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Sloterdijk

Rhetorique. Philia [BACHELARD : La science s'oppose absolument à l&#039. La science, dans son besoin d'achèvement comme dans son principe, s'oppose absolument à l'opinion. S'il lui arrive, sur un point particulier, de légitimer l'opinion, c'est pour d'autres raisons que celles qui fondent l'opinion ; de sorte que l'opinion a, en droit, toujours tort. L'opinion pense mal ; elle ne pense pas : elle traduit des besoins en connaissances. En désignant les objets par leur utilité, elle s'interdit de les connaître. On ne peut rien fonder sur l'opinion : il faut d'abord la détruire. Elle est le premier obstacle à surmonter. Il ne suffirait pas, par exemple, de la rectifier sur des points particuliers, en maintenant, comme une sorte de morale provisoire, une connaissance vulgaire provisoire.

BACHELARD La Formation de l'Esprit Scientifique, Chap. Moteur actif : Cléphi changer le moteur => Cléphi | Zoom | X-Recherche | aide. (Cruset of Ideas) Am I indiscreet? Some years ago, one of my professors asks what my PhD was about. When I told him I working in historical linguistics, he declared, “Historical linguistics is not a science.” (I should’ve countered with “No, it’s an art.”). Because he couldn’t see any way towards strict formalism, it didn’t fit in with his definition of science.

For me, science always can benefit from art, from poetry. Definition identifies, specifies and limits and thing, describes what it is and what it is not: it is the tool of our great classifying brain. Our propensity for categorization, this reflex by which we see the world as a sum of discreet units is, it would seem, a cultural artefact and not an innate human characteristic. Neil Evernden (The Natural Alien) gives the example of a tree: Vincent-Olivier Arsenault, a couple of years ago, argued that “Discretization is the fundamental mechanism behind any form of cognition” (see also Martin’s reply).

Which brings me to the title of this post: Am I indiscreet? (Foire aux idees) Brièvement exhaustif. Je viens de me rendre compte que mon dernier billet illustre bien une différence fondamentale qui existait entre feue ma fiancée et moi quant à la façon de présenter les choses et les argumentations. Alors qu’elle prenait la peine de donner le plus de contexte possible avant d’arriver au noeud du problème, afin de s’assurer que l’interlocuteur sait d’où elle tire ses conclusions, j’ai plutôt tendance à faire l’inverse. En effet, il est facile de constater que j’aime présenter les conclusions et ensuite les étayer. Sa méthode a l’avantage de bien cerner le propos, si le désavantage d’être quelquefois un peu prolixe. La mienne par contre se veut brève, mais si le propos est le moindrement inusité ou excentrique, l’interlocuteur peut bloquer d’entrée de jeu et passer à autre chose.

Il est intéressant de constater que ces deux façons de présenter les choses trouvent écho dans nos formations universitaires réciproques. (Foire aux idees) Résistance. Welcome to Principia Cybernetica Web. (Magellan) La mort à un temps. Peter Sloterdijk: Regeln für den Menschenpark. Une critique du livre - Règles pour le parc humain. Humanisme et bestialisation Règles pour le parc humain, Peter Sloterdijk, traduit de l'allemand par Olivier Mannoni, Les Mille et Une Nuits, 2,50 € lecture d'Alain Jean-André On se rappelle la controverse qui s'est développée à l'automne 1999 dans l'opinion publique allemande au sujet de ce petit texte brûlant : Règles pour le parc humain. C'est une réponse, presque cinquante ans plus tard, à la Lettre sur l'Humanisme de Heidegger.

Il faut d'abord souligner, pour toutes celles et ceux qui associent le mot philosophie à langage hermétique, difficile, combien la langue de cet auteur est accessible : elle permet d'entrer dans la pensée d'un philosophe contemporain qui voisine sans honte avec les penseurs libertaires et nietzschéens français du XXe siècle emprunte des éléments de réflexion à la philosophie allemande contemporaine ainsi qu'à la littérature. De quoi parle ce petit texte ? On voit combien les considérations du philosophe peuvent déranger. Règles pour le Parc humain (Peter Sloterdijk) Eco Rev - Règles pour le parc humain et la domestication de l&#0. (Franchement!) Bloguedéviations. L'autre - Il est temps que tu en parles du Tsunami; c'est arrivé il y a une semaine déjà!

