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Bonheur et travail

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Comment survivre en open space ? S'émerveiller d'un rien - Un antidote au désenchantement. Autant la vie blesse, autant elle nous pourfend chaque jour, autant elle nous tend la perche, nous fournit d'occasions de s'émerveiller malgré les malgré.

S'émerveiller d'un rien - Un antidote au désenchantement

Une vitrine de Noël, une chorale de centre commercial, une nappe blanche se posant en surprise par milliards de flocons duveteux, un «pestacle de Nowel» d'enfants rempli de maladresses et de nervosité, une mitaine orpheline oubliée derrière, dernier témoin du pêle-mêle, autant d'occasions de s'attendrir encore et de décrocher une étoile à la cime du sapin. Le mot «encore» n'est pas vain devant le désenchantement du monde qui s'offre à nous à chaque Cancún (Copenhague, Bali...), à chaque conflit qui s'éternise, à chaque enfant-soldat qu'on recrute, à chaque anniversaire de Polytechnique remémoré. Tiens, ce matin, j'apprends qu'un enfant de 13 ans et un ado de 16 ans ont choisi la mort la semaine dernière, chacun de son côté et sans explications.

«Il faut aimer la vie pour s'émerveiller. Honte à celui qui va bien cherejoblo@ledevoir.com. IPRP : Prévention des Risques Professionnels. La mise à mort du travail - La destruction en streaming - Documentaires et reportages. “Détruire le travail, c’est détruire le vivre ensemble” - Le fil télévision. PAT-Miroir©, La Dynamique de la Confiance, Description du livre. « Eloge du bien-être au travail », par Dominique Steiler, John Sadowsky et Loïc Roche. En s'inspirant des essais de nombreux théoriciens comme Robert Owen ou Mary Parker Follet, les trois auteurs de cet ouvrage, Dominique Steiler, John Sadowsky et Loïc Roche, spécialistes de l'entreprise, s'efforcent de montrer comment une entreprise peut agir pour le bien-être de ses salariés et ce qu'elle y gagne.

« Eloge du bien-être au travail », par Dominique Steiler, John Sadowsky et Loïc Roche

De même que St-Just proclamait à la chambre, en 1794, que le bonheur était une idée neuve en Europe, les auteurs démontrent que le bonheur - pas uniquement d'un point de vue matériel - est une idée neuve au sein de l'entreprise. Cependant, à la fois le titre et le sujet font question : en effet, dans un climat de qui incite de plus en plus à la compétition, considérer l'entreprise comme un lieu d'épanouissement ne relève-t-il pas de l'utopie ? Pourquoi les salariés se suicident-ils ? Telle est la question ô combien actuelle à laquelle les auteurs tentent de répondre dans la première partie.

Anne Grandazzi Cette entrée a été publiée dans Actualité. RSE : Demain, enfin heureux au travail ? Vingt-sept jours en compagnie des “fracassés” du travail - Le fil télévision.