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Avenir de l'alimentation urbaine. / Europe Duncan Graham-Rowe, collaborateur à The Economist et The Guardian en Grande-Bretagne, se demande si les immeubles de grande hauteur ne seraient pas la solution pour l’alimentation de demain. Illustration conceptuelle d'une ferme verticale. © Oliver Foster Légende ou réalité, les jardins suspendus de Babylone sont sur le point de revoir le jour dans nos villes. C’est en tout cas de cette manière que Dan Caiger-Smith décrit l’agriculture dite ‘verticale’. L’idée est simple : utiliser au maximum les petits espaces en remplissant des serres de parterres de plantes empilés les uns sur les autres.

On se tourne donc aujourd’hui vers un système qui pourrait multiplier par 20 la productivité des espaces agricoles actuels, mais également gaspiller moins d’eau, limiter les kilométrages et les coûts énergétiques et respecter les normes alimentaires. Le système de Valcent nécessite à peu près la même quantité d’énergie qu’un ordinateur allumé pendant dix heures par jour.

Urbanag.org.uk. Etude canada PDF. Solution pour la sécurité alimentaire. Des potagers suspendus qui viennent verdir les terrasses d’immeubles de Tokyo, aux vastes projets pilotes à Casablanca (Urban Agricultural Casablanca)…l’Agriculture urbaine, loin d’être un simple effet de mode, touche au questionnement essentiel de la pérennisation de la sécurité alimentaire des 9,8 milliards d’individus qui peupleront demain notre planète : comment intégrer le développement agricole au sein des mégapoles du futur ? Les colloques et les rencontres autour de ce thème sont nombreux depuis plusieurs années. Dernièrement, du 27 février au 2 mars, la contribution de l’agriculture urbaine aux mégapoles de demain a fait l’objet d’un colloque international à Casablanca, au Maroc. La FAO a quant à elle lancé en 2001, l’initiative « Des aliments pour les villes », qui vise notamment à assurer aux populations urbaines l’accès à une nourriture saine et la promotion d’une agriculture urbaine et périurbaine.

Légumes sur les toits. Des légumes aériens Au milieu de la forêt de toits gris et de cheminées couleur brique, en plein Paris, un îlot de verdure offre bien des surprises. Dans le 5ème arrondissement de Paris, sur les toits de l’école des ingénieurs du vivant AgroParisTech, Nicolas Bel s’est lancé un défi : faire pousser des légumes à partir de déchets locaux et créer ainsi un potager durable et respectueux de l’environnement. Ingénieur mécanique de formation, 35 ans, Nicolas Bel s’intéresse depuis quelques années au biomimétisme, une science pluridisciplinaire qui consiste à observer et reproduire les matériaux, les formes, les processus et les propriétés remarquables du vivant. Epaulé par Nicolas Marchal, ingénieur formé comme lui à l’INSA et trois étudiants en agronomie, Nicolas bel plante, replante, et invente une nouvelle façon de faire pousser ses légumes. Tout sauf bobo Galerie photo. Agriculture de demain. Sécurité alimentaire urbaine.