Lui - J'avais les 'bleues'; j'étais incapable d'en parler. l'autre - Les 'blues'?... Lui - Les catastrophes humanitaires m'ont toujours fait le même effet : je perds pied temporairement, ma confiance en Dieu et dans l'humanité en prennent un coup, et je ne sais plus quoi dire. l'autre - Mais un tsunami, c'est une catastrophe naturelle; on n'y peut rien. Lui - Justement. L'autre - Quoi par exemple? Lui - Je trouve que les catastrophes humanitaires sont des révélateurs. L'autre - Épouvantable... lui - Ce sont des pays des continents les plus pauvres qui ont été touchés : en Océanie, en Asie et en Afrique. L'autre - T'exagères pas un peu... lui - À peine. L'autre - C'est normal : les survivants n'ont plus rien... lui - C'est pas normal; c'est calculé.

L'autre - Je reconnais ta propension à la dramatisation... The Situationist International Text Library/The Society of the S. But certainly for the present age, which prefers the sign to the thing signified, the copy to the original, representation to reality, the appearance to the essence... illusion only is sacred, truth profane. Nay, sacredness is held to be enhanced in proportion as truth decreases and illusion increases, so that the highest degree of illusion comes to be the highest degree of sacredness.

Feuerbach, Preface to the second edition of The Essence of Christianity In societies where modern conditions of production prevail, all of life presents itself as an immense accumulation of spectacles. Everything that was directly lived has moved away into a representation. The images detached from every aspect of life fuse in a common stream in which the unity of this life can no longer be reestablished. Reality considered partially unfolds, in its own general unity, as a pseudo-world apart, an object of mere contemplation. In a world which really is topsy-turvy, the true is a moment of the false. Z/S::La société des chroniqueurs. Les carnetiers ont été nommés "People of the year" par ABC's news.

Hum. Bien content de voir que le phénomène prend de l'ampleur, car cela accéléra la transition vers le nouveau web (les blogs sont les chevaux de Troie du RSS). Mais je me demande ce qui a motivé ce choix. Pourquoi cette année, pourquoi maintenant? Cette année, parce qu'elle en était une présidentielle (pour les Américains) : "(...) for the first time, bloggers were permitted to cover the national political conventions firsthand. Bloggers have taken the lead over traditional media on a number of stories (...) ". En ce moment, parce que les médias digèrent encore le coup du Tsunami : "This week, their influence has become readily apparent. Sur le même thème, François Guité rajoute : "En plus de décrire les événements locaux dans un continuum espace-temps, les récits gagnent en instantanéité tout en évitant le journaliste interposé. " On pourrait rajouter les récits à la première personne de phukettsunami.blogspot.com .

Petite histoire des idées. La démocratie a-t-elle fait son temps ? Introduction - Nous sommes dans le cadre de l'université du 3e âge. C'est sans doute le bon moment de nous rappeler, comme anciens enseignants ou tout bonnement comme parents ou grands-parents, que la meilleure façon d'apprendre quelque chose, c'est d'essayer d'en parler. Préparer cette conférence m'a convaincu que j'en savais bien peu sur la démocratie. Merci de m'avoir forcé à avouer mon ignorance et à lutter contre elle. - Raison de plus pour que je mette à contribution des auteurs sérieux. Je m'appuie surtout, au risque de les mal citer à l'occasion, sur des classiques et sur des plus actuels : Platon, Tocqueville, Alain Touraine et, tout près de nous, Louis Balthazar, que vous avez rencontré, et Daniel Jacques, l'un des meilleurs spécialistes québécois de Tocqueville.

Qu'ils me pardonnent ma piraterie et qu'ils excusent mes raccourcis. 1. . - La réaction est à peu près la même quand on survole quelques-unes des révolutions survenues au cours des derniers siècles. 2. 3. 4. 5. 6.