background preloader

L'Universalité du Bonheur

Facebook Twitter

La recherche du bonheur est-elle nécessairement immorale ? Résumé de l'exposé Correction possible de la dissertation philosophique dont le sujet traité est : "La recherche du bonheur est-elle nécessairement immorale ? ". Cette correction s'effectue grâce à différentes rubriques qui permettront une analyse précise du sujet. Cette analyse philosophique permet de facto une rédaction très simple de la dissertation. Sommaire de l'exposé La recherche du bonheur est nécessairement immoraleLa recherche du bonheur est une aspiration essentiellement moraleLa recherche du bonheur peut être immorale mais elle ne l'est pas nécessairement Extraits de l'exposé [ . . . ] [...] À propos de l'auteur Damien T.Responsable AdministratifPhilosophie La recherche du bonheur est-elle nécessairement immorale ?

Niveau Grand public Etude suivie droit... Ecole, université Université... Descriptif de l'exposé Date de publication Date de mise à jour Langue français Format Word Type dissertation Nombre de pages 4 pages grand public Téléchargé 73 fois Validé par le comité de lecture sur 6. Avons-nous le devoir de faire le bonheur des autres? Avons-nous le devoir de faire le bonheur des autres ? Analyse des termes du sujet Problématique Pour bien poser le problème soulevé par ce sujet, il faut revenir sur les deux grandes conceptions de la morale : La morale comme doctrine des fins: que faut-il rechercher, quel est le but de l'existence ? Les morales du premier type posent la question "Pourquoi vivre ? " Les morales du deuxième type posent la question "Comment vivre ? " vouloir agir conformément à cette loi et vouloir que toutes les autres personnes en fassent de même : « Agis toujours d’après la maxime qui fait que tu peux vouloir en même temps qu’elle devienne une loi universelle » (Kant).

La morale: principales problématiques D'où la question : Puis-je faire mon devoir et faire mon bonheur à la fois ? « Relativement au bonheur, aucun principe universellement valable ne peut être donné pour loi. Non seulement "Sois heureux ! " Vouloir le bonheur d’autrui relève de l’amour. Quête du bonheur et moralité. Philia [dossier : le bonheur] Etre heureux... cela dépend donc de nous ? Rappelons l'étymologie : bon + heur, de augurium, "chance" => Cette étymologie suggère que le bonheur nous échoit... ou non, selon des circonstances qui nous échappent tout à fait.

Nous sommes heureux par chance, malheureux par malchance (nous sommes alors, littéralement, 'in-fortuné' ). Nous serions donc heureux 'au petit bonheur la chance', de façon contingente, aléatoire, incertaine, et nous devrions avouer notre impuissance face aux événements ? On n'y pourrait donc rien ? Pourtant, ne pouvons-nous pas employer notre liberté, qui est un pouvoir à nous rendre heureux ? >> Ce qui est questionné ici, c'est donc la condition du bonheur, qui est la liberté humaine : Le bonheur dépend-il de nous, de notre liberté ? Etb.htm. Universalité du droit démocratique et éthique(s) du bonheur Chaque formation sociale définit ses normes régulatrices en fonction de principes axiomatiques qui en tant que tels ne sont ni vrais, ni faux, ni justes, ni injustes; ils ne sont appréciables, validables et donc critiquables que par les effets de cohérence ou d'incohérence qu'ils produisent dans telle ou telle formation sociale et culturelle déterminée.

Ces effets peuvent générer, dans telles ou telles conditions, de la violence ou de la régulation, de l'autonomie ou de la domination, de la solidarité et de la compétition constructive ou destructive et c'est par ces effets réels et les pratiques qu'ils autorisent et non par leurs valeurs intrinsèques qu'ils doivent être jugés.Il est clair que dans ces conditions on ne peut comparer, ni hiérarchiser des principes régulateurs et les valeurs de formations sociales et culturelles différentes, incompatibles entre elles. Série S: Vivons nous pour être heureux? • Bac Philo, Bac, philo, Bac philo, Épreuve, philosophie, Baccalauréat, Sujet, Corrigé, Bonheur, Devoir, Liberté. Introduction / Problematisation. Ce sujet soulève une problématique assez classique sur le bonheur : celle de savoir quelle place nous devons/pouvons lui accorder dans nos existences.

Le bonheur constitue d'une part une fin légitime et même universelle. On ne peut reprocher à personne de vivre pour être heureux, c'est-à-dire de chercher à atteindre le bonheur, et l'on peut même donner à cette affirmation une portée universelle : oui, nous vivons tous, universellement, pour être heureux, tant il est vrai que la définition du bonheur est suffisamment relative à chacun pour que l'on puisse dire que tous les hommes veulent être heureux, quelqu'en soit la manière. Mais dans le même temps, le bonheur est une fin incertaine. Plusieurs plans étaient bien entendu possibles pour traiter ce sujet, voici donc une proposition à partir de quelques pistes.

