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Dans la ville invisible. Juin 1986 : je m'installe pour douze mois au quatorzième étage de la tour Karl Marx, à Bobigny. Le livre Décor Ciment (éditions de Minuit, 1988) en naîtra. Bobigny, sur des anciens terrains maraîchers, c'est des dalles de ciment étagées, rassemblant des tours carrées et massives autour de la longue galerie d'une centre commercial, entouré successivement d'un cimetière, de la préfecture dont dépend un petit quart de la région parisienne, et le vaste paysage industriel, troué de canaux, d'autoroutes et voies ferrées.

Février 1993 : dans un hameau de montagne, je relis une légende allemande (mais elle a des variantes similaires en Bretagne et en Poitou) rapportée par le philosophe Ernst Bloch dans Traces (éditions Gallimard, 1968, « thème de la séparation » p. 78/86). Un village enfoui qui resurgit et se remet à vivre pour une seule nuit, pour un jeune peintre fasciné, qui se retrouve seul au matin sur la plaine déserte.

L'errance du voyageur de la légende? Voilà. Tati architecte (2010) En France, au lendemain de la seconde guerre mondiale les théories élaborées avant-guerre par les CIAM (Congrès Internationaux d'Architecture Moderne) sont sur le devant de la scène et diffusées par des architectes tels que Le Corbusier qui, dès 1941, les reprend à son compte en publiant La Charte d'Athènes (1). À la Libération , il publie également Les Trois Établissements Humains (2) (1945) où il propose un nouveau type de politique d'aménagement du territoire et, après avoir « obtenu que La Charte d'Athènes des CIAM serve de base aux discussions » (3), il participe aux travaux de la Commission de doctrine du Front National des Architectes.

Avec l'aide du plan Marshall , cette nouvelle façon de concevoir l'urbanisation va pouvoir être mise en application pour reconstruire le pays, moderniser les villes et intensifier la lutte contre les taudis (4) qu'elles abritent encore. Construire, tel un architecte Constructeur, Jacques Tati l'est incontestablement. La vi(ll)e selon Tati. Colloque "La ville mal aimée" Colloque au château de Cerisy-la-Salle 5-12 juin 2007 NB : Les discussions ont été éditées par Burçu Özdirlik (doctorante, Institut Français d'Urbanisme, Université de Paris-8) et Bernard Marchand, Professeur émérite des Universités, gràce à une bourse obtenue par Joelle Salomon. Mardi 5 juin : arrivée des participants Mercredi 6 juin Jeudi 7 juin Vendredi 8 juin Samedi 9 juin Dimanche 10 juin Lundi 11 juin Mardi 12 juin Matin : Synthèse, table ronde Midi : Départ :

La représentation de la nature dans les mangas (1) : quelques pistes de réflexion pour introduction. La préparation de notre journée d’études du 17 avril 2014 avec comme grand invité Etienne Davodeau sur « Quand les cases se mettent au vert. Nature et bande dessinée » est l’occasion de proposer cette série de billets sur la représentation de la nature dans les mangas. Si nous avons eu l’occasion d’explorer la représentation de la ville dans les mangas à travers trois billets (1/La ville dans le manga, entre urbaphilie et urbaphobie, 2/ La ville dans les mangas (suite) : une forte représentation de l’espace urbain comme laboratoire de la coprésence, 3/ La ville dans les mangas (fin) au prisme de la géographie des âges : les territoires des collégiens et des lycéens) à travers la dimension spatiale, ce n’est qu’un prisme qui ne rend compte que partiellement de la richesse des représentations spatiales dans les mangas, et les espaces représentés y sont bien plus nombreux.

L’homme qui marcheJiro Taniguchi Les billets de la série « La représentation de la nature dans les mangas » : Laffont tati New. Surimpressions naturelles et volontaires chez les surréalistes. Un regard multiple sur Paris. Une image, et surtout une image photographique, ne donne du réel qu’un instant de son apparence. Derrière cette mince pellicule qui moule un aspect des choses, à l’intérieur même de cette image il en existe à l’état latent une autre, ou plusieurs autres superposées dans le temps et que des opérations le plus souvent dues au hasard décèlent brusquement.Raoul Ubac (1942 : 27). 1La surimpression consiste à impressionner plusieurs fois une surface sensible ou à combiner plusieurs négatifs au moment du développement.

Cette dernière possibilité permet une plus grande précision dans la composition. La surimpression peut survenir de manière accidentelle ou être sciemment mise en œuvre, provoquant dans les deux cas des rapprochements insolites et poétiques. Les reflets dans les vitrines sont également pourvoyeurs de superpositions visuelles entre l’intérieur de la vitrine et le reflet du monde extérieur. L’erreur réhabilitée La transparence comme essence Réalité et virtualité du reflet. Les representations de paris dans la bd. Cafe Geo Representer espace urbain BD. Goldberg.