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Les Cathares

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Introduction. Catharisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Catharisme

Ne doit pas être confondu avec Catarrhe. Le catharisme (du grec καθαρός / katharós, « pur ») est un mouvement médiéval d'origine antique, un manichéisme avec des aspects chrétiens[réf. nécessaire]. Il ne s'est jamais autodésigné ainsi, car ce terme, inventé par l'abbé Eckbert von Schönau (de) († 1184) pour désigner les « hérétiques », fut popularisé en français par l'occitanisme des années 1960 dressé contre le centralisme jacobin[1]. Les guides religieux « cathares », en effet, se désignaient eux-mêmes comme « Bons Hommes », « Bonnes Dames » ou « Bons Chrétiens » et leurs ennemis contemporains les appelaient les « hérétiques albigeois ». Origines[modifier | modifier le code] Le château de Montségur, pris en 1244 après un siège de plusieurs mois, et reconstruit vers la fin du XIIIe siècle.

Le nom de « cathares » a été donné par les ennemis de ce mouvement, jugé hérétique par l'Église catholique romaine et adopté tardivement par les historiens. Château de Montségur. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(décembre 2012).

Château de Montségur

Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Quéribus, forteresse cathare. Photo du site Quéribus, un "dé posé sur un doigt".

Quéribus, forteresse cathare

Le château donnait encore asile en 1241 à des diacres cathares". Son siège en 1255, 11 ans après Montségur marque la fin de la croisade contre les albigeois. A la fin des années 1970, le château était loué pour une bouchée de pain par la municipalité de Cucugnan. Château de Peyrepertuse. Le bas-château de Peyreperthuse au soleil couchant.

Château de Peyrepertuse

Il est le centre du micro-pays et de l'ancienne seigneurie du Peyrepertusès (en occitan : Pèirapertusés) de Pèira pertusa qui veut dire « pierre percée[3] ». Géographie[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Le château fait partie des « Cinq Fils de Carcassonne » avec les châteaux de Quéribus, Puilaurens, Termes et Aguilar, tous situés au sommet de pitons rocheux « imprenables ». Il est surnommé la « Carcassonne céleste » car c'est le plus grand des cinq châteaux et qu'il était aussi vaste que Carcassonne[4]. Le site est occupé à l'époque romaine dès le début du Ier siècle av. Il passe ensuite dans le comté de Barcelone en 1111, puis dans la vicomté de Narbonne. En 1355, le château est remis en état de défense et Henri de Transtamare, prétendant au trône de Castille, défait à Navarette, est autorisé par le roi de France Charles V à s'y réfugier.

De nos jours[modifier | modifier le code] Site officiel [archive]. An 1239, le procès des 183 cathares brûlés vifs au Mont-Aimé - Catharisme d'aujourd'hui. L’article qui suit provient d’un site aujourd’hui dévolu à la Fédération Française de Tennis.

An 1239, le procès des 183 cathares brûlés vifs au Mont-Aimé - Catharisme d'aujourd'hui

J’avais, à l’époque proposé à son auteur (anonyme) de m’autoriser à le publier ici. Sans réponse de sa part, j’avais copié le document pour l’imprimer. Aujourd’hui, il a disparu du site en question et le maître-toile ne me répond pas quand je l’interroge à ce sujet. Aussi, je prends la liberté de le publier, non sans rappeler que je n’en suis pas l’auteur et que, si ce dernier se fait connaître pour signer son travail ou pour exiger son retrait, je respecterai son choix. 13 mai 1239. Le Mont-Aimé n’avait pas, en cette première moitié du XIIIe siècle, l’aspect qu’il a aujourd’hui : une grande colline isolée que l’on découvre de loin, du bout de l’immense plaine venant de Châlons-sur-Marne.

C’est sur la place du château – là où se trouve maintenant un espace très fréquenté par les promeneurs et les pique-niqueurs du dimanche – que furent jugés, au cours d’un procès bien monté, les hérétiques. Croisade des albigeois. La croisade des albigeois[a] (1209-1229) (ou croisade contre les albigeois) est une croisade proclamée par l'Église catholique contre l'hérésie, principalement le catharisme et dans une faible mesure le valdéisme.

Croisade des albigeois

Dès le XIIe siècle, les textes de l'époque parlent d'« hérésie albigeoise » sans que cette région soit plus cathare que ses voisines. L'hérésie était surtout implantée en Languedoc, lequel était dominé par deux familles, la maison de Toulouse et la maison Trencavel. N'ayant pas réussi à s'entendre pour faire front, le comte Raymond VI de Toulouse fait amende honorable et se croise, tandis que Raimond-Roger Trencavel se prépare à se défendre contre la croisade. Une fois Béziers et Carcassonne prises et le vicomte Trencavel emprisonné, les croisés désignent l'un des leurs, Simon de Montfort, pour poursuivre la lutte (1209).

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