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Mythologie Japonaise

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Daruma. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Figurines Darumas au temple Shorinzan Daruma-ji, à Takasaki au Japon Daruma de l'équipe Chevrolet lors de la manche Japonaise du championnat WTCC. Daruma (達磨, Daruma?) Est le nom japonais de Bodhidharma (prononciation japonaise de Dharma). Description et rituels associés[modifier | modifier le code] Les daruma sont des figurines creuses, de forme arrondie, sans bras ni jambes. Certaines figurines sur les joues ont des caractères peints expliquant le type de souhait de son propriétaire (gloire, richesse, santé, protection des siens). On peut se procurer les daruma dans les temples bouddhistes ou à proximité.

Jeux[modifier | modifier le code] De nombreux jeux d’enfant sont inspirés par le Daruma. Polémique[modifier | modifier le code] À la fin des années 1990, plusieurs groupes de défense des droits de l'homme ont condamné l'utilisation des daruma sans yeux comme étant une discrimination à l'égard des aveugles. Sur les autres projets Wikimedia : Trône du chrysanthème. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trône Takamikura au palais impérial de Kyoto est essentiellement utilisé pour les cérémonies d'accession (1917). Selon certaines légendes, le trône du Chrysanthème est la plus ancienne dynastie monarchique de la planète.

Dans le Nihonshoki, il est dit que l'empire du Japon a été fondé en 660 avant JC par l'empereur Jimmu. Selon la tradition, l'empereur Akihito est le 125e descendant de Jimmu. Les données historiques remontent à l'empereur Ōjin qui est présenté pour avoir régné au début du Ve siècle. En dépit du fait qu'il y a eu auparavant huit « impératrices » (portant un titre différent des impératrices consorts), une loi promulguée à la fin du XIXe siècle par l'agence impériale et le Conseil d'État interdit aux femmes l'accession au trône.

Izanagi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Légende[modifier | modifier le code] La terre au commencement était vide et « comme une méduse dans la mer ». Une divinité masculine Izanagi et une divinité féminine Izanami décidèrent alors de descendre sur terre pour la peupler. Mais pour cela, il fallait tout d'abord créer une terre ferme. C'est ce qu'ils firent au moyen d'une hallebarde appelée, Ame no nuhoko (en) (天沼矛, Ame no nuhoko (en)? , la « Lance Céleste ») qu'ils trempèrent dans l'océan et agitèrent en tous sens. Les gouttes tombées de la hallebarde formèrent les îles japonaises, en commençant par Onokoro (磤馭慮, Onokoro? Après une expérience infructueuse car c'était Izanami qui avait pris l'initiative de leur union, les deux kami engendrèrent de nombreux autres kami qui formèrent petit à petit tout ce que contient la nature : les îles, les montagnes, les fleuves, le vent, le sable, etc.

Izanagi ira ensuite se purifier et de l'eau lavant ses plaies sortiront d'autres kami, dont : Amaterasu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Amaterasu (天照, Amaterasu?) Est, dans le shintoïsme, la déesse du Soleil. Selon cette religion, tous les empereurs japonais l'auraient comme ancêtre. Elle aurait introduit la riziculture, la culture du blé et les vers à soie. Elle figure sur le drapeau japonais sous l'apparence du disque solaire, accompagné ou non de ses rayons. On accole parfois à son nom le qualificatif ōkami (大神, ōkami?) Légende[modifier | modifier le code] Elle est née de l'œil gauche de son père, Izanagi, quand il s'est purifié par ablution après son retour du pays des morts.

En guise de punition, Amaterasu bannit Susanoo du royaume des cieux. Liens avec la famille impériale[modifier | modifier le code] Selon le Kojiki[1], Amaterasu ordonna à son petit-fils Ninigi de descendre sur la Terre et de la gouverner. Dès les temps anciens, les princesses impériales qui n'étaient pas mariées devenaient prêtresses du temple d'Ise qui est dédié à Amaterasu. Jimmu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'empereur Jinmu représenté par Tsukioka Yoshitoshi (1839-1892). L'empereur Jinmu (神武天皇, Jinmu Tennō?) , fondateur mythique du Japon, est considéré comme le descendant de la déité shinto Amaterasu. La maison impériale actuelle du Japon fonde ses droits au Trône du chrysanthème sur sa descendance directe de Jinmu. Tradition[modifier | modifier le code] Selon la tradition décrite dans le Kojiki (Récit des faits anciens, ouvrage considéré comme le tout premier écrit du Japon) et le Nihon Shoki, Jinmu est né le 1er janvier 711 av.

