Abattage: il n'y a pas que le halal qui pose problème. Si on montrait aux gens certaines réalités de l'industrie, comme «des porcs gelés après 36 heures de transport, des truies coincées dans leurs cages ou des poules pondeuses entassées, leurs réactions seraient probablement les mêmes que devant les méthodes halal», estime l'auteure de Je mange avec ma tête, paru chez Stanké.
Si on veut réfléchir au traitement qu'on fait subir aux animaux, il faut oser regarder la chaîne de production dans son ensemble. La question est beaucoup plus large que halal ou non-halal.» En Europe, les cages en batteries pour poules pondeuses sont interdites depuis le 1er janvier, pour assurer un meilleur bien-être aux volatiles. Désormais, les poules doivent disposer de 750 cm2 au moins par volaille, d'un nid, d'une litière, d'un perchoir, dont elles sont généralement privées au Québec.
Des cochons mieux traités en Europe Dès janvier prochain, ce sera au tour des cochons européens de profiter de meilleures conditions d'élevage. Can vegans stomach the unpalatable truth about quinoa? Not long ago, quinoa was just an obscure Peruvian grain you could only buy in wholefood shops.
We struggled to pronounce it (it's keen-wa, not qui-no-a), yet it was feted by food lovers as a novel addition to the familiar ranks of couscous and rice. Dieticians clucked over quinoa approvingly because it ticked the low-fat box and fitted in with government healthy eating advice to "base your meals on starchy foods". Adventurous eaters liked its slightly bitter taste and the little white curls that formed around the grains. Vegans embraced quinoa as a credibly nutritious substitute for meat. Unusual among grains, quinoa has a high protein content (between 14%-18%), and it contains all those pesky, yet essential, amino acids needed for good health that can prove so elusive to vegetarians who prefer not to pop food supplements. Sales took off. But there is an unpalatable truth to face for those of us with a bag of quinoa in the larder. Ces aliments qui ne seront jamais “verts”
Privilégier l’agriculture locale et respectueuse de l’environnement pour manger plus sainement et surtout moins polluer la planète.
Si beaucoup se plient volontiers à cette philosophie, il n’en demeure pas moins que certains aliments, quoi que l’on puisse faire, ne seront jamais écolos. L’agneau et le bœuf On l’a évoqué à plusieurs reprises, la viande bovine est néfaste pour l’environnement dans la mesure où l’élevage contribue notamment activement à la déforestation. Durant leur digestion, les ruminants rejettent également d’importantes quantités de méthane, un gaz à effet de serre environ vingt-trois fois plus puissant que le dioxyde de carbone. La consommation mondiale de viande n’a pas pour autant ralenti. Selon un rapport de l’Environmental Working Group (EWG), l’agneau et le bœuf seraient les plus polluants. La Banane Figurant parmi les fruits les plus appréciés, la banane a le tort de ne pas pousser dans nos contrées, au grand dam des consommateurs français les plus écolos.
Manger, c’est voter ! Mine de rien, notre assiette a du pouvoir.
Trois fois par jour, on mange. Trois fois par jour, on vote. Pour des petits producteurs ou des multinationales, pour du bio ou des OGM, pour du terroir ou de l’importé. À l’approche des riches repas des fêtes et bientôt des bonnes résolutions, voici 8 idées pour mettre vos valeurs au menu. … j’avoue. Oui mais quand je songe aux conséquences, je me dis que l’effort de s’approvisionner autrement est largement justifié. Encourager les producteurs et l’économie de notre région ;Éviter la pollution et les emballages dus au transport de nos aliments ;Soutenir l’agriculture biologique.
Sans compter qu’il est bien plus agréable de fréquenter les petits commerces que les rayons impersonnels d’un hypermarché. 1. Rien ne vaut quelques vérités dures à avaler pour finir de nous convaincre… Ces trois ressources en contiennent plus qu’il n’en faut. Je mange avec ma tête, les conséquences de nos choix alimentaires.