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France Is Dropping Concrete Chunks on Libya - Global. Libye : le mythe de la guerre rapide. Sur le plan de la politique intérieure, il faut reconnaître que sans le volontarisme et la prise de risque de Nicolas Sarkozy, le savoir-faire d’Alain Juppé et de la diplomatie française, Benghazi serait tombé et des milliers de civils auraient été massacrés sous nos yeux. On aurait assisté à l’arrivée de centaines de milliers de réfugiés sur les côtes européennes au lieu des quelques dizaines de milliers actuelles. A un an d’une élection présidentielle, l’attitude responsable de la plupart des leaders de l’opposition de gauche doit aussi être soulignée. Le temps politique et médiatique n'est pas le temps militaire Sur un plan strictement militaire, ce que l’on savait déjà est confirmé.

Comme on l’a vu à Abidjan, en ville, ce sont les hélicoptères armés qui sont les plus efficaces mais ils ne peuvent intervenir qu’à partir de lignes amies bien définies. Une Europe sans voix dans la crise libyenne Pour une défense européenne autonome. A Libyan Rebel in Need of a Lift. French Special Forces carry out strike in Libya - paper. French Special Forces units have been deployed in a remote desert area in south-western Libya, where they have allegedly carried out a raid against Al Qaeda militants or arms smugglers, the Algerian El Khabar newspaper said on Thursday. The newspaper quoted Algerian military sources as saying French unmanned aerial vehicles and warplanes had been searching for several days for a group of Special Forces soldiers lost in the desert.

France reportedly requested Algeria to provide its air space for French planes to ease the search, but the request was not satisfied, the paper said. The lost French soldiers were later found and evacuated, it said. El Khabar has suggested that the units might have been involved in a special operation against forces loyal to embattled Libyan leader Muammar Gaddafi. France was one of the main advocates of the military operation against Gaddafi, which started in Libya in mid-March after being approved by the UN Security Council. CAIRO, April 7 (RIA Novosti) International : Les révoltés du désert bloqués aux portes de la Tripolitaine.

L'avance des révolutionnaires libyens est de nouveau stoppée par la puissance de feu supérieure des forces de Kadhafi. Après avoir tenu en échec les milices de la révolution pendant presque une semaine à Ajdabiya, les troupes fidèles au dictateur avaient reculé ces derniers jours de près de 300 kilomètres vers l'ouest à travers les étendues désolées du golfe de Syrte, les miliciens à nouveau sur leurs talons. Elles se sont arrêtées à une centaine de kilomètres de Syrte, la ville natale de Kadhafi, où il compte encore de nombreux partisans. Et ont entrepris de repousser les miliciens à coups de barrages d'artillerie et de katiouchas. Sans chefs, ni l'entraînement nécessaire pour tenir le terrain ou creuser des tranchées, seule parade efficace contre les canons, les miliciens ont reflué mardi jusqu'à Ben Jawad. Dans leur version contemporaine, ces insurgés motorisés aux allures de Mad Max ne sont capables d'avancer qu'en l'absence totale d'opposition sérieuse.

Particularismes régionaux. Libye: Berlusconi en perd le sommeil. Le premier ministre italien Silvio Berlusconi s'est déclaré préoccupé par les événements en Libye au point d'en avoir perdu le sommeil. "Je suis tellement préoccupé que je ne dors pas de la nuit, y compris parce que la situation dans ce pays diffère sérieusement de ce qui s'est passé en Egypte et en Tunisie", a-t-il avoué jeudi dans une interview à la chaîne italienne Gold Tv.

"Il s'agit de la lutte entre deux autorités: celles qui œuvrent pour arracher la Cyrénaïque [est] au pouvoir central de Kadhafi et celles qui contrôlent la Tripolitaine [ouest]", a-t-il précisé. Après avoir qualifié les événements en Libye de "guerre civile", M. Berlusconi a espéré que les hostilités prendraient bientôt fin, ce qui permettrait d'éviter de nouvelles victimes. Le 31 mars, l'Otan a officiellement pris le commandement des opérations en Libye. Photographer Notebook: Goran Tomasevic | Analysis & Opinion | Reuters. The Atlantic. Reporters in Tripoli find it’s a Big Brother world. But it’s only the cellphone of a government minder — the rambling, ranting speech delivered by Gaddafi at the beginning of the uprising has become a popular ringtone among his supporters here. And so the days pass in the Big Brother world of the Rixos Hotel in Tripoli, where foreign journalists are obliged by the government to stay in conditions that can best be described as luxury imprisonment.

There are whirlpool bathtubs in every room, a sumptuous spa and guards armed with Kalashnikovs posted at the gate. Their job, it is clear, is to keep journalists in, not intruders out. In the initial stages of the conflict, when 130 members of the foreign press corps were first “invited” by the Gaddafi regime to Tripoli in a rare moment of openness, there was at least a degree of pretense that reporters were free to do their jobs. Although those who strayed into sensitive areas or toward a battle zone would likely be detained, often for hours, trips into central Tripoli were tolerated.

After Rebel Success in Misurata, NATO Strikes Tripoli. Government officials said three bombs struck the sprawling compound, Bab al-Aziziya, early Thursday morning, beginning shortly after 3 a.m. On a closely monitored tour of the complex for foreign journalists, the officials said the bombs damaged roadways and “administrative buildings” that were of no military significance. News reports also said other areas of the capital had been hit by NATO bombs. The government attempted to use the airstrikes to press its case that NATO’s actions demonstrate the West’s lack of “morality” and put ordinary people in danger.

On the tour, officials paraded reporters past a crater not far from tents filled with refugees, many of them men, women and children from sub-Saharan Africa, who officials say have been given shelter from the violence wracking the country. The officials also said that the bombs had killed three people — two reporters and a guide — who they said were at the site for overnight “celebrations,” but they did not provide details. Libye: un des fils de Kadhafi tué dans une frappe aérienne. Le plus jeune des fils du colonel Mouammar Kadhafi, Saïf al-Arab, aurait été tué dans la nuit de samedi à dimanche dans un raid de l'Otan à Tripoli, rapportent les médias occidentaux, se référant au porte-parole du gouvernement libyen, Moussa Ibrahim.

Selon la source, un fils et trois petits-fils du leader libyen auraient péri lors du bombardement de Bab al Azizia, quartier général tripolitain de Mouammar Kadhafi. Le colonel et son épouse, qui se trouvaient à l'intérieur de la maison au moment du raid de l'Otan, en sont sortis sains et saufs. L'Alliance atlantique a confirmé avoir effectué des frappes multiples à Tripoli, mais pas la mort de Saïf al-Arab.

Depuis la mi-février, la Libye est le théâtre d'une révolte dirigée contre le régime de Mouammar Kadhafi, au pouvoir depuis 42 ans. Pour réprimer la rébellion, le leader libyen a fait appel aux forces armées, ce qui a attisé le conflit, le transformant en guerre civile.