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GenèveActive - Démocratisation: payer pour un produit culturel est aujourd’hui dépassé. La gratuit? A produit un effet acc? L? Rateur manifeste sur la d? Mocratisation de la fr? Quentation des mus? : Jacqueline Eidelman et Beno? Les recherches ont permis de prendre conscience de changements de mentalit? Alain Quemin remarque que payer pour un produit culturel est aujourd? Le public se r? Avec Jacqueline Eidelman et Alain Quemin: Comment mettre ? Jacques Magnol Lire ? - Le th?? - Relier les hommes: t? - Des th?? - A la recherche du public du Th??

- Les statistiques montrent que les Genevois aiment le th?? - Tous cin? - Le public suisse voudrait pratiquer davantage d? - Comment envisager l? Numéro 3. Numéro 25. Numéro 38. Dominique Wolton CNRS Editions Yves Jeanneret et Bruno Ollivier Il y a trente ans, en 1974, l'université française créait une discipline : les « Sciences de l'information et de la communication ». Elle fera vivre sous le même toit les formations au journalisme et à la communication, les spécialistes des bibliothèques et de la documentation. Il s'agissait, alors, de répondre à des demandes de formation professionnelle. Cette discipline a dû répondre à des défis variés. D'abord, eile n'est ni la seule, ni la première à traiter de l'infor- mation et de la communication. Ensuite, il lui faut nouer des relations avec les milieux profes- sionnels dans lesquels ses étudiants vont s'insérer: publicité, journa- lisme, relations publiques, documentation, politique, systèmes d'information, communication publique...

Hermès explique, dans ce numéro, en restant ouvert sur l'inter- national, comment se construit l'invention française des « Sciences de l'information et de la communication ». Discover Author. Numéro 41. Le carnet réflexif (IV). Penser en réseau, écrire en réseau. « (…) le blog n’est pas un carnet : c’est une base de données puissante qui organise son contenu dans le temps et dans l’espace avec une efficacité très supérieure à un traitement de texte. Les possibilités d’archiver, de retrouver ou de reclasser une information sont sans commune mesure avec les pauvres moyens des instruments bureautiques, tout en étant d’un usage infiniment simple, puisque structuré une fois pour toutes sous la forme de la pile rétro-chronologique (…). » — André Gunthert « synapse » Parcourir son propre carnet en ligne donne en effet mieux le sentiment de naviguer dans sa pensée, plus en tout cas que de naviguer dans une arborescence de fichiers.

Si le développement de la pensée scientifique semble autant en adéquation avec l’écriture numérique publique, c’est – suggère Jean Clément (2007) dans un article remarquable – que ce support, en tant que dispositif hypertextuel de lecture et d’écriture, s’inscrit dans la lignée des textes fragmentaires. Imprimer ce billet. Sujets de validation des séminaires 2012.

Réflexivité

Ethno-méthodologie. Identité. Qu'est-ce qu'une image ? • Les images mentales• Les images perceptives• Caractéristiques des différents types d'images• L'activité imageante• Image et langage• La question de l'analogie• Analogons (diaporama)• Représenté et représentation• Machines à représenter• Retouche de l'image • L'image entre art, langage et communication- partager Qu'est ce qu'une image ? Voilà une interrogation qui peut sembler saugrenue, tant elle semble évidente, mais qui en fait recouvre des domaines différents, dont il nous semble utile de comprendre ce qu'ils ont en commun et ce qui les différencie. On distinguera pour cela deux grandes familles d'images : La première concerne les images mentales (ou images psychiques), la seconde se rapporte aux images perceptives, qui contrairement aux premières sont produites par une vision "réelle".

Chacune de ces familles pouvant être à son tour décomposée en deux parties. Les images mentales Les images perceptives • La vision naturelle C’est la source première de toute notre activité imageante.

Passion

Engagement. Âge. Cartes culture. Sic_00000135.pdf (Objet application/pdf) Le dispositif à l’œuvre. 1Après La Littérature à l’ère de la reproductibilité technique1, ce second tome des colloques jumelés des universités de Toulouse-Le-Mirail et de Louvain-la-Neuve interroge la notion de dispositif et teste l’efficacité méthodologique de son application à la littérature, au livre illustré, au théâtre et à la photographie — avec un excursus rapide du côté du cinéma. Il ne s’agit donc pas de proposer une synthèse sur le dispositif, mais de faire un point sur des travaux en cours en accueillant en même temps leur contestation, puisque le volume s’ouvre, après l’avant-propos de Philippe Ortel, sur un article de Bernard Vouilloux critiquant le sens pris par la notion dans le cadre du centre de recherche « La scène » de Toulouse-Le-Mirail où est née une part importante des réflexions et des travaux repris ici, comme en témoignent les références nombreuses aux publications antérieures du centre et à la notion de « scène ».