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( Je suis dans la lune) Sur la Voie du Wiki. Le Wiki (avec un M majuscule) est un tout où l'on trouve : Un logiciel (ou moteur) et son code source. Un contenu (les contributions) sous forme d'hypertexte où l'on se perd facilement. Un collège d'auteurs (contributeurs), on dit aussi communauté ou groupe. Un ou plusieurs administrateurs. Des us et coutumes. Un lieu (les espaces sur les disques durs de machines). Il s'écrit à plusieurs mains, peut-être même une foule de mains. On peut se demander qu'est-ce qui se passe quand deux auteurs ayant une vue différente du sujet qu'ils élaborent ensemble.

Martin Lessard sur son blog remarque que l' entremêlement de sens dans un wiki tient plus de la confrontation que de la négociation. Ce qu'on appelle Voie du Wiki ou WikiLove semble être de s'assurer de la cohésion du Wiki en vue de le faire parvenir à maturité. Toutes proportions soigneusement gardées il me semble qu'un Wiki est une sorte de micro-Internet. )Remolino) Richard Florida dans le Washigton Monthly (et Québec. (Foire aux idees) Harper mange des bébés. (Michel Leblanc) Ce blogue est en feu. Je viens de recevoir la confirmation d’un troisième contrat obtenu cette semaine et directement lié à l’existence de ce blogue. Pour ceux qui doutent des retombés d’affaires d’une présence Web sous forme de blogue, si vous êtes dans le domaine du marketing Internet et du conseil stratégique en affaire électronique et utilisation des nouvelles technologies, continuez de douter, je n’en serais que plus heureux Imprimez ce billet.

(Imbloglio) Cours d'examen mamaire. (Le blog de Loran) les .XXX n'existeront (peut etre) pas. (Foire aux idees) Bulle et bruit. La semaine dernière, je me suis, pour la première fois depuis des années, baladé avec un baladeur. J’ai en fait emprunté le lecteur MP3 de mon amie (partie à Budapest, la chanceuse) question de voir si je serais à l’aise avec des écouteurs dans les oreilles, pour aller travailler, par exemple.

Deux constatations s’imposent d’emblée. Premièrement, il y a cet effet « bulle » dont je ne me souvenais plus. La musique s’enclenche et on referme un peu plus son univers sur soi-même. Force est de constater que le métro n’est pas l’exception : je ne m’étais pas vraiment rendu compte combien la rue (Beaubien, en l’occurrence) était si bruyante, particulièrement le matin. (Foire aux idees) Google qui. Google a commencé par nous trouver quoi, maintenant, avec Google Earth, on trouve où. À quand qui? C’est la question que se posait Dave Pollard. En fait, il parle de trouver des experts sur le sujet de votre choix. Après y avoir réfléchi un peu, il s’est dit qu’il serait plus approprié qu’un tel système découle d’initiatives individuelles (du peer-to-peer, quoi), tirant profit des systèmes déjà en place.

But then it occurred to me that there is a profound difference between ‘know-what’ and ‘know-where’ on the one hand, and ‘know-who’ on the other: Finding the former are complicated search problems; finding the latter is a complex problem. Il propose, comme base de discussion, quelques barèmes : Je dois admettre mon ignorance de ce qui se fait présentement dans ce domaine (un des commentateurs parle de XpertWeb, mais il semble y manque l’aspect bottom-up). (affordance.info) L'académie contre-attaque. (affordance.info:) Ca y est !!! (Paquets) Le temps des face-à-face. (le blog de davidtouvet.com) RSS: une explication claire sur le. Bien vu Martin, pour ceux qui auraient encore du mal à saisir ce qu’est le RSS, la syndication de contenu, les aggrégateurs et j’en passe, lisez l’article “comprendre le RSS” et vous serez affûtés pour les discussions du repas de Pâques.

Entre geeks c’est évident que ce genre de titre lasse. Mais si je regarde autour de moi, le RSS n’est pas du tout, mais alors pas du tout entré dans les habitudes web de mes amis, collègues, famille, etc. Imprimons donc l’article de Martin et distribuons-le par avion publicitaire au-dessus de nos villes Le web se transforme. Michel Leblanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, Hier soir se tenait le premier rendez-vous mensuel des blogueurs intéressés par les affaires, à Montréal. Cette première rencontre fut un franc succès. Une vingtaine de personnes toutes les plus intéressantes les unes que les autres se sont présentées au café Méliès. La prochaine édition devrait certainement voire doubler les présences. Nous étions seulement 2 lors de l’idéation du groupe, un mois plus tard nous sommes 20.

Méchant effet réseau. Je vous remercie donc tous d’avoir répondu à cette invitation qui était inspirée du célèbre Yulblog dont tous font aussi parti. Parlant de Yulblog, comme il est coutume, les présences ont aussi été prises et les blogueurs devaient répondre à la question quelle est votre merveille de Montréal? Voici donc les résultats (notez que certains blogueurs étant profondément impliqués dans les discussions ont peut-être omis de signer le registre). Geoffroi Garonwww.biotope.ca Pont Jacques-Cartier Harry Wakefieldwww.mocoloco.com piste cyclable du canal Lachine. (Dédalus) Serait-ce un nouveau virage pour les médias? (Ami Calmant) Trompe-l’oeil médiatique. Le 24 juin dernier, le chroniqueur techno de Radio-Canada, Bruno Guglielminetti, caressait ses lecteurs dans le « sens du poële » en leur signalant l’entrée du mot « blog » dans l’édition 2006 du dictionnaire Larousse. Évidemment, la levée de boucliers linguistiques ne s’est pas faite attendre et plusieurs commentateurs se sont dit offusqués que les éditeurs français aient choisi l’emprunt direct à l’anglais plutôt que le néologisme « blogue » préféré par l’Office de la langue française du Québec.

Une rapide recherche dans Google permet pourtant de retrouver la trace des dépêches d’agence originales, elles-mêmes n’étant probablement que des concentrés de communiqués de presse plus détaillés. On y découvre plusieurs québécismes dans cette nouvelle cuvée lexicale — « calotte », « grignotine » ou « jambette » — ainsi que des belgicismes, helvétismes et autres italianismes, d’ailleurs. (Tactiques) Sommes-nous tous des experts en communication? (How to Save the World) The Environmentalist's Travel Guide. (blork blog)On Writing and Reading. (Foire aux idees) Tuer la présentation. (Guitef) Interaction entre un quotidien et les lecteurs. (Seb's Open Research) Famous unknowns. (Information Work Productivity) Big accident. (Seb's Open reasearch) Do weblogs outnumber home pages? Godgle Addicted ? (nanoblog) Trop de livres.

Publié le 9 février 2005 à 09:24 - par Cyril Fievetdans livres Lu chez Sébastien : "En tout, exactement 52.231 en 2004... Il s'agit juste du nombre de livres édités dans l'année. Un toutes les dix minutes, tout de même... En effet. En tant qu'auteur, les chiffres ne sont pas tellement plus rassurants : mon éditeur publie chaque année 550 livres.