J. Ascendance[modifier | modifier le code] Selon la croyance shinto, Jinmu est considéré comme un arrière-arrière-arrière-petit-fils de la déesse du soleil Amaterasu. Migration[modifier | modifier le code] Au Yamato, Nigihayahi no Mikoto, qui clame aussi être un descendant des dieux de Takamagahara, est le protégé de Nagasunehiko. Légende[modifier | modifier le code] Sujin[modifier | modifier le code] Susanoo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Susanoo (素戔嗚命/須佐之男命, Susano-o no Mikoto?) Est un dieu du shintoïsme. Légende[modifier | modifier le code] Susanoo (parfois transcrit en « Susanowo ») est le dieu des tempêtes, frère d'Amaterasu la déesse du soleil, et de Tsukuyomi le dieu de la lune, tous nés de l'ablution de leur père Izanagi après son retour du royaume des morts (Susanoo provient du nez de son père). Il a harcelé son père pour obtenir la permission d'aller aux enfers pour rendre visite à sa « mère » Izanami.

Excédé son père l'a chassé. Il est alors allé dans le ciel où il contesta le domaine de sa sœur Amaterasu Omikami (déesse du soleil), insatisfait de régner sur la Mer. Cette dernière lui soumit un défi : celui d'enfanter des kamis mâles. Excédée par ces actes, Amaterasu se retira dans une caverne, entrainant une nuit perpétuelle. Il devint aussi le dieu de la fertilité. Naissance[modifier | modifier le code] Cette histoire se passe au moment où il est banni du ciel. La cérémonie Donto Yaki - donto, Japon, sagicho, voyage - TetedeChat.com. Nous avons fêter Noël et le nouvel an au Japon, en famille d'adoption.

En ce qui concerne Noël, ce n'est pas vraiment important ici, c'est plus un jour pour les couples (si,si) qu'un jour en famille, mais si vous êtes en ville il y aura quand même des décorations et une «petite» ambiance de fête, en revanche en province pas du tout… Pourtant Koji notre boss, peut-être en notre honneur nous a offert un repas de rois ! Paella (faite maison), et des gâteaux importés d'Allemagne, Italie et Espagne. Le nouvel an est plus intéressant, les coutumes sont bien différentes des nôtres. En plus de prendre un dîner à 17h45, personnellement, un record !

Nous avons eu droit à de délicieuses araignées de mer. Là où cela change complètement c'est qu'à minuit (ou juste après) tout le monde se rend dans les temples environnants pour prier et allumer des cierges. Puis vient le 14 (parfois le 15) janvier, en ce jour tous ces décorations et petits arbres doivent partir en fumée. Daruma Otoshi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Daruma Otoshi, son marteau et ses piéces colorées. Le Daruma Otoshi (だるま落とし, Daruma Otoshi?) Est un jeu d'adresse japonais ancien en bois.

C'est une figurine sans bras ni jambes en forme de Daruma (達磨, Daruma?) Articles connexes[modifier | modifier le code] Kami (divinité) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Kami. Amaterasu, un des principaux kamis de la religion shintoïste Dans certains cas, comme pour Izanagi et Izanami, les kamis sont des divinités personnifiées similaires aux dieux des mythologies antiques grecques et romaines. Dans d'autres, tels ceux concernant le phénomène d'auras naturelles, les kamis sont des esprits vivants dans les arbres ou des forces de la nature.

Il existe plusieurs suggestions quant à l’étymologie même du terme kami : En japonais il n'existe pas de distinction grammaticale de nombre pour les noms communs, et il est ainsi parfois difficile de savoir si le mot kami se réfère à une seule ou plusieurs entités. Enfin, le genre non plus n'est pas sous-entendu dans le mot kami, et ainsi il peut être utilisé comme référence aussi bien pour un mâle que pour une femelle. Dans les anciennes traditions shintoïstes, il existait cinq caractéristiques qui définissaient les kamis : Contes et légendes traditionnels du Japon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Beaucoup de contes du folklore Japonais sont d'inspiration étrangère au pays.

Il semble qu'ils proviennent pour la plupart des Indes (via la Chine) et de Chine même ; occasionnellement du Tibet, de Birmanie ou de Corée. Peu à peu, ils ont été adaptés à la sensibilité japonaise jusqu'à devenir d'esprit purement japonais[1],[2]. Par exemple, les contes concernant des singes ont été influencés par l'épopée sanscrite Ramayana et par Voyage en Occident, écrit classique chinois[3]. Au milieu du XXe siècle les conteurs vont de ville en ville racontant ces contes en s'accompagnant d'illustrations appelées kamishibai. Le fantôme (1886) par Tsukioka Yoshitoshi Les Contes et légendes du Japon (liste partielle)[modifier | modifier le code] Légendes shintos[modifier | modifier le code] Légende confucéenne[modifier | modifier le code] Komatzu Seichi, un modèle de piété filiale.

