A la couture des mondes... Transarchitecture et hypersurfaces : une introduction | DNArchiDNArchi. Auteur : Marion Roussel_ La réponse architecturale et artistique habituelle ne suffit plus; les objets et les formes ordinaires apparaissent comme réactionnaires et inadéquats pour traiter les défis transarchitecturaux auxquels fait face une population mondiale emportée dans une transition frénétique, d’une société de l’information « cablée » à une société de la virtualité globale sans fil [1] » Marcos Novak, WarpMap4D, 2001 © Marcos Novak. Recherche de système de représentation propre à l’espace de l’information : processus de création d’espaces et de de concepts spatiaux par l’utilisation d’algorithmes (« data-driven space »).
Cyberespace et transarchitecture, vers l’instauration d’un continuum actuel / virtuel Il est des termes ou des concepts qui ont marqué d’une manière toute particulière l’architecture contemporaine. L’éversion, où la contamination de l’espace physique par le virtuel Pourquoi développer une telle architecture ? Nous voici à nouveau devant un vocable bien étrange. Stephen Perella. Hypersurface architecture and the question of interface. With the rapid evolution of the information epoch and the onslaught of cyberspace, we are thrown into new spatiotemporal terms compounding an already dualist-schizo condition. These circumstances cannot be ameliorated technocratically. Problematics arise at each posited interface involving hidden assumptions that operate within language and iterative dysfunctions that emerge from material production. The deleterious effects of dualism may be overcome through an inquiry into the dynamics of metaphor and technological interface, although dualities are necessary in organizing the complex contingencies of daily life.
New possibilities are latent in the radical deployment of technology that also reveals chaotic potential as it continues to rupture being from body, toward disembodied being. As a language tool, metaphor is anthropocentric and governs the logic of interface. This dualism reifies the supposed sameness on a terminal surface. Otherness is that which cannot be named or known. 1.