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Alexander Jansson : 20 dessins et autant de contes de fées ! Une société programmée pour l’obsolescence. Une laveuse ou une télévision qui vous lâche moins de cinq ans après son achat et dont les coûts de réparation se révèlent plus élevés qu’un nouvel appareil.

Une société programmée pour l’obsolescence

Un téléphone « intelligent » qu’on remplace après deux ans d’utilisation pour un nouveau modèle, ou un ordinateur encore récent dont on ne peut plus mettre à jour les programmes. Les exemples d’appareils électroniques ou électroménagers dont la durée de vie nous semble trop brève sont légion. Cette obsolescence, programmée dans certains cas, provoquée par des effets de mode ou la piètre qualité des matériaux dans d’autres, est une réalité pour ainsi dire indéniable. « Les témoignages des réparateurs, mais aussi des consommateurs, indiquent clairement que les appareils durent de moins en moins longtemps et qu’ils ne sont plus conçus pour être réparés, constate Alexandre Plourde, avocat chez Option consommateurs. Les gens n’en ont pas pour leur argent.

M. Une courte vie Une culture consumériste. La cigarette électronique n'est pas sans risque. Notre journaliste couvre le congrès annuel de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS) à San Jose, en Californie.

La cigarette électronique n'est pas sans risque

Il s’agit du plus grand congrès de science généraliste du monde. SAN JOSE, Californie — La nicotine n’a pas le même effet sur le cerveau des adolescents que sur celui des adultes. À cet âge, le mécanisme de la dépendance est renforcé par la nicotine. Cela pourrait augmenter le risque de dépendance à d’autres drogues pour les jeunes utilisateurs de la cigarette, électronique ou traditionnelle. En 10 année, l’équivalent de la 4 secondaire, deux fois plus d’adolescents (16 % contre 7 %) ont consommé occasionnellement la cigarette électronique plutôt que la traditionnelle (au cours des 30 derniers jours).

La cigarette électronique est un don du ciel pour les fumeurs qui n’arrivent pas à écraser malgré plusieurs essais, dit le D Compton. « Mais pour les adolescents, la cigarette électronique n’a pas de bénéfices très évidents, dit-il. Qu’est-ce que l’obsolescence programmée ? - Actualités - m.service-public.fr. La notion d’obsolescence se définit comme la « dépréciation d’un matériel ou d’un équipement avant son usure matérielle ».

Qu’est-ce que l’obsolescence programmée ? - Actualités - m.service-public.fr

Un produit obsolète fonctionne encore, mais son usage a perdu de son intérêt : par exemple, un moulin à café manuel en parfait état de fonctionnement. Le terme d’obsolescence est aujourd’hui d’actualité avec la multiplication des équipements électroniques, numériques… et l’émergence de nouvelles problématiques environnementales. On parle désormais d’obsolescence programmée. Cette expression apparaît régulièrement dans les médias, sans que l’on sache vraiment ce qu’elle définit. Elle est souvent utilisée, par exemple, pour désigner le vieillissement, jugé précoce par les consommateurs, de biens courants : véhicules, électroménager, ordinateurs, téléphones mobiles… Les instances européennes et nationales commencent à s’emparer du sujet afin d’en définir les contours, éventuellement de légiférer pour limiter les abus.

La dépendance au cellulaire, au même titre que l'alcoolisme ou le jeu compulsif. MONTRÉAL - Souffrez-vous de «nomophobie»?

La dépendance au cellulaire, au même titre que l'alcoolisme ou le jeu compulsif

C'est le terme désormais admis pour désigner les gens qui sont incapables de renoncer, ne serait-ce que momentanément, à leur cellulaire. Le professeur américain James A. Roberts, de l'Université Baylor, au Texas, s'intéresse de près au phénomène. Il a même publié une étude consacrée au sujet dans le «Journal of Behavioral Addictions». Cet expert pense qu'il est étonnamment facile de tomber dans une dépendance au téléphone intelligent puisque ses fonctions se multiplient à la vitesse de l'éclair. En outre, selon le Dr Roberts, l'époque où le portable n'était qu'un vulgaire objet de consommation est révolue. Dans un pareil contexte, Brigitte Vincent, qui oeuvre au sein du Centre de réadaptation en dépendance de Montréal–Institut universitaire, ne s'étonne guère d'observer des symptômes troublants chez des gens particulièrement attachés à leur cellulaire.