Première partie. Il est donc légitime de chercher à être heureux et c'est là aussi un des aspects du problème. Deuxième partie. Troisième partie. Le bonheur et le devoir. I. Éléments de définition Le bonheur vient du grec « eudemonia » qui signifie « le bonheur par pure rencontre ». Il semble y avoir une adéquation entre ma volonté et les circonstances. Lorsque le bien et le bonheur sont distingués, les morales du bonheur laissent place aux morales du devoir. L’idée de devoir et d’obligation morale n'apparaît que lorsqu’il faut résister aux inclinations sensibles. II. Calcul des plaisirs en pratiquant : → L’ataraxie (absence de troubles de l’âme). → L’aponie (absence de troubles du corps).

III. Différencier les contenus du bien : le bien du stratège est de tuer alors que celui du médecin est de soigner. Kaïros (ou à propos) : l’occasion favorable qui permet à une action d’atteindre son excellence. Architectonique des biens : Le bonheur est la clé de voûte assurant l’unité des biens particuliers. Le bonheur est la fin des biens et peut donc s’atteindre (car on parle de fin). Le bonheur est l’épanouissement le plus plein de la nature humaine. IV. V. VI. Métaphysique du bonheur réel (pour lecteur curieux) • PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE - PUF • Grand angle, Badiou, Bruckner, Tristan Garcia, Métaphysique, Vérité, Bonheur. Pour. Tristan Garcia : Une exigence de vérité On pourrait définir le volontarisme forcené d’Alain Badiou par opposition avec une sentence paradoxale de Kafka : « Dans ton combat contre le monde, seconde [“soutiens”] le monde. » Badiou, lui, se soutient, et soutient quiconque s’affirme contre le monde.

Il ne voit même de bonheur possible que dans cette prise de parti-là. Notre monde s’oppose fondamentalement au bonheur, affirme-t-il avec verve et clarté en refusant toute figuration du bonheur comme contentement, jouissance ou arrachement fugace à l’inquiétude ; il n’y a de bonheur que systématique et construit avec discipline. C’est un idéalisme aristocratique de soi qu’il invente ou réinvente dans sa Métaphysique du bonheur réel : seule la vie philosophique qui tient à l’adéquation entre le vrai et l’heureux vaut de consacrer son existence à la pensée.

Tout le reste déchoit en satisfaction : être satisfait, c’est se satisfaire de ce qui est. Contre. Il y a une énigme Badiou. Est-ce un devoir d’être heureux ? Se demander si être heureux est un devoir, c’est s’interroger sur la nature de ce qui nous porte à chercher le bonheur, à supposer que nous le cherchions. A priori, on aurait tendance à opposer le devoir, pensé comme contraignant ou, d’autre part, désintéressé, au bonheur, associé à l’idée d’une spontanéité égoïste. Pourtant, il semble bien que le bonheur fasse l’objet, tout au moins, d’un impératif social, et que le malheur fasse l’objet, lui, d’une négation : qu’on le cache, ou qu’on entende nous en soigner. Mais s’il semble absurde de se donner pour règle d’action d’être malheureux, est-ce pour autant un devoir que d’être heureux ? Car le devoir peut d’abord s’entendre dans ses multiples acceptions : quand je « dois » faire une chose, c’est qu’on m’en donne l’ordre (impératif social), que ma nature me le prescrit (nécessité naturelle), ou que ma faculté morale produit en moi un impératif (obligation morale).

Un droit fondamental, universel et solidaire, au bonheur social. La vraie nature du bonheur. Il y a déjà bien longtemps que nous nous étions proposé de parler du livre excellent de M. Paul Janet sur la Philosophie du Bonheur. Le livre a cependant fait son chemin sans bruit, et dans ce tranquille succès notre lenteur trouve une excuse et une consolation. Pourquoi avons-nous tant tardé ? C'est que chaque fois que nous voulions prendre la plume une sorte de terreur panique s'emparait de nous, et alors nous nous adressions in petto le petit discours que voici : Parler du bonheur, disserter sur le bonheur, n'est-ce pas, la plus intolérable des audaces ? Quel droit possédons-nous et même quel droit possède n'importe quel être humain à parler du bonheur ? Vouloir entretenir ses semblables d'un pareil sujet, n'est-ce pas à la fois une effronterie et une insolence ? François de Singly : "La famille apporte le bonheur ensemble et le bonheur individuel"

Spécialiste de la famille, François de Singly, professeur de sociologie à l'université Paris-Descartes, décrit comment, aujourd'hui, on perçoit la famille moderne. Il a récemment publié "Les Adonaissants", Armand Colin, Paris, 2006. Le Monde.fr | | Propos recueillis par Propos recueillis par Karim El Hadj Quelle définition donneriez-vous du mot famille ? François de Singly : Il n'y a pas de définition de la famille de telle sorte qu'elle puisse exister à n'importe quelle période de l'histoire de l'humanité et dans n'importe quelle culture. Ce qui est intéressant dans le fait que la définition de la famille soit floue, c'est que cette imprécision autorise son succès. D'où viennent les idées que l'on se fait de la famille ? Les références à la famille que nous avons viennent de l'Etat, de notre propre histoire familiale, mais aussi des romans, des films...

Quand la famille est-elle devenue moderne ? Quelle est la caractéristique de la famille actuelle en Europe ? L'idée du bonheur d'après Aristote.