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CINEMA

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Il était une fois... Orange mécanique. Orange mécanique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Orange mécanique

Orange mécanique (A Clockwork Orange) est un film britannique de Stanley Kubrick, sorti sur les écrans en 1971. Adapté du roman d'Anthony Burgess, L'Orange mécanique (A Clockwork Orange dans son édition originale britannique de 1962)[1], il est à classer dans les films d'anticipation, mais peut également se voir comme une satire de la société moderne. Ici, c'est une vision d'une cité urbaine où les jeunes ont pris le pouvoir qui est présentée au spectateur. Le film est aussi un peu futuriste, très violent, très psychologique, avec un côté drôle et parfois dramatique. Dans ce film, Stanley Kubrick semble surtout privilégier le climat malsain et dérangeant qui se dégage, ainsi que le côté viscéral, plutôt que la violence graphique visuelle.

Orange mécanique a été sélectionné par Le National Film Registry pour être conservé à la Bibliothèque du Congrès aux États-Unis pour son « importance culturelle, historique ou esthétique ». L'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat

L'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat, ou L'Arrivée d'un train à La Ciotat, est un film français réalisé par Louis Lumière en 1895 et présenté pour la première fois en . Contrairement à une idée reçue, le film n'est pas au programme des 10 films composant la projection du , dans le Salon indien du Grand Café, place de l'Opéra à Paris[1]. Synopsis[modifier | modifier le code] Le film montre un train arrivant en gare de La Ciotat, ville proche de Marseille. La famille Lumière possédait une résidence à La Ciotat, ce qui explique le choix de cette gare plutôt que d'une autre. Dans la ligne de fuite d'une voie ferrée, sur le quai, des voyageurs en habit du dimanche attendent. Fiche technique[modifier | modifier le code] Analyse du film[modifier | modifier le code] La tradition veut que lors de la projection, l'image d'un train qui se dirige vers lui ait terrifié le public, criant et se précipitant à l'arrière de la salle.

Violence et cinéma - A propos de Scream de Wes Craven (Analyses) Le 3 juin dernier, dans la région de Nantes, un lycéen poignarde sa petite amie et la tue.

Violence et cinéma - A propos de Scream de Wes Craven (Analyses)

Aux policiers, il dit s’être inspiré du film d’horreur à succès Scream de Wes Craven. Sa motivation tenait à une forme d’expérience existentielle : voir ce que cela fait de tuer. Affaire d’autant plus troublante que ce n’est pas la première fois que ce film est au centre de faits divers similaires. Voilà donc qui relance le sempiternel débat sur la violence dans les médias (et particulièrement au cinéma) et pourrait apporter de sérieux arguments aux tenants de son influence néfaste sur le (jeune) public. Il n’est pas difficile de cerner l’enjeu du problème, considéré comme problème de société dépassant les limites des questions de cinéma : il réside dans la question du passage à l’acte. Violence et cinéma : avant « Sinister », cinq films polémiques. Quarante salles de cinéma (sur 160) françaises, viennent de retirer le film d’horreur « Sinister » de leur programmation.

Violence et cinéma : avant « Sinister », cinq films polémiques

Les exploitants craignent des débordements, comme ceux qui ont éclaté le soir d’Halloween dans plusieurs cinémas lors de la projection de « Paranormal Activity 4 ». Bande-annonce de « Sinister », de Scott Derrickson, novembre 2012 Le cinéma qui pousserait au meurtre/viol/hooliganisme/terrorisme/débauche est une histoire presque aussi vieille que le septième art lui-même. L’« affaire “Sinister” » instaure un autre niveau de censure, préventive, alors que le film a reçu tous les visas d’exploitation, et qu’il n’y a pas de fait divers à déplorer. « Basic Instinct » De Paul Verhoeven, 1992 On prête au film de Paul Verhoeven d’avoir inspiré la technique dite du « pic à glace » à Luka Magnotta.

On retrouve sur de nombreux sites une longue liste d’éléments qui relient le tueur au film, plus invérifiables les uns que les autres... quand ils ne sont pas des sophismes complets. Critique. Film :La VagueSortie :2009Genre :DrameDurée :1H48Réalisateur :Dennis GANSELDistributeur :Bac FilmsActeurs : Scénario Mise en scéne Note AvisFilm Note du public Note globale des internautes : 4.05sur 5 Note basée sur 20 avis d'internautes Synopsis : En Allemagne, aujourd’hui.

Critique

Dans le cadre d’un atelier, un professeur de lycée propose à ses élèves une expérience visant à leur expliquer le fonctionnement d’un régime totalitaire. Commence alors un jeu de rôle grandeur nature, dont les conséquences vont s’avérer tragiques. Critique : La Vague, c’est un film très pertinent sur les mécanismes psychologiques qui fédèrent les hommes en un ensemble qui peut devenir incontrôlable. Ce n’est pas une problématique très développée en France, nous préférons mettre en scène la figure du résistant, celle que nous voulons retenir de notre histoire.

Bertrand Janvier (@_Bertrand_) Avis des internautes.