires.

Une Romaine à Paris Contrepoints contemporains « Shocking ! Annegret Soltau. Breaching - Sarah Garzoni. Breaching /Corset du 19°s, plâtre, cire, dents de requin Collection privée Les tiges, et la fine plaque (busc) taillées dans les fanons de baleines et glissées jadis dans les corsets féminins, venaient «sculpter» littéralement le corps humain, et ce par compression, tension, confrontation. Mais si le corset était une enveloppe défensive, objet forteresse, carapace, le busc pouvait lui devenir offensif, car amovible: il a pu ainsi faire office de dague. La membrane est alors bien fine entre l’univers de la séduction, de l’esthétisme, à celui de la chasse de la prédation, entre sensualité et menace d’un danger imminent, entre le fantastique des mystérieux animaux marins et la tragédie des animaux «monstrueux».

Le corset («corps») est, ici, plus que l’empreinte, le moulage du corps, il est sa métonymie qui, ici, s’incarne, s’anime, s’«organise» en une puissante mâchoire d’acier révélant des rangers de dents nacrées, mystérieuses, profondément enracinées dans l’invisible. Analyse de "Persepolis" de Marjane Satrapi. Cette œuvre est riche et peut être abordée en histoire des arts pour des questions autour de l’autobiographie, l’autoportrait, la mémoire, l’histoire.

Par exemple : comment l’art permet-il de se raconter ? Comment se met-il au service de la mémoire ? De l’histoire ? Comment une oeuvre peut-elle faire preuve d’engagement ? Présentation de l’oeuvre : Persépolis est une œuvre autobiographique, de Marjane Satrapi au style graphique et narratif très personnel. Titre de l’œuvre : PersépolisNature/genre de L’œuvre : Bande-dessinéeArtiste : Marjane Satrapi (1968- )Date de création : 2000 Catégorie Domaine : Arts du visuel Thématiques possibles : • Arts, créations, cultures • Arts, Etats et pouvoir • Arts, rupture et continuité Repérage chronologique Vie de l’artiste Marjane Satrapi est née en 1969 à Téhéran dans une famille aisée, cultivée et libérale.

Contexte historique de création cadre géographique ? Description de l’œuvre Vignette 18 (illustration ci-dessus) : L’image est ici saturée. Conclusion. La nourriture, cet art total qui nous obsède. « Il est surprenant de voir ces alyssons, ces sureaux et ces clématites pousser spontanément au cœur même des villes, sur des terres bétonnées, jonchées de plastiques, de mégots, et de ferrailles rouillées. » Ces mots poétiques, qui relèvent la présence de plantes sauvages dans un environnement urbain, sont de Thomas Ferrand, un artiste obnubilé par les plantes sauvages.

Récemment, il a multiplié, à l’occasion du festival Traversées à Poitiers, les balades-performances durant lesquelles il cueille puis cuisine et fait déguster à un petit groupe de participants des recettes à base de cynorhodon, de berce ou de calendula. Au cœur du tumulte parisien où nous le rencontrons, il nous explique que le sauvage apparaît aussi bien en ville qu’à la campagne, celle-ci étant devenue tout aussi sophistiquée et construite qu’un environnement urbain. Il suffit donc d’être attentif, car c’est tout un garde-manger qui pousse au pied des trottoirs ! Le goût, sismographe de l’environnement. Le Repas hongrois. La Collection du Musée national d''art moderne : acquisitions 1986-1996. - Paris : éd. du Centre Pompidou, 1996 (sous la dir. d''Agnès de la Beaumelle et Nadine Pouillon) (cit. et reprod. coul. p. 334) .

N° isbn 2-85850-908-5 Voir la notice sur le portail de la Bibliothèque Kandinsky De Klein à Warhol : face-à-face France-Etats-unis, collections du Musée national d''art moderne et du Musée d''art moderne et d''art contemporain de Nice : Nice, Musée d''art moderne et d''art contemporain de Nice, 14 novembre 1997-16 mars 1998 (repr. coul. p. 159) . N° isbn 2-7118-3626-6 Voir la notice sur le portail de la Bibliothèque Kandinsky Collection art contemporain : Paris, Musée national d''art moderne, sous la dir. de Sophie Duplaix. - Paris : Centre Pompidou, 2007 (cit. et repr. coul. p. 439) . N° isbn 978-2-84426-324-7 Voir la notice sur le portail de la Bibliothèque Kandinsky Les Choses. Serie - Le Saut dans le vide - Yves Klein. Le titre de cette œuvre photographique d'Yves Klein parue dans son journal Dimanche 27 novembre 1960 Le journal d'un seul jour, est : « Un homme dans l'espace !

Le peintre de l'espace se jette dans le vide ! ». La photographie est accompagnée du texte suivant : "Le monochrome qui est aussi champion de judo, ceinture noire 4e dan, s’entraîne régulièrement à la lévitation dynamique ! Yves Klein considère que l'espace est son domaine et qu'il peut s'y rendre par la seule force de l'esprit. Le saut a lieu le 19 octobre 1960 à Fontenay-aux-Roses, dans une rue où un club de judo l'avait souvent accueilli. Yves Klein s'élance d'un pilier situé à l'entrée d'un pavillon, le visage tourné vers le ciel, les bras en croix.

Soucieux, comme d’habitude, de garder trace de ses actes, il a convié, pour immortaliser le geste, ses deux photographes favoris : John Kender et Harry Shunk. La rue est déserte, à part, au fond, à droite de la photo, un cycliste de dos qui vient de passer. La photographie, une histoire de femmes ? At the time of its invention, in 1839, photography was seen as a young medium with democratic goals, far from the gender discrimination that burdened the academic training of artists.

From the outset women took up photography and made major contributions to its history, as well as its technical and aesthetic innovations. This is abundantly illustrated in the exhibition Who’s Afraid of Women Photographers? 1839-1945, which was held at the Musée d’Orsay and the Musée de l’Orangerie in 2015-2016. Amongst the female pioneers of photography, Anna Atkins (1799-1871) is recognized for her mastery of the cyanotype – a photographic process characterised by blue tints developed by John Herschel (1792-1871) in 1842 – that she used in a botanical publication as early as 1843, inaugurating the use of photography in book illustration.

Long Live The Dead Queen Works - Mary Sibande. Composition en Rouge, Jaune, Bleu et Noir de Mondrian : focus sur un chef-d'oeuvre. Chaque jour, découvrez une œuvre d'art ! Aujourd'hui, retour sur une figure fondamentale de l'histoire de l'art du XXe siècle, Piet Mondrian, dont les compositions géométriques aux couleurs primaires déroutent autant qu'elles fascinent. En Mai 1911, Mondrian se rend pour la première fois à Paris en vue de préparer la première exposition du Cercle de l’art moderne, fondé six mois auparavant. Se tient alors le Salon des indépendants, où les cubistes exposent dans une salle dédiée. La découverte du cubisme bouleverse ses certitudes et mène son art dans de nouvelles directions. L’effusion colorée laisse place à une peinture plus austère où prime le souci de la construction.

Sa peinture évolue inexorablement vers l’abstraction, conçue par l’artiste non comme une rupture avec le réalisme mais comme sa continuation par d’autres moyens. Piet Mondiran, Autoportrait, Huile sur toile, 88 x 71 cm, Kunstmuseum, La Haye Composer formes et couleurs La quête de l’équilibre De Stijl et le néoplasticisme. Camille Henrot "Grosse Fatigue" Edward Hopper en 5 chefs-d'œuvre. Barbara Kruger - Archives of Women Artists, Research and Exhibitions.

Madame Moitessier. Ingres.