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Raymond Aubrac

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Aubrac : «Décidément, Caluire ne me vaut rien» On avait déjà mangé une fois ensemble, en mai 2009, au plateau des Glières, en Savoie. Raymond Aubrac venait faire de la résistance à Nicolas Sarkozy, rappeler devant 3 000 personnes les acquis perdus du Conseil national de la résistance. Je m’étais alors frotté une première fois à son humour grinçant. Au dîner, la veille du rassemblement, dans un petit chalet du coin, je m’étais retrouvé entre lui et Stéphane Hessel. On fait pire comme voisins. Après m’avoir demandé où je travaillais, Raymond Aubrac, fondateur avec son épouse Lucie et Emmanuel d’Astier de la Vigerie du premier journal Libération en juillet 43 (1), m’avait lancé un méchant «j’ai beaucoup aimé ce journal». Puis on s’est retrouvés en juin 2010 à Lyon, pour un déjeuner cette fois. Arrivés devant la haute bâtisse aux volets clos, la responsable des travaux a essayé d’ouvrir le portail. . (1) Il s'agit du Libération issu de la Résistance, disparu dans les années 60, et dont Libération a repris le titre en 1973.

Olivier Bertrand. Les Réquisitions de Marseille (mesure provisoire) - l'oeil sauvage. Durée : 53’ Année : 2004 Format de diffusion : Beta num Chef opérateur: Sébastien Jousse et Luc Joulé Ingénieurs du son: Francois Didio, Laurent Lafran Chef Monteur: Paul Rambaud Coproductions : CNRS Images Média & France 3 Méditerranée avec la participation du CNC et le soutien de la Région PACA, du Conseil Général des Bouches-du-Rhône (développé avec l’aide du CNC). Sélections festivals : Festivals du film scientifique de Oullins, Rencontres du Cinéma Documentaire Social d'Avignon, Instants Vidéo Numériques et Poétiques, Ciné Rail, Cin’Ecran, Fipatel.

Autres diffusions : Vidéothèques du Ministère du Travail, Adav Europe, Co-errances et une centaine de projections associatives, institutionnelles, dans les cinémas Utopia, réseaux Attac, … ; « La réquisition faisait figure d’audacieux prélude, comme ces éclaireurs qui s’écartent du gros de la troupe » Raymond Aubrac Qui connaît l’aventure des 15 entreprises réquisitionnées de Marseille de 1944 à 1948 ?

Liens internet. Où la mémoire s'attarde - Raymond Aubrac. Raymond Aubrac. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Raymond Aubrac Raymond Aubrac en février 2008. Raymond Aubrac, de son vrai nom Raymond Samuel, né le à Vesoul[1] et mort le [2],[3],[4] à Paris, est un résistant français à l'Occupation nazie et au régime de Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale. À la Libération, il est nommé commissaire de la République à Marseille, puis responsable du déminage au ministère de la Reconstruction.

Compagnon de route du PCF, il crée ensuite BERIM, un bureau d'études investi dans les échanges Est-Ouest avant de devenir conseiller technique au Maroc et fonctionnaire de la FAO. Ami d'Hô Chi Minh depuis 1946, il est sollicité par Henry Kissinger pour établir des contacts avec le Nord Viêt Nam, pendant la guerre du Viêt Nam entre 1967 et 1972. À la fin de sa vie, il s'engage en faveur des droits du peuple palestinien et adhère à l'Union juive française pour la paix[5]. Biographie[modifier | modifier le code] Le mouvement Libération[modifier | modifier le code] "Et Aubrac lança les réquisitions à Marseille" L'Humanité vous propose de retrouver un épisode peu connu de l'histoire de la Libération.

"Et Aubrac lança les réquisitions à Marseille"

Sous l'égide du jeune commissaire de la République de Marseille, quinze mille ouvriers vont pendant quatre ans travailler sans patrons dans des entreprises stratégiques. Entretien avec Robert Mencherini (1), historien, spécialiste de l'histoire politique, économique et sociale des Bouches-du-Rhône. Quelle situation économique et politique trouve Raymond Aubrac à Marseille quand il prend, fin août 1944, ses fonctions de commissaire de la République ? Robert Mencherini. Raymond Aubrac trouve une ville sinistrée sur le plan économique et démographique. Du point de vue politique, un élément essentiel est la grève insurrectionnelle déclenchée par le comité départemental de Libération (CDL), le 18 août 1944.

C'est dans ce contexte que Raymond Aubrac décide de réquisitionner un certain nombre d’entreprises. Robert Mencherini. Les Aciéries du Nord sont la première entreprise concernée. Robert Mencherini. Réécoutez Raymond Aubrac dans “Le grand entretien” de France Inter - Radio.