Voir aussi[modifier | modifier le code] Mythologie japonaise. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mythologie japonaise (日本神話, Nihon shinwa?) Est l'ensemble des légendes et des mythes du Japon. Les mythes japonais principaux, comme généralement accepté de nos jours, sont d'origine shintoïste, basés sur le Kojiki et d'autres ouvrages complémentaires.

Le Kojiki est le plus ancien recueil de mythes, légendes et histoire du Japon. Un aspect intéressant de la mythologie japonaise est qu'elle explique l'origine de la famille impériale, considérée officiellement au Japon comme d'ascendance divine jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Orthographe des noms propres[modifier | modifier le code] Ainsi : Ninigi, ou Amenigisikuninigisiamatuhidakahikohononiniginomikoto dans sa forme complète, peut tout aussi bien être abrégé en Hikohononinigi ou Hononinigi. Dans cet article, les noms propres seront écrit sous la forme historique usuelle. Ex. Ex. Genèse du monde[modifier | modifier le code] Izanagi et Izanami[modifier | modifier le code] Jiraiya. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Jiraya. Jiraiya (児雷也) est un personnage du conte japonais Jiraiya Goketsu Monogatari (La Légende du Galant Jiraiya), populaire dans les représentations de kabuki. Jiraiya rencontre ensuite Tsunade, une belle jeune femme qui maîtrise la magie des escargots, qu’il épouse.

Un des serviteurs de Jiraiya, Yashagoro, jaloux et ensorcelé par un serpent, reçoit les pouvoirs de la magie des serpents. Il prend le nom d’Orochimaru et décide d’attaquer son ancien maître. Jiraiya et Tsunade luttent contre Orochimaru, mais ils sont empoisonnés par le venin du serpent et tombent inconscients. Un autre serviteur de Jiraiya arrive à la rescousse. Portail du Japon. Célébration de l'Hanami. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cerisier en fleur Le hanami (花見, hanami? , littéralement, « regarder les fleurs »), ou o-hanami avec préfixe honorifique, est la coutume traditionnelle japonaise d'apprécier la beauté des fleurs, principalement les fleurs de cerisier (sakura). À partir de fin mars ou début avril, les sakura entrent en pleine floraison partout dans le Japon. De nos jours, le hanami se résume souvent à profiter de cette saison pour pique-niquer, discuter, chanter sous les cerisiers en fleur[1].

Cette coutume est au printemps ce que momijigari, l'observation de kōyō (le changement de couleur des feuilles), est à l'automne. Il existe aussi une forme de hanami concernant l'abricotier du Japon (ume), précédant celui des cerisiers du Japon, ainsi que du pêcher, succédant aux cerisiers[2]. Histoire[modifier | modifier le code] Les sakura étaient à l'origine employés comme annonciateur de la saison de plantation du riz. De nos jours[modifier | modifier le code] Momotarō. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Poupée de Momotarō Légende[modifier | modifier le code] Selon la version de la légende, datant de l'Époque d'Edo, Momotarō est venu sur Terre dans une pêche qui descendait une rivière.

Il a été découvert par une vieille femme qui y lavait son linge. Celle-ci l'a adopté et élevé avec son mari. Cependant, Momotarō était paresseux et trouvait des excuses pour ne pas travailler. En chemin, Momotarō rencontre un chien, un singe et un faisan avec lesquels il se lie d'amitié. Momotarō est associé à la ville d'Okayama, où l'histoire aurait été inventée. Chanson[modifier | modifier le code] Statue de Momotarō et ses compagnons, à Okayama La chanson pour enfants très populaire au Japon intitulé Momotarō-san no Uta (la chanson de Momotarō) fut publiée pour la première fois en 1911. Voir aussi[modifier | modifier le code] Cette légende est reprise en parodie dans l'episode 9 de l'anime Maid Sama! Liens internes[modifier | modifier le code] Kintarō. Butsudan. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec Budokan. Exemple de butsudan.

Un butsudan (仏壇, butsudan?) Est un sanctuaire religieux dans les temples et les maisons des bouddhistes japonais et autres. Description[modifier | modifier le code] On trouve des butsudan de toutes dimensions dans les temples et les maisons. Histoire[modifier | modifier le code] Pour beaucoup de nouvelles sectes en cours de création, le butsudan a été placé dans des temples et en est devenu l'élément central.

Aujourd'hui, beaucoup de gens n'ont plus de temps et d'espace pour leurs butsudan. Bibliographie[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Butsudan, sur Wikimedia